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Islam - Page 213

  • Le MI5 et l’extrémisme islamique : nul

    Le vrai MI5 ne ressemble pas vraiment à celui que l’on voit dans la série télévisée. La DST britannique est terriblement atteinte, comme toutes les institutions du royaume, par la dhimmitude et le masochisme.

    Dans un rapport intitulé « Comprendre la radicalisation et l’extrémisme violent au Royaume-Uni », il explique que ce sont les Britanniques qui sont responsables de cette radicalisation…

    Parce que les immigrés sont confrontés « à la marginalisation et au racisme ».

    Parce que les immigrés diplômés ne peuvent pas trouver d’autres emplois que subalternes.

    Sic.

    Tout en citant aussi, tout de même, « de solides antécédents criminels, des voyages d’une durée supérieure à six mois et des contacts avec les réseaux terroristes, et la candeur religieuse » (sic), le rapport dénonce les médias comme importants responsables de la radicalisation :

    « Ce sentiment est entretenu par les perpétuels clichés antimusulmans véhiculés par les médias, les reportages sur les atrocités commises contre les musulmans partout dans le monde et par les groupes extrémistes eux-mêmes qui affirment que les musulmans sont à ce point persécutés que la seule réponse possible est de riposter par la violence. »

    Naturellement, on n’oublie pas le rôle l’extrême droite, mais aussi du gouvernement, accusé de déclarations provocatrices :

    « La législation permettant de lutter contre les réseaux existants demeure d’une importance vitale, mais l’impact de ceux qui exacerbent involontairement la perception de la menace et la marginalisation ne doit pas être négligé. Une partie des médias, notre propre Gouvernement et ceux de nos alliés peuvent parfois faire des déclarations involontairement ou au contraire délibérément provocatrices. Les organisations non musulmanes (par exemple les extrémistes de droite) peuvent également exacerber les peurs infondées et le ressentiment, ce qui contribue à maintenir un fort sentiment d’être menacées au sein des communautés musulmanes ».

    Ce n’est vraiment pas la peine d’avoir un service de renseignements aussi réputé pour pondre de telles inepties. J’entends d’ici les islamistes, morts de rire…

    (via novopress)

  • La mosquée de Cologne

    Le conseil municipal de Cologne a donné son feu vert hier soir à la construction de la grande mosquée turque.

    Le nouveau plan revoit à la baisse la surface de la mosquée mais maintient la dimension des deux minarets de 55 mètres de hauteur. L'édifice, surmonté d'une coupole de verre de 34,5 mètres de haut, aura une capacité de 2.000 personnes.

    Les conseillers municipaux sociaux-démocrates (SPD), libéraux (FDP), Verts et de La Gauche (gauche radicale) ont approuvé le projet. La majorité des conseillers de la CDU s'y sont opposés (alors que le maire CDU y est favorable), ainsi évidemment que les cinq élus de "Pour Cologne", qui mènent une vigoureuse campagne contre la mosquée.

    Il y aurait 120.000 musulmans à Cologne, soit 12% de la population.

    Il y a déjà 159 mosquées avec minaret en l'Allemagne, et 184 projets.

  • Dhimmitude suisse

    Le gouvernement suisse reconnaît la « validité » de l’initiative de l’UDC visant à interdire la construction de minarets en Suisse, puisqu’elle a recueilli plus de 113.000 signatures, mais il la condamne, car si elle était adoptée elle « mettrait en péril la paix religieuse et ne contribuerait nullement à endiguer la diffusion des thèses fondamentalistes islamistes ». « L'initiative porte atteinte à la liberté religieuse et au principe de non-discrimination car elle vise un symbole religieux de l'islam mais non les édifices similaires d'autres religions. ». L'acceptation du texte « susciterait l'incompréhension à l'étranger et nuirait à l'image de la Suisse », ajoute le Conseil fédéral.

