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Immigration - Page 25

  • Finalement…

    La presse européenne avait largement répercuté le geste généreux du Premier ministre finlandais, Juha Sipilä, qui au début du déferlement des clandestins migrants réfugiés avait déclaré qu’il allait accueillir trois ou quatre familles dans sa grande résidence secondaire.

    On apprend seulement aujourd’hui que, tout compte fait, il n’a ouvert à personne. Pour des « raisons de sécurité »…

  • Le Danemark fait front

    Le projet de loi réformant le droit d’asile au Danemark était condamné par l’ONU, par l’OSCE, par Amnesty International et tous les lobbies des droits de l’homme. Il a été voté hier par 81 députés sur 109 : 75% des suffrages exprimés, les sociaux-démocrates joignant leurs voix à celles du parti du peuple danois – l’« extrême droite » - pour adopter le texte des libéraux au pouvoir (70 élus n’ont toutefois pas participé au scrutin).

    Pour financer le séjour des « réfugiés » en attendant leur régularisation, la police pourra saisir leur argent liquide au-delà de 1 300 euros, ainsi que leurs biens, comme leurs bijoux, à l’exception des alliances. Le permis de séjour des demandeurs d’asile personnellement menacés dans leur pays sont raccourcis de 5 à 2 ans. S’ils veulent rester, ils devront travailler deux ans et demi sur trois, et perfectionner leur danois. Quant aux personnes qui fuient une menace générale comme une guerre, elles devront attendre trois ans avant de pouvoir demander un regroupement familial.

    Naturellement, l’évêque de Copenhague a joint sa voix à celle des lobbies pour regretter que la « stabilité du pays et le bien-être des Danois » passe avant « leur devoir » d’accueillir les frères réfugiés.

    N.B. On remarque que dans toute cette affaire on ne parle pas du tout de l'Union européenne. C'est que le Danemark, comme on l'oublie souvent, ne fait que nominalement partie de l'UE, ne participant ni à l'union économique et monétaire, ni à la politique étrangère et de sécurité commune, ni à "l'espace de liberté, de sécurité et de justice", ni à la... citoyenneté européenne.

  • Et alors ?

    Citant un rapport de l’agence Frontex, Frans Timmermans, premier vice-président de la Commission européenne, déclare : « Plus de la moitié des gens qui viennent en ce moment en Europe viennent de pays où vous pouvez être sûr qu’ils n’ont aucune raison de demander le statut de réfugié, plus de la moitié, 60%. »

    Ces 60%, précise-t-il, viennent essentiellement du Maroc et de Tunisie, en passant par la Turquie (pour faire croire qu’ils sont syriens ou irakiens).

    La seule option immédiate, ajoute Timmermans, est de les renvoyer dans leur pays aussi vite que possible, afin de pouvoir soutenir les vrais réfugiés…

    Et alors ?

    Il ne se passe évidemment rien. De toute façon on sait que les autorités allemandes ont déjà perdu la trace d’une bonne partie de leurs « réfugiés »…

  • En Slovaquie ils ont un Premier ministre

    Quelques propos de Robert Fico, Premier ministre de Slovaquie, à un journal tchèque.

    « J’ai le sentiment que, dans l’UE, nous sommes en train de commettre un suicide rituel et que nous nous contentons de le regarder… Si cela doit attendre la fin de 2016 ou 2017 pour que l’Europe mette en place la force de surveillance des frontières qu’elle a programmée, l’UE se sera tuée elle-même… Nous mijotons dans notre jus, nous attelant à des quotas qui n’ont aucun sens… et pendant ce temps-là des milliers de migrants arrivent en Europe tous les jours. Ce système est un fiasco complet… Si on veut, sur la base de quotas temporaires ou permanents, nous forcer à importer 50.000 personnes qui ont des mœurs et des religions complètement différentes – et ce sont essentiellement de jeunes hommes – je ne peux pas imaginer comment nous pourrions les intégrer. Nous ne le pouvons pas. Ils se retrouveraient dans un espace qui a sa propre vie et ses propres règles, et c’est pourquoi je dis que cette idée et mauvaise et irréalisable. »

    Rappelons que la Slovaquie et la Hongrie ont porté plainte devant la Cour européenne de Justice contre le système de quotas.

