Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Immigration - Page 13

  • Un endroit de Calais où il n’y a pas de migrants

    5a9eafa309fac2a7298b4567.jpeg

    Aujourd’hui avait lieu la première distribution de nourriture aux migrants de Calais par une association mandatée par l’Etat. Déjà à la télévision vers 13h45 je voyais qu’il n’y avait personne. Absolument personne. Je me disais que ce n’était pas encore le moment. Mais ce soir on constate qu’il y a eu… deux migrants. Et une trentaine de journalistes.

    L’essentiel est que Macron a tenu sa promesse, bien sûr…

  • Le Hongrois se rebiffe

    Dans son discours d’ouverture de la session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, à Genève, le Haut Commissaire Zeid Ra'ad Al Hussein a déclaré que les « xénophobes et les racistes étaient dépourvus de tout sentiment de gêne, comme Viktor Orban » dans une Europe où « l'oppression est à la mode, l'Etat sécuritaire est de retour et les libertés fondamentales sont aux abois ».

    Le ministre hongrois des Affaires étrangères Péter Szijjártó, non sans s’étonner que le Haut Commissaire se soit éclipsé et ne soit donc pas là pour entendre la réponse de ceux qu’il met en cause, a jugé « inacceptable » de comparer son pays « aux pires dictatures du siècle passé », a souligné que « la migration est quelque chose de dangereux » et que celle, « massive », de 2015, avait « donné l'occasion aux organisations terroristes d'envoyer leurs activistes, leurs terroristes, leurs combattants en Europe ».

    Il a ajouté : « Il est très inapproprié que des responsables de l'ONU accusent des Etats membres et des dirigeants élus démocratiquement. Il est évident que Zeid Ra'ad Al Hussein doit démissionner. »

  • En Autriche

    Karin Kneissl, ministre autrichienne des Affaires étrangères, a déclaré que l’Union européenne avait besoin d’une « réforme complète de l’ensemble du système d’asile et de la gestion des frontières ».

    Dans quel sens ? Celui indiqué par Viktor Orbán, concernant la prévention de l’immigration illégale notamment par la fermeture des frontières.

    Elle a dit :

    « L’Autriche a toujours accueilli des gens. Mais vous devez aussi vous demander d’où ils proviennent. Je me souviens que lorsque la loi martiale a été proclamée en Pologne dans mon enfance, nous avons soudainement eu cinq enfants polonais dans la classe qui étaient venus seuls. Ils partageaient notre culture. »

    Et encore :

    « Il y a des migrants qui ne seraient jamais venus sans l’appel de Merkel. Je voyageais au Proche-Orient à l’automne 2015 et j’ai rencontré beaucoup de gens qui disaient: “Merkel nous a appelés!” Ils ont abandonné leur travail pour migrer en Europe. »

    A l'automne 2015 (elle était journaliste), elle avait déjà souligné que la plupart d'entre eux étaient des migrants économiques et que les demandeurs d'asile sont pour la plupart des jeunes hommes de 20 à 30 ans.

    Karin Kneissl a été nommée au gouvernement par le FPÖ (dont elle ne fait pas partie). Elle est une authentique spécialiste du Proche-Orient.

  • Exportation

    « Les prisons romandes paient les factures d’une politique de l’immigration qui a des effet considérables », affirme Franz Walter, directeur de la prison de Bellechasse (canton de Fribourg, Suisse).

    Selon ses chiffres, 80% des détenus dans les prisons romandes sont des étrangers, alors que le taux de population étrangère n’est « que » de 50 à 60% dans les prisons alémaniques.

    Plus de 95% des détenus sont des hommes, d’une moyenne d’âge d’environ 35 ans. Parmi les origines ethniques majoritaires se trouvent les pays d’Europe de l’Est, l’Afrique noire et le Maghreb. « Avec malheureusement une bonne partie de Maghrébins venus des banlieues de France », détaille le directeur de prison.

    (RTS)

  • Le Bulgare ne prend pas de gants

    Jeudi dernier il y avait à Bruxelles une conférence sur la sécurité et la gestion des migrations dans les Balkans. Il y avait là forcément le commissaire européen ad hoc, Dimitris Avramopoulos, qui assura que le plan de relocation des migrants avait été « une réussite européenne » (« a european success story »). Prenant ensuite la parole, Boyko Borisov, Premier ministre bulgare, qui assure à ce titre la présidence tournante du Conseil européen, déclara tout net que cette politique avec été « un échec complet » et qu’il fallait donner des solutions permettant d’en finir avec le « chaos » engendré par cette politique…

    « Au lieu de nous disputer entre nous pour savoir combien de migrants chacun doit accepter, nous devons adopter une nouvelle approche. »

    Laquelle, dit Borisov, passe par le renforcement des frontières extérieures de l’UE, et la définition de critères distinguant clairement les réfugiés des migrants économiques à des points d’entrée, tout en améliorant les échanges de données entre les Etats membres pour mieux suivre les terroristes potentiels.