    Le comité à l’origine de l’initiative, formé de l’UDC et du parti chrétien UDF, fait valoir que le minaret n’est pas une construction à caractère religieux mais « le symbole d'une revendication de pouvoir politico-religieuse qui, au nom d'une prétendue liberté religieuse, conteste des droits fondamentaux d'autres personnes, par exemple l'égalité de tous, aussi des deux sexes, devant la loi. Dès lors, cette revendication est en opposition avec la Constitution fédérale et le régime légal suisse. » Il souligne : « Le minaret est le symbole extérieur d'une revendication de pouvoir politico-religieuse qui remet en question des droits fondamentaux garantis par la Constitution. » Et encore : « Celui qui, comme c'est le cas dans l'islam, place la religion au-dessus de l'Etat, se trouve en contradiction totale avec la constitution fédérale. »

    Dès l’annonce que l’initiative avait recueilli plus de 100.000 signatures, en juillet, Le Conseil fédéral avait déclaré qu'il appellerait le peuple et le Parlement à rejeter le texte.

    On rappellera que l’un des poèmes préférés du Premier ministre turc Erdogan est celui qui dit : « « Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les coupoles nos casques et les croyants nos soldats. » En 1998, Erdogan fit quatre mois de prison pour avoir récité ce poème, « atteinte à la laïcité ». Depuis lors il ne le cite plus, mais répète qui veut l’entendre qu’il est un grand défenseur de la poésie…

    En août 2007, Erdogan répondait à ceux qui qualifiaient son parti d’islamiste modéré : « Ces descriptions sont très laides, c’est une offense et une insulte à notre religion. Il n’y a pas d’islam modéré ou immodéré. L’islam est l’islam, et c’est tout. »

  • Seif Al-Islam annonce son retrait de la vie politique…

    Le fils aîné de la seconde femme de Kadhafi, qui porte le doux nom de Seif Al Islam, c’est-à-dire de Sabre de l’Islam (ce sabre de la paix et de la tolérance qui orne si joliment le drapeau saoudien), a annoncé hier soir son retrait de la vie politique : « J'ai décidé de ne plus intervenir dans les affaires de l'Etat », a-t-il déclaré devant des milliers de jeunes sympathisants dans la ville de Sebha, à 800 km au sud de Tripoli, au cours d’un discours retransmis par la télévision libyenne (ce qui lui donne un sceau officiel).

    Il a indiqué « qu'en l'absence d'institutions et d'un cadre administratif » en Libye, il avait été « obligé d'intervenir ». Et de souligner : « Oui, je suis intervenu dans tous les dossiers, dans les affaires extérieures comme en ce qui concerne le développement en Libye, l'habitat, la planification urbaine, etc. » Il a même affirmé avoir réglé tous les problèmes de la Libye sur le plan national et avec l'extérieur, évoquant notamment les affaires de Lockerbie et des infirmières bulgares.
    Il a ajouté : « J'ai réalisé mon programme. Le train est actuellement sur les rails. Je n'ai plus de grandes batailles à mener et ma situation devient embarrassante… Le plan a changé. Si cela continue il y aura problème… »

    Et après ces propos, aussi sibyllins que peuvent l’être ceux de son père, il a appelé à la construction d'une « société civile forte » capable de participer à la prise de décision.

    Dans une interview au journal russe Kommersant publiée par la presse libyenne, Seif al-Islam affirmait récemment « qu'il se consacrerait désormais au développement de la société civile et de l'activité économique en Libye ainsi qu'à l'action caritative ».

    Pour l’heure, il n’y a en Libye (où il n’y a ni partis politiques, ni syndicats, ni ONG, ni presse libre, pas même de président puisque le dictateur est « guide de la révolution ») aucune autre institution de la société civile que la Fondation internationale Kadhafi de… Seif Al-Islam.

    Le jeune homme ne se vante pas outre mesure quand il dit qu’il a réglé tous les problèmes de la Libye avec l’extérieur. Alors qu’il n’occupe officiellement aucune fonction, c’est lui en effet qui a réglé toutes les affaires, comme une sorte d’ambassadeur-ministre plénipotentiaire de son père, et a réussi à rétablir les relations entre la Libye et les pays occidentaux.