    Le Premier ministre tchèque, Bohuslav Sobotka, a déclaré quant à lui que la République tchèque, qui préside actuellement le groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, République tchèque, Slovaquie), organisera un sommet extraordinaire de ce groupe le 15 février sur la question des migrants.

  • 20 réfugiés…

    L’Irish Times nous apprend que 20 demandeurs d’asile inscrits dans le plan européen de relocalisation des « réfugiés » ont demandé à s’installer en Irlande.

    20 sur 160.000 : il est clair que les Syriens n’aiment pas la Guinness.

    L’Irish Times constate aussi que sur les 160.000 demandeurs d’asile, 322 ont été réellement relocalisés jusqu’ici…

  • Médias de l’Est

    Le Courrier international a traduit un article de la section bulgare de la Deutsche Welle, qui est une brève revue de presse sur les événements de Cologne et autres lieux : « Que cela soit en Pologne, en République tchèque, en Hongrie ou en Slovaquie, les médias disent une seule et unique chose : “Ce qui s’est passé à Cologne était logique et inéluctable, et nous vous avions prévenus de ce danger”. »

    « La crise migratoire a donné naissance à une sous-culture d’altruistes naïfs et bien-pensants. » (Sme, Slovaquie)

    « Il aurait fallu qu’une chaîne de télévision fasse son direct depuis la place de la gare à Cologne au moment des émeutes pour que s’écroule la vision angélique qu’ont certains des migrants. Mais cela ne s’est pas fait, parce que les journalistes allemands sont eux-mêmes sous l’emprise du politiquement correct. » (Magyar Idök, Hongrie)

    « Les Européens de l’Ouest regardent avec des yeux grand fermés la vague migratoire qui les submerge et le compte à rebours des bombes humaines jihadistes qui sillonnent les rues de leurs villes. Les élites sont désorientées et incapables d’arrêter ce flux, de juguler la radicalisation tout comme d’intégrer efficacement les nouveaux venus. La grande cloche de la cathédrale de Cologne sonne la fin de paix civile sur le Vieux Continent. » (Standart, Bulgarie)

  • L’Orient…

    Le premier bébé de l’année à Lorient s’appelle Aïda. Elle est la fille de Saïd et Mina. Elle a deux sœurs, Manal et Basma, et un frère : Islam.

  • Réfugiés

    Deux frères irakiens âgés de 23 ans ont été arrêtés vendredi en Finlande.

    On les voit sur une vidéo assassinant 11 recrues de l’armée irakienne en juin 2014, lors du massacre de centaines de recrues par l’Etat islamique.

    Ils sont arrivés en Finlande en septembre et séjournaient dans un centre pour demandeurs d’asile.

  • Actualité des “réfugiés”

    Lors d’une audition par des commissions de l’Assemblée nationale (française), le commissaire européen aux migrations Dimitris Avramopoulos a déclaré :

    « Les premiers transferts dans le cadre de la relocalisation sont un pas encourageant, mais j'ai été déçu de la réponse donnée par certains Etats. La France y a contribué, mais il faut vite passer à la vitesse supérieure. »

    La « relocalisation » prévoit le transfert de 160.000 demandeurs d’asile. La France s’est engagée à en accueillir 30.000 (en plus de ceux qui sont arrivés ou qu'on est allé chercher en Allemagne), et, nous dit-on, elle est l’un des rares pays à avoir commencé. En effet, elle a accueilli 19 Erythréens.

