Le chantage à « l’humanitaire ». Les gauchistes français de l’Aquarius ont décidé de faire débarquer en Sicile 629 migrants clandestins. La provocation est évidente : il s’agit de tester le nouveau gouvernement italien anti-immigration, dont le ministre de l’Intérieur est Matteo Salvini, le « chef de la Ligue d’extrême droite », comme je l’ai entendu tout à l’heure. Le gouvernement a refusé d’accueillir le bateau et a demandé à Malte de le faire. Malte a refusé. Du coup l’ONU et l’UE ont intimé l’ordre à l’un ou l’autre pays d’accueillir les « migrants » au nom de « l’impératif humanitaire », sans s’occuper des questions légales qui sont « tout sauf claires ».
Finalement c’est le nouveau gouvernement espagnol socialiste qui a décidé d’accueillir le bateau français plein de clandestins africains…
L’impératif humanitaire est désormais le principal levier de l’immigration clandestine, qui se fait donc ouvertement avec l’aval empressé de l’ONU et de l’UE.
Et pour bien faire admettre l’inadmissible, tout le monde parle de réfugiés. Alors qu’il n’y a évidemment pas de réfugiés sur ce bateau, mais des jeunes Africains qui viennent s’installer en Europe pour avoir un meilleur niveau de vie.
Le scénario est connu depuis longtemps. On se fait prendre à bord d’un bateau « humanitaire » qui « sauve » les « réfugiés ». Une fois arrivé dans le pays de son choix, on demande l’asile. Demande évidemment rejetée, mais le clandestin est installé, défendu par les « associations », et il lui suffit d’attendre la prochaine vague de « régularisations »…
Et on appelle cela l’état de droit…
Et si une fois, une seule fois, le bateau était reconduit manu militari dans un port « libyen ». Juste pour montrer aux candidats à l’immigration que ce n’est pas forcément automatique…
Et si l’on mettait en prison les gauchistes qui pêchent les clandestins, tout simplement parce qu’ils sont dans l’illégalité la plus flagrante ?
Bon, on peut rêver…
Mais le cauchemar, lui, est là. Ça continue de débarquer par milliers…