    Il est apparu sur la scène internationale en 2000, lorsqu’il avait réglé le problème des otages occidentaux du groupe islamiste Abou Sayyaf à Jolo aux Philippines. Sa fondation « caritative » avait versé une rançon de 25 millions de dollars…

    Plus récemment, c’est lui qui a négocié les contrats français en réglant l’affaire des infirmières bulgares. « Je n’ai pas lié la libération des infirmières et l’achat par la Libye de missiles Milan », affirmera-t-il pour authentifier les affirmations de son « ami » Nicolas Sarkozy…

    Seif Al Islam est un de ces personnages qui savent séduire les Occidentaux. Il est dans le même genre que le prince Al-Walid bin Talal bin Abdoul Aziz Al Saoud. Chez lui en Libye, c’est un sultan d’anthologie, qui chasse au faucon dans le désert et élève des tigres. A Paris ou à Londres, à Vienne ou à Berlin, c’est un charmant jeune homme occidentalisé, affable et souriant.

    La nouvelle du retrait de Seif Al Islam, alors qu’il était à l’évidence le successeur de son père et qu’il est depuis huit ans l’homme clef du régime, est assez curieuse.

    On rappellera qu’en novembre 2006, l’agence Reuters avait annoncé que Seif al-Islam, « connu pour avoir critiqué le système politique de son pays, a l'intention de quitter la Libye et de travailler à l'étranger ». On nous donnait même le nom de la firme dans laquelle il allait travailler…

  • Les Maldives, paradis… d’Allah

    Nouvelle Constitution des Maldives, article 9, section D :

    « Un non-musulman ne peut pas devenir citoyen des Maldives. »

  • La France terre d’islam

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    Mahiedine Mekhissi-Benabbad remercie Allah après sa médaille d’argent aux 3.000 mètres steeple.

  • La religion de tolérance (et les carpettes)

    Un roman de l’Américaine Sherry Jones sur Aïcha, l’une des femmes de Mahomet, intitulé "Le joyau de Médine" (The jewel of Medina), a été retiré de la vente en Serbie à la suite des protestations de la communauté musulmane.

    Selon la radio-télévision B92, le mufti Muamer Zukorlic a estimé que l'ouvrage s'efforçait de « désacraliser une chose considérée comme intouchable par tous les musulmans ». « Manifestement, certains veulent rejoindre les rangs de ceux qui ont produit les caricatures au Danemark, et bien sûr, il s'agit d'une insulte pour tous les musulmans du monde, en particulier pour nous ici en Serbie », a-t-il ajouté.

    Le directeur de la maison d'édition Beobuk, Aleksandar Jasic, a présenté ses excuses à la communauté musulmane, soulignant qu'il n'avait « pas l'intention de blesser », et a espéré que « l'affaire en resterait là ». Il a assuré que le livre ne serait plus disponible dans une seule librairie du pays.

    Le mufti Zukorlic a accepté ces excuses et a lancé un appel au calme, selon les agences Tanjug et Beta. « Nous espérons que cette affaire servira de leçon pour que ce genre de choses ne se produise plus jamais », a-t-il ajouté.

    (Aïcha avait 9 ans quand son père Abou Bakr – qui allait devenir le premier calife - la donna en mariage à Mahomet. Le prophète se maria encore ensuite avec d’autres femmes, notamment Zaynab, que Mahomet lui-même avait donné pour femme à un esclave qu’il avait affranchi et dont il avait fait son fils adoptif. Mahomet reçut une révélation comme quoi il est permis au croyant de prendre pour femme l’épouse de son fils adoptif si ceux-ci n’ont plus de rapports (ce qui était le cas depuis que l’ancien esclave avait vu que Mahomet s’intéressait de très près à sa femme). Aïcha lui dit alors : « Je vois que ton Seigneur se précipite toujours pour satisfaire tes envies… » Et cela ce n'est pas du roman, c'est l'histoire officielle du Prophète.)

