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Immigration - Page 18

  • Mûrs pour la dhimmitude

    Titre du Huffington Post :

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    Après Sevran et La Chapelle-Pajol, les femmes n’ont-elles plus droit de cité dans nos quartiers populaires?

    On lit ensuite :

    Les femmes sont devenues les premières victimes de la montée du sexisme, de l'insécurité et du harcèlement de rue. À Paris le phénomène a pris une ampleur inédite.

    Tout l’article est de la même veine. On y parle d’une « situation d’un autre âge », de la façon dont on pourrait lutter contre cette « gangrène sexiste », contre les « tenants du machisme archaïque »…

    Mais il n’y a pas un mot sur le processus qui a conduit à cette situation. Pas la moindre allusion au fait que les quartiers « populaires » sont ceux d’autres peuples, et surtout d’une autre religion. D'une religion qui fait sa loi, qui s'appelle charia. Le mot « islam » est devenu tabou. Le « sexisme » est une calamité sans origine. Qu’en France des rues soient interdites aux femmes est une sorte de catastrophe naturelle du XXIe siècle.

    Si l’on s’astreint à écrire des articles entiers sur ce phénomène sans employer le mot islam (celui-là n’est pas le seul, loin de là, mais il a le titre le plus violemment mensonger), c’est qu’on est mûr pour la dhimmitude.

    Et pour enfoncer le clou, on nous prévient :

    Paris : harcèlement de rue, attention aux amalgames !

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  • Eurodictature

    La Commission européenne a prévenu hier que les pays qui n’auront pas accepté des demandeurs d’asile d’ici juin encourront une procédure de sanction.

    Beata Szydlo, Premier ministre de Pologne, a immédiatement répondu qu'il n'y a pour son pays « aucune possibilité de prendre des réfugiés. C'est la position du gouvernement. Nous disons très clairement : il n’y a aucun accord du gouvernement polonais pour se voir imposer de force des quotas de réfugiés ».

    On constatera que la Commission européenne n’attend même pas le jugement de la Cour européenne de Justice pour proférer ses menaces. Car l’affaire est pendante depuis que la Hongrie et la Slovaquie ont porté plainte contre les quotas. Dans une démocratie, on attendrait le verdict de la Cour suprême…

  • Le Danemark résiste

    Le 2 mai dernier, la Commission européenne a fait savoir que l'Autriche, le Danemark, l'Allemagne, la Suède (et la Norvège comme membre aussi de l’espace Schengen) étaient autorisés à prolonger les contrôles aux frontières pendant six mois supplémentaires, mais que ce serait la dernière fois.

    En réponse à une question d’un député du parti du peuple danois, hier, le Premier ministre Lars Løkke Rasmussen a déclaré :

    « Nous continuerons les contrôles aux frontières, à moins que l'UE ne trouve miraculeusement le moyen de reprendre le contrôle de ses frontières extérieures et que l'Italie freine le flux de réfugiés vers Europe. Il y a beaucoup beaucoup trop de gens venant d’Afrique en Europe via l’Italie pour que nous rouvrions les frontières. »

    Et d’insister :

    « Tant que les frontières de l’UE ne seront pas sous contrôle, nous devons maintenir nos propres contrôles. »

    Et d’ajouter que son « propre pronostic » est que « ce n’est pas un scénario probable dans les six prochains mois ».

    Rasmussen a ajouté :

    « Personne dans mon entourage politique n'est en faveur de frontières ouvertes avec l’Afrique, c’est plutôt le contraire... Nous avons introduit des règles pour protéger le Danemark, avec grand succès. C'est pourquoi nous avons maintenant le plus petit nombre de demandeurs d'asile depuis huit ans. »

  • 12 ça suffit

    D’après les quotas décidés par la Commission européenne, la Tchéquie doit accueillir 1.600 « réfugiés ».

    Pour l’heure, elle en a accueilli… 12, et a décidé qu’il n’y en aurait pas davantage.

    Le ministre de l’Intérieur, Milan Chovanec, a déclaré (sur un site ouvertement anti-immigration, anti-UE et anti-islam) : « Je pense qu’il n’est plus possible d'en accueillir. » Et il se dit prêt à encourir les sanctions : « C’est au gouvernement d’évaluer si cela vaut la peine d'être sanctionné ou non. A mon avis, c'est le cas. On ne peut pas laisser des gens entrer ici sans contrôle. »

    On sait que c’est aussi la position du vice-Premier ministre Andrej Babis et du Président Milos Zeman.

  • Les « réfugiés », la Hongrie et l’ONU

    Le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) « exhorte » l'Union européenne à suspendre les transferts de demandeurs d'asile vers la Hongrie.

    Est-ce que l’ONU reconnaîtrait finalement la légitimité de la politique de Viktor Orban ? Certes non. C’est tout le contraire. Mais le résultat est le même : n’envoyez plus de « réfugiés » en Hongrie…

    Désormais tout demandeur d’asile entrant en Hongrie est détenu dans un camp à la frontière jusqu’à ce que les autorités décident de son sort. C’est insupportable pour le Haut-Commissaire Filippo Grandi, qui déclare en conséquence : « J’exhorte les Etats à suspendre tout transfert de demandeurs d'asile vers ce pays jusqu'à ce que les autorités hongroises mettent leurs pratiques et politiques en conformité avec le droit européen et international. »

    Ah oui ?

    Mais que dit le droit international ? Il dit ceci (Convention de Genève sur les réfugiés, article 9) :

    Aucune des dispositions de la présente Convention n'a pour effet d'empêcher un Etat contractant, en temps de guerre ou dans d'autres circonstances graves et exceptionnelles, de prendre provisoirement, à l'égard d'une personne déterminée, les mesures que cet Etat estime indispensables à la sécurité nationale, en attendant qu'il soit établi par ledit Etat contractant que cette personne est effectivement un réfugié et que le maintien desdites mesures est nécessaire à son égard dans l'intérêt de sa sécurité nationale.

