Parmi les votations de dimanche en Suisse, il y avait l’initiative « Les nôtres d’abord », lancée dans le Tessin par l’UDC, demandant une modification de la Constitution cantonale pour que sur le marché du travail soit instituée la « préférence aux indigènes ». Elle a été adoptée par 58% des votants.
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Tessin : préférence aux indigènes
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Nouveaux Européens…
Telle est la une du dernier numéro de la revue National Geographic. Avec le titre : « Le nouveaux Européens ». Sur le site de National Geographic, c’est un déluge de photos de ce genre, qui montrent « comment la dernière grande migration est en train de remodeler l’Europe ». C’est une célébration du génocide européen.
Fausse note quand même: sur le site, les photos sont animées, et l’on entend le patriarche de la famille syrienne montrée en une dire qu’il a été bien reçu en Europe mais qu’il veut repartir chez lui…
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Effet pervers
La chose est parfaitement logique, mais on n’y pense pas forcément. L’ONG ONE y a pensé, puisque c’est son domaine, et en a fait un rapport : nombre de pays utilisent de plus en plus leur aide au développement pour financer l’accueil des « réfugiés ».
Autrement dit on fait de plus en plus le contraire de ce qu’il faut faire. L’argent qu’on utilise pour assister les immigrants est l’argent qui devrait servir à développer leur pays d’origine pour qu'ils puissent vivre dignement chez eux.
L’afflux massif de soi-disant réfugiés, dont on ne cesse de nous dire que c’est une bénédiction pour nos pays, coûte évidemment, en réalité, très cher. Et les pays occidentaux, notamment ceux de l’Union européenne, ne sont pas franchement florissants. Ils n’ont donc pas d’argent de côté pour entretenir les hordes de migrants imprévus. Mais, puisque ce sont des migrants, eh bien on n’a qu’à puiser dans la caisse réservée à l’aide au développement des pays d’où ils viennent...
L’ONG ne paraît pas se poser la question, mais pourtant il me semble qu’elle devrait se poser : en dehors de l’aspect moral et économique, quelle est la légalité de ces ponctions, dans un budget qui a été voté par les parlements pour aider au développement de pays du tiers monde, et qui est utilisé pour un tout autre motif ?
Le plus ignominieux étant qu’on aggrave la situation de pays qu’on avait promis d’aider, et que ce faisant on va aggraver encore l’immigration…
Mais cela semble voulu : « Ce n’est pas un phénomène qu’il faut entraver, au contraire… C’est une chance incroyable pour ceux qui quittent leur pays et pour ceux qui les accueillent… » (Federica Mogherini, Haute représentante pour la politique étrangère de l'UE).
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Le racisme de SOS
il n'est pas admissible que des personnes défilent dans un quartier maghrébin aux cris de "on est chez nous" @d_sopo https://t.co/IT8h9LqAiF
— franceinfo (@franceinfo) 15 septembre 2016Selon Dominique Sopo, président de SOS Racisme, il y aurait en France des « quartiers maghrébins », et dans ces quartiers les non-maghrébins n’auraient pas le droit de dire « On est chez nous ».
De fait, si le quartier d’une ville française est maghrébin, la réaction devrait être « On n’est plus chez nous »…
En l’occurrence le quartier en question est celui de Lupinu, à Bastia.
On peut constater que le conseil de quartier est constitué de : Antoine Barbera, Hafid Maroni, Daniele Mattei, Césaire Raffini, Cathy Campocasso, Mathieu Biancardini. Sur ces six personnes, je n’en vois qu’une qui a un prénom maghrébin (avec un nom corse). Le conseil de quartier serait-il donc composé de colonisateurs corses du quartier maghrébin ?
Sans doute doit-on répondre à Dominique Sopo ce que lui-même a répondu à Claude Goasguen… sur les Maghrébins :
Nous avons un pbl avec les gros cons. Il fo avoir le courage d'aborder le pbl. Sans discrimination mais franchement! pic.twitter.com/njYsY2vE3A
— Dominique Sopo (@d_sopo) 14 septembre 2016 -
Mauvais gag
Selon un sondage réalisé pour l’International Rescue Committe dans 12 pays européens, ce sont les Irlandais qui ont le plus de sympathie pour les « réfugiés » syriens arrivant dans leur pays : 87% d’entre eux ont un peu, plutôt ou beaucoup de sympathie.