    *

    Selon Viktor Orban, un accord "semi-secret" prévoyant de relocaliser au sein de l'Union européenne de 400.000 à 500.000 « réfugiés » syriens en provenance de Turquie pourrait être annoncé cette semaine. Le Premier ministre hongrois dit s'attendre à subir d'intenses pressions pour qu'il accepte que son pays accueille un certain nombre de ces migrants, alors qu’elle ne pourra pas le faire. 

    *

    Le Premier ministre slovaque Robert Fico annonce qu’il a saisi la Cour de justice de l'Union européenne contre les quotas de répartition de « migrants ».

  • La seule vraie manifestation de solidarité avec la France

     

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    Hier, comme chaque 17 novembre, avaient lieu plusieurs rassemblements à Prague. Le 17 novembre c’est l’anniversaire à la fois de la révolte étudiante contre les nazis en 1939, et de la révolution de velours contre les Soviétiques en 1989. Hier il y avait notamment une manifestation contre l’islam et contre l’immigration organisée par le « Bloc contre l’islam », en soutien au président de la République Milos Zeman pour sa position claire et nette contre l’invasion des prétendus « réfugiés ».

    Or le principal orateur fut… Milos Zeman lui-même. Faisant fi de toute critique pour sa participation à une manifestation « xénophobe » organisée par des « fascistes », il a tenu un discours ouvertement dirigé contre le politiquement correct et les médias qui le véhiculent.

    Il a commencé par demander une minute de silence pour les victimes des attentats parisiens. Puis il a rappelé le sens du double anniversaire : la nation tchèque n’accepte pas d’être occupée, elle n’accepte pas la manipulation, elle n’accepte pas la camisole de force d’une pensée unique et l’opinion en uniforme. « Et si aujourd’hui nous vivons dans une société libre, où le lavage de cerveau est plus difficile que par le passé, cela ne signifie pas qu’il n’existe plus. » Et de citer trois sortes de manipulateurs : les défenseurs autoproclamés de « valeurs » qu’ils définissent eux-mêmes, les « leaders d’opinion » qui dirigent l’opinion publique, et les pires, les « faiseurs d’opinion », qui méprisent les citoyens au point de les prendre pour de la pâte à modeler… « Mais nous qui sommes la pâte, nous ne sommes pas de la pâte à modeler, nous qui sommes réunis ici essayons de penser de façon indépendante. »

    Milos Zeman a alors souligné que dans une société libre chacun devait pouvoir faire valoir son point de vue, et qu’on n’a pas le droit d’invalider le point de vue contraire par des insultes comme « extrémistes, xénophobes, islamophobes, racistes et fascistes ». Ces étiquettes montrent seulement « l’insuffisance de pensée de ceux qui les utilisent ».

    « Notre nation n’est pas xénophobe », a-t-il poursuivi, il y a un demi-million d’étrangers chez nous, et ils sont pleinement acceptés. « Mais leur culture est entièrement compatible avec les valeurs européennes, ce n’est pas une culture de meurtriers, ce n’est pas une culture de haine religieuse. »

    Et d’embrayer sur les « réfugiés » :

    « Je sais que la grande majorité de ces migrants clandestins sont des hommes jeunes, bien nourris. Et je me demande pourquoi ces hommes ne se battent pas pour la liberté contre l’Etat islamique dans leur pays. Et s’ils viennent de pays qui ne sont pas en guerre, je me demande pourquoi ils ne travaillent pas pour leur pays et pour qu’il surmonte son retard. »

    Et d’ajouter aussitôt :

    « La voix du président de la République doit être la voix de la nation, pas la voix des médias, pas un porte-voix médiatique. Même si je reconnais que j’aurais une vie plus confortable si j’étais la voix des médias. Les journalistes qui écrivent chaque jour autre chose sans avoir rien compris me loueraient par de beaux discours. Mais je suis en conflit avec ces gens-là. »

    Il a conclu en appelant à faire tout ce que nous pouvons pour « continuer de vivre dans une société libre où nous apprécions la diversité des points de vue, où nous discutons, où nous argumentons, où nous ne sommes pas soumis à un lavage de cerveau ».

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