Titre du Huffington Post :
Après Sevran et La Chapelle-Pajol, les femmes n’ont-elles plus droit de cité dans nos quartiers populaires?
On lit ensuite :
Les femmes sont devenues les premières victimes de la montée du sexisme, de l'insécurité et du harcèlement de rue. À Paris le phénomène a pris une ampleur inédite.
Tout l’article est de la même veine. On y parle d’une « situation d’un autre âge », de la façon dont on pourrait lutter contre cette « gangrène sexiste », contre les « tenants du machisme archaïque »…
Mais il n’y a pas un mot sur le processus qui a conduit à cette situation. Pas la moindre allusion au fait que les quartiers « populaires » sont ceux d’autres peuples, et surtout d’une autre religion. D'une religion qui fait sa loi, qui s'appelle charia. Le mot « islam » est devenu tabou. Le « sexisme » est une calamité sans origine. Qu’en France des rues soient interdites aux femmes est une sorte de catastrophe naturelle du XXIe siècle.
Si l’on s’astreint à écrire des articles entiers sur ce phénomène sans employer le mot islam (celui-là n’est pas le seul, loin de là, mais il a le titre le plus violemment mensonger), c’est qu’on est mûr pour la dhimmitude.
Et pour enfoncer le clou, on nous prévient :
Paris : harcèlement de rue, attention aux amalgames !