    Non seulement il faut sélectionner les « migrants » avant qu’ils entrent sur le territoire de l’UE, mais, a-t-il ajouté, il faudrait construire des installations sécurisées sur les frontières des pays en guerre afin de traiter cette question avant que les migrants potentiels quittent leur pays.

    Quant à ceux qui sont là et qui ne sont pas de vrais réfugiés, il faut qu’ils rentrent chez eux : « Je ne comprends pas pourquoi nous devrions verser des milliards d’euros dans les économies de pays comme l’Afghanistan, la Libye et la Syrie et ensuite réparer les dégâts causés par quelqu’un d’autre. Nous devons réfléchir à comment préparer les gens de ces pays à rentrer chez eux et à réparer leurs propres économies. »

  • L’Erythrée attaque l’Afghanistan

    Une centaine d’Erythréens ont attaqué une vingtaine d’Afghans, puis, 150 à 200 autres Erythréens ont attaqué d’autres Afghans. Il y a 13 blessés, dont quatre par arme à feu sont entre la vie et la mort.

    A Calais. Puisqu’il n’y a pas de frontière entre l’Erythrée et l’Afghanistan.

  • Autriche-Hongrie

    3795ba9c8183e13c122889c268a5a398.jpeg

    Le nouveau chancelier autrichien Sebastian Kurz a reçu hier à Vienne le Premier ministre hongrois Viktor Orbán.

    Les deux hommes se sont montrés en parfait accord sur la politique migratoire, contre les quotas européens obligatoires, pour l’arrêt absolu de l’immigration illégale qui menace la civilisation chrétienne, et pour le contrôle des frontières extérieures de l’UE. Sebastian Kurz a félicité Viktor Orbán d’avoir réussi à couper la route des Balkans.

    Sebastian Kurz a répété ce qu’il avait dit à Angela Merkel, que l’Autriche souhaite être un « pont » entre l’Europe occidentale et les pays d’Europe centrale, et donc que son adhésion au Groupe de Visegrád n’est pas à l’ordre du jour.

    Cependant, ce que Viktor Orbán aura retenu, et qui aura été reçu 5/5 à Bruxelles, est que l’Autriche est ouvertement un allié de la Hongrie et des autres pays du V4 contre la politique migratoire de l’UE.

    (Sur la photo on remarquera une différence avec les pays du V4: ceux-ci n'ont jamais le drapeau de l'UE sur les photos officielles.)

  • Pauvres enfants

    Un nouvel accord de coopération entre la Suède et le Maroc pour partager leurs bases de données des empreintes digitales a révélé que près de 90% des demandeurs d’asile marocains « mineurs » sont en réalité des adultes.

  • Stop Soros

    Le gouvernement hongrois a présenté hier une série de nouvelles mesures législatives destinées à lutter contre l’immigration illégale. Le paquet est intitulé « Stop Soros », du nom de la consultation populaire qui a été un grand succès. Les dispositions les plus importantes sont que toute organisation qui soutient l’immigration illégale en étant financée de l’étranger devra être enregistrée et rendre compte de ses activités, et que toute organisation qui recevra davantage de fonds de l’étranger que de Hongrie devra payer une taxe de 25% sur les fonds reçus de l’étranger. Des ordonnances restrictives pourront être émises à l’encontre de Hongrois prenant part à l’immigration illégale près de la frontière, et si ce sont des étrangers ils pourront être interdits de séjour.

    Le paquet Soros va faire l’objet d’une consultation populaire avant d’être soumis aux députés.

    (Les méchantes langues diront que cela fait partie de la campagne électorale du Fidesz pour les élections du 8 avril. Ce n’est sans doute pas faux, mais le Fidesz est assuré de toute façon de remporter les élections haut la main, les observateurs constatant – dépités - qu’il n’y a pas d’opposition crédible.)

  • "Réfugiés"…

    Selon une étude officielle réalisée par le criminologue Christian Pfeiffer, ancien ministre social-démocrate de Basse-Saxe, les actes de violence ont augmenté de 10,4% dans ce Land entre 2014 et 2016, et 92,1% des crimes et délits constituant cette hausse est le fait de « réfugiés » (personnes de nationalité étrangère ayant fait une demande d’asile).

    L’étude montre aussi que la majorité de ces « réfugiés » sont des Maghrébins. De jeunes hommes entre 14 et 30 ans, qui « ont intériorisé des normes de masculinité légitimant le recours à la violence »…

    Mais c'est Beatrix von Storch la coupable...

    Sans parler de la Pologne et de la Hongrie qui osent refuser cet enrichissement...