    Le gouvernement hongrois ne contrevient donc en rien au droit international.

    Et que dit le droit européen ? Que tout demandeur d’asile doit être renvoyé dans le premier pays où il a fait une demande d’asile : si cet Etat est la Hongrie, il doit être renvoyé en Hongrie. Et le Haut Commissaire demande alors aux Etats de l’UE de violer le droit européen…

  • Colonisation

    Vu sur Fdesouche :

    Sans titre.jpeg

    Mais attention, pas d'amalgame...

     

  • Etonnant

    Jusqu’ici, le cardinal Turkson, préfet du « Dicastère pour le service du développement humain intégral », était jusqu’ici la voix de son maître, tant sur la question du culte de la terre mère que sur celle de l’accueil illimité, enthousiaste et obligatoire des « migrants ».

    Or voici que dans un colloque sur les 50 ans de Populorum progressio, il a déclaré :

    « L’immigration c’est comme l’eau qui coule du robinet : il ne faut pas seulement essuyer, mais fermer le robinet. »

    Il a expliqué que la « préoccupation » des pays d’accueil était due à leur baisse démographique : « là où il y a plus d’hôtes que d’enfants, il y a toujours une tension ». Pour donner asile, il faut « une sécurité dans la démographie locale ». D’où aussi la montée des « nationalismes », exprimant « la préoccupation d’un pays d’être englouti par l’arrivée en masse de nouvelles populations ».

    Pour ce qui est du changement climatique, pas de changement. Ou plutôt, il fait encore plus fort que le pape : il est allé jusqu’à citer la Chine comme chef de file mondial de la protection de l’environnement. Sic. (Par haine de Trump qui « va dans la direction opposée »…)

  • En Norvège

    Sylvi Listhaug est ministre des Migration et de l’Intégration en Norvège. Elle est membre du parti du progrès (une bande d’affreux « populistes »).

    Voici la dernière affiche du parti du progrès. Silvy Listhaug fait savoir, avec un grand sourire, que « près de 10.000 criminels étrangers ont été renvoyés chez eux ».

    En haut de l’affiche le slogan du parti : « Une vie plus facile pour les gens ».

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    Et voici l’affiche précédente, toujours avec Silvy Listhaug : « Laissez Sylvi porter une croix ». « Soutenez-vous Sylvi ? »

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  • Il faut fêter ça !

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    Inger Stojberg, ministre danois de l'Intégration, a provoqué une tempête sur les réseaux sociaux en publiant une photo sur Facebook où elle pose, souriante avec un gâteau dans les mains, pour fêter l’ajout de la 50e clause à la loi qui restreint l’immigration :

    « Aujourd'hui, la cinquantième clause de restriction de l'immigration a été adoptée. Il faut fêter ça ! »

    En janvier 2016, le texte qui ajoutait à la loi la confiscation des avoirs des migrants au-delà de 10.000 couronnes (1.340 €), voté par 81 députés sur 109, avait fait scandale. (On oubliait que c’était aussi le cas en Suisse et au Bade-Wurtemberg).

    Le Haut commissariat de l’ONU aux réfugiés avait protesté. En novembre 2016 Inger Stojberg annonçait que le Danemark n’accueillerait plus les réfugiés que lui envoie l’ONU : « Le Danemark a la responsabilité d'aider les personnes qui veulent se réfugier. Mais nous avons aussi la responsabilité de maintenir la cohésion économique, sociale et culturelle du Danemark. »

  • Menaces dans le vide

    La Commission européenne a durci le ton, hier, sur la question des migrants. Et dans les deux directions, nous assure-t-on : les pays membres de l’UE doivent expulser les migrants qui ne répondent pas aux critères, et les pays membres doivent accueillir les demandeurs d’asile agréés par l’UE, faute de quoi la Commission n’hésitera pas à lancer des procédures d’infraction.

    C’est parler pour ne rien dire.

    Les migrants clandestins continuent d’affluer par milliers, venant renforcer les centaines de milliers qui sont déjà là. Si les pays qui ont ouvert leurs portes étaient aussi ceux qui expulsent, ça se saurait. Et la palinodie de Mme Merkel ne peut convaincre personne. Renvoyer de temps en temps 50 Afghans quand le pays est littéralement envahi, c’est ridicule. Or un gouvernement européiste ne peut pas faire davantage, car l’idéologie européiste s’oppose à des mesures efficaces que les grandes consciences ne pourraient que juger barbares.

    Il y a d’autre part les pays qui ont refusé d’accueillir les clandestins, et qui sont dénoncés nommément par la Commission : la Hongrie, l’Autriche et la Pologne qui « refusent toujours de participer au programme », la République tchèque, la Bulgarie, la Croatie et la Slovaquie qui « n’y prennent part que dans une mesure très limitée ». Ce n’est pas la première fois que la Commission les menace, et ça ne changera rien. En tout cas dans l’avenir proche, puisque pour l’instant c’est le programme qui fait l’objet d’une procédure, de la part de la Hongrie et de la Slovaquie…

    En outre et surtout on parle d’un nombre ridicule de « migrants », sans commune mesure avec la réalité. Le fameux « programme » consistait à « relocaliser » 160.000 « réfugiés ». Un an et demi plus tard, ils sont 13.500 à avoir été « relocalisés »… Que la Hongrie refuse d’honorer son quota de… 1.294 « réfugiés » (cette précision ubuesque des bureaucrates de Bruxelles !), franchement, ça change quoi ?