     

    Addendum. The jewel of Medina, publié par l’éditeur américain Random House, devait paraître en avant-première en Serbie, et sortir aux Etats-Unis ces jours-ci. Random House y a renoncé. Cette décision, dit l’éditeur dans un communiqué, « a été prise après de longues réflexions et beaucoup de réticence ». « Ce choix a été fait sur le conseil d'experts de l'Islam, notamment, qui ont souligné que la publication de cet ouvrage pourrait offenser certains membres de la communauté musulmane, et pourrait inciter à des actes de violences de la part de certaines minorités radicales. »

  • La jurisprudence change : en faveur de l’islamisation

    La cour administrative d'appel de Versailles, dans un arrêt du 6 août, a décidé que la municipalité de Montreuil a légitimement loué un terrain pour un loyer symbolique à l’association qui doit y construire une mosquée. La cour a donc annulé le jugement du tribunal administratif de Cergy-Pontoise qui avait invalidé la délibération municipale.

    La cour administrative d'appel estime que « la redevance annuelle égale à un euro symbolique ne peut être considérée, dans les circonstances de l'espèce, comme une subvention déguisée. » Sic. Au prétexte qu’il s’agit d’un bail emphytéotique et que la mairie deviendra propriétaire du bâtiment dans 99 ans…

    La cour ajoute que le principe de laïcité « n'interdit pas, par lui-même, l'octroi dans l'intérêt général de certaines aides à des activités ou des équipements dépendant de cultes ». Sic : il est de l’intérêt général de construire des mosquées…

    Les associations islamiques vont ainsi pouvoir se prévaloir de cet arrêt (qui est dans la ligne du rapport Machelon) pour accélérer la construction de mosquées sans même avoir à acheter ou louer des terrains. En outre, la cour prévient les éventuels opposants qu’ils seront désormais sanctionnés. Patricia Vayssière, l’élue MNR qui était à l’origine de la contestation, a été condamnée à payer à la commune la somme de 1000 euros.

    Car on ne s’élève pas impunément contre « l’intérêt général ».

    Le MNR a annoncé son intention de saisir le Conseil d’Etat d’un pourvoi en cassation contre cet arrêt « contraire sur le fond aux précédents jugements de plusieurs tribunaux administratifs, mais également à la jurisprudence du Conseil d’Etat ».

  • En Grande-Bretagne, l’assurance halal

    En 2004, la Grande-Bretagne a autorisé la création d'une banque 100% islamique, la Banque islamique de Grande-Bretagne.

    En 2007, la banque Lloyds TSB a lancé des produits financiers conformes à la charia.

    Ce lundi s’est ouverte la première compagnie d’assurance conforme aux principes de la charia, Salaam "halal insurance", proposant pour le moment des contrats d'assurance automobile.

    « Le lancement des assurances Salaam, le premier opérateur indépendant et pleinement conforme à la charia dans ce pays, constitue une étape significative pour la croissance de la finance islamique en Grande-Bretagne », se félicite le président de la nouvelle compagnie, Abdulaziz Hamad Aljomaih.

    La compagnie espère lancer au cours de l'année des assurances habitation.

  • Le Sud des Philippines, territoire musulman

    Mgr Martin Jumoad. évêque d’Isabela dans le sud des Philippines, a reçu une lettre lui enjoignant de se convertir à l’islam ou de payer la jizya en échange de la « protection » dont il pourra bénéficier en tant que dhimmi sur ce « territoire musulman ».

    Les noms de Puruji Indama et de Nur Hassan J.Kallitut, sous lesquels apparaissait la mention “moudjahidine“, étaient imprimés au bas de la lettre. Les signataires se présentent comme des « guerriers musulmans » qui ne suivent « aucune autre loi que celle du Coran ».

    Si l’évêque ne donne pas suite, « la force, les armes ou la guerre » seront utilisées contre lui, de façon à ce qu’il ne se sente jamais en sécurité, même « protégé par des soldats », et la lettre rappelle les attentats à la bombe survenus récemment dans d’autres villes. On lui donne deux numéros de téléphone cellulaire et un délai de 15 jours pour la réponse. « Si nous ne recevons aucune réponse de vous dans le délai indiqué, nous considérerons que vous refusez. »

    Mgr Jumaod ajoute que des catholiques de son diocèse ont eux aussi reçu de semblables lettres de menace.

    (Information du Catholic Explorer, via Bivouac-ID, décidément indispensable)