Mais 99,9% des Irlandais n’ont jamais vu un « réfugié » syrien ni les problèmes qui vont avec : leur pays en accueille très exactement 331…
Dans l’ensemble, selon le sondage, 75% des Européens ont de la sympathie pour les réfugiés qui arrivent dans leur pays. Ce qui, à proprement parler, ne veut rien dire : on peut avoir beaucoup de sympathie pour quelqu’un dont on ne souhaite pas du tout la présence chez soi.
Après l’Irlande viennent l’Espagne et l’Allemagne. La France est en dixième position. Sans surprise, la Slovaquie prend la dernière place.
N.B. – L’International Rescue Committee est une organisation humanitaire évidemment mondialiste. Elle est aujourd’hui dirigée par David Miliband, qui a trouvé là un fromage après avoir perdu… contre son frère Ed la bataille pour la direction du parti travailliste au Royaume Uni en 2010. L’International Rescue Committee attache une grande importance au Planning familial, qui doit faire partie de tous les plans d’aide. On trouve un beau gros mensonge dans sa présentation : « Nous ne connaissons pas d’endroit – quel que soit le contexte culturel, religieux ou humanitaire – où la planification familiale ne soit pas possible ou désirée. La réalité est que des femmes de toute confession utilisent la planification familiale, et beaucoup avec le soutien de leurs dirigeants religieux. Par exemple, l’IRC travaille avec des communautés catholiques en République démocratique du Congo qui soutiennent la planification familiale, ainsi qu’avec des chefs religieux du Pakistan qui adoptent la contraception à cause, et non en dépit, de leurs croyances islamiques. »
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Quand les “réfugiés” vont en vacances...
Selon une enquête de Die Welt, des « réfugiés » en Allemagne, qui reçoivent des allocations en tant que tels, s’en servent pour aller en vacances dans leur pays d’origine…
L’agence fédérale pour l’emploi reconnaît qu’elle a eu vent de tels cas, mais elle ajoute aussitôt qu’elle ne peut pas en dire ni même en savoir davantage car la loi ne le permet pas, au nom de la protection des données personnelles.
Pour l'Office fédéral de la migration et des réfugiés, c’est une bonne nouvelle, car cela montre que le réfugié « ne craint pas la persécution dans son pays ».
Au ministère de l’Intérieur on tique quand même un peu, parce que si le « réfugié » a le statut de réfugié et les allocations qui vont avec, c’est parce qu’il est prouvé qu’il serait persécuté s’il retournait dans son pays…
Bref ce sont les autorités qui sont ridiculisées, par des réfugiés qui n’en sont pas, comme on le savait, mais qui en profitent… et qui n’ont pas fini d’en profiter, en ricanant sur la connerie occidentale.
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L’AfD en pointe
Evénement en Allemagne : pour la première fois, le parti « populiste » AfD arrive devant la CDU. Sur le plan arithmétique, c’est presque négligeable : il s’agit du Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, petit Land de l’est coincé entre la Baltique et la frontière polonaise, dont les électeurs représentent 2% des citoyens allemands. Mais politiquement c’est un séisme. Car c’est le Land natal d’Angela Merkel, et elle y était allée faire campagne personnellement. Et c’est un terrible coin dans le bipartisme allemand que vient d’enfoncer l’AfD, parti créé il y a seulement trois ans, au départ seulement anti-euro, aujourd’hui anti-immigration et anti-islam.
L’AfD a donc récolté près de 21% des voix, derrière le SPD (30%), tandis que la CDU n’en obtient que 19%.
Ce qui inquiète encore davantage en Allemagne est que l’AfD, qu’on aimerait qualifier d’extrême droite, prend des voix partout (le SPD a perdu 5 points).
Prochaine étape : Berlin, le 18 septembre. Il serait curieux que l’AfD puisse faire un score particulièrement important dans la grande ville cosmopolite et décadente. Certains l’annoncent pourtant déjà.
En un an, sur le plan national, l'AfD est passé de 4 à 14% des intentions de vote. Et dans un an ce sont les législatives fédérales…
Les deux principaux dirigeants de l’AfD, Alexander Gauland and Beatrix von Storch (à gauche), avec la tête de liste AfD de Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, Leif-Erik Holm.
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Merkel nach Osten
Angela Merkel fait la tournée des popotes, pour tenter de gommer l’image d’une Allemagne qui impose ses vues à l’Union européenne. Elle veut montrer qu’elle sait écouter aussi. Après avoir imposé, bien sûr. Hier elle était à Prague, accueillie par une manifestation de Tchèques très hostiles à sa politique d’accueil et de répartition des « réfugiés ».
« Nous ne pouvons pas soutenir un système qui prévoit des quotas obligatoires pour répartir les réfugiés », lui a dit clairement le Premier ministre Bohuslav Sobotka.
Le ministre polonais des Affaires étrangères Witold Waszczykowski n’a pas attendu l’arrivée d’Angela Merkel à Varsovie (aujourd’hui) pour dénoncer la politique étrangère « égoïste » de l’Allemagne : « Tout le monde en Europe ne peut pas se permettre une politique comme celle que propose l’Allemagne. De nombreux pays, dont la Pologne, ont des capacités et des possibilités très limitées. »
Quant au ministre autrichien de la Défense, Hans Peter Doskozil, il a carrément qualifié d’« irresponsable »la politique allemande du « We can do it » (nous pouvons le faire…), ajoutant : « Ce n’est pas une politique si l’Europe souffre en enfouissant sa tête dans le sable. »
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Têtes de cochons
Le 19 août, Andrew Stroehlein, un chef européen de Human Rights Watch, a publié sur Twitter des photos montrant des légumes taillés en forme de visages humains et postés le long de la frontière hongroise. Ces images venaient d’une page Facebook, où elles étaient accompagnée de ce commentaire : « Des épouvantails en betterave pour effrayer les humains. Apparemment ça marche, personne n’est passé par ici depuis quatre semaines. »
« Les réfugiés fuient la guerre et la torture, Hongrie, vos têtes de betteraves ne les en dissuaderont pas », commentait Andrew Stroehlein.
Le député européen hongrois György Schöpflin a répondu :
« Ça pourrait marcher. Les représentations humaines sont haram. Mais je suis d’accord, des têtes de cochons seraient plus efficaces. »
Réplique d’Andrew Stroehlein : « Un eurodéputé éructant ce genre de crasses xénophobes… Vous faites honte à la Hongrie, à l’Europe et à l’humanité. » Et les réseaux soi-disant sociaux ont embrayé sur le « scandale »…
György Schöpflin a souligné qu’il n’avait pas proposé de mettre des têtes de cochons sur la frontière, mais qu’il n’était pas mécontent de sa petite « expérience » sociale : « Anthropologiquement parlant, il est intéressant de voir à quel point le sujet est sensible. »
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En Suède
Plus de 2.000 véhicules ont été incendiés en Suède depuis le début de l’année. Surtout à Stockholm et à Malmö, avec un pic en juillet.
« Nous ne pouvons pas dire si ce sont des jeunes ou des criminels, ou quoi que ce soit. Nous avons bien de petites suppositions, mais nous ne savons pas », déclare le porte-parole de la police de Stockholm à l’agence Reuters.
Parce que s’il disait ce qu’il sait, il serait condamné pour xénophobie et islamophobie, et serait limogé pour attentat contre le vivre-ensemble.
C’est ainsi que nos nations se suicident.
(A Malmö plus de 40% de la population est officiellement étrangère ou d’origine étrangère récente. On considère qu’avec l’immigration clandestine la population de la ville est aujourd’hui majoritairement étrangère. Le niveau de criminalité y est le plus élevé du pays. Des écoles ont dû fermer en raison de l’insécurité.)