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François (pape) - Page 4

  • Les invités aux noces

    S'il y en a qui s'intéressent encore aux hérésies bergogliennes, je leur conseille ce remarquable article de José Arturo Quarracino sur l'exégèse idéologique anti-évangélique de la parabole des invités aux noces. La situation s'aggrave en permanence.

    (José Arturo Quarracino, ancien professeur de théologie et de philosophie, aujourd'hui essentiellement traducteur - et chroniqueur, est un neveu du cardinal Antonio Quarracino, prédécesseur de Bergoglio comme archevêque de Buenos-Aires.)

  • Et de trois

    La haine de Bergoglio envers son prédécesseur a fait une nouvelle victime : Mgr Alfred Xuereb, qui avait été le deuxième secrétaire de Benoît XVI, et qui n’a jamais eu le moindre mot déplaisant envers le maître de Sainte-Marthe.

    En 2018, Mgr Xuereb a fait l’objet d’une spectaculaire promotion sanction : il a été nommé nonce apostolique en Corée et Mongolie.

    François se rend en Mongolie du 31 août au 4 septembre. Et pour ne pas voir Mgr Xuereb, il l’a viré, très discrètement, le 19 juin, sans lui donner un autre poste. Il a 64 ans…

    Ainsi ont déjà été virés sans affectation les deux autres secrétaires de Benoît XVI : Mgr Joseph Clemens en 2016, et Mgr Georg Gänswein tout récemment.

  • Congratulations

    Le plus riche inverti des pourrisseurs militants planétaires et le pape : quelle belle rencontre.

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  • On verrouille

    François a annoncé la création de 21 nouveaux cardinaux le 30 septembre prochain, pour être bien certain que les « processus » qu’il a « initiés » continuent, après lui, de faire descendre l’Eglise latine dans sa spirale infernale.

    Parmi les nouveaux cardinaux à sa botte il y a évidemment l’hérétique nouveau préfet du dicastère de la doctrine contre la foi.

    Il y a aussi une curiosité. Je ne sais pas si c’est la première fois, mais c’est une totale aberration : il fait cardinal un… évêque auxiliaire, celui de Lisbonne (là où la liturgie traditionnelle est strictement interdite depuis Paul VI sans interruption).

    Déjà l’existence même d’évêques auxiliaires est une aberration. Mais qu’un évêque qui est sous les ordres d’un autre évêque (prétendument patriarche, ce qui est encore une autre aberration), devienne cardinal, autrement dit un prolongement du pape, qui a autorité sur tous les évêques, y compris donc sur son « patriarche », voilà qui est phénoménal.

    Ou alors c’est un clin d’œil au temps révolu où un cardinal avait prééminence sur les patriarches catholiques orientaux... Bravo l’œcuménisme…

  • Son synode

    La liste des participants au premier synode sur la synodalité a été rendue publique.

    On note que cela s’appelle toujours « synode des évêques », alors que vont y participer nombre de non-évêques, y compris nombre de laïcs avec droit de vote. Et même parmi les neuf présidents délégués du synode (le président en titre étant le pape), il y a trois non-évêques, dont une laïque japonaise.

    Parmi les invités les plus célèbres il y a le cardinal Cupich pourfendeur de la messe traditionnelle, promoteur de messes LGBT, admirateur du chemin synodal allemand ; le cardinal De Kesel, signataire du document instituant la bénédiction des couples de même sexe en Belgique ; le cardinal McElroy, qui selon les évêques Paprocki et Schneider s’est excommunié lui-même en promouvant la communion aux LGBT actifs ; le cardinal Maradiaga, le grand ami de François, impliqué dans plusieurs scandales sexuels et financiers, etc.

    Et bien sûr le P. James Martin, qu’on ne présente plus.

    Et encore le militant de l’extrême gauche italienne Luca Casarini, l’un des principaux protagonistes des émeutes de Gênes en 2001, aujourd’hui chef de mission de l’organisation de « sauvetage » de « migrants » Mediterranea Saving Humans, et qui dit dans sa toute dernière interview : « Je me sens plus chrétien que catholique, proche de ceux qui vivent leur foi en Jésus, le plus grand révolutionnaire de tous les temps. » Lui aussi a droit de vote au synode.

    Sans oublier que l’un des deux « assistants spirituels » est le militant LGBT dominicain Timothy Radcliffe.

    Bon synode…

  • Entre potes

    François n'est jamais plus à l'aise que lorsqu'il reçoit les pires pourritures. Hier c'était Bill Clinton et Alex Soros.

  • Le Tuche au Vatican

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    François a nommé samedi Mgr Victor Manuel Fernández, Tucho pour les intimes, préfet du dicastère pour la doctrine de la foi, qui devient donc ipso facto le dicastère contre la doctrine de la foi, selon le titre hélas justifié de l’éditorial de Stefano Fontana dans la Nuova Bussola Quotidiana.

    Je ne vais pas m’étendre sur le sujet. On trouvera tous les éléments et toutes les analyses dans les articles traduits sur le site Benoît et moi. C’est un dossier complet et un acte d’accusation implacable.

    Une phrase d’Aldo Maria Valli suffit à le définir :

    Proche collaborateur et ami de Bergoglio, son nègre et inspirateur, Fernández est la négation même de la doctrine catholique.

    C’est aussi Aldo Maria Valli qui, rappelant que le Tuche de Bergoglio s’est fait connaître par son livre « Guéris-moi avec ta bouche – L’art du baiser », ajoute que dans une série télévisée un jeune prêtre et une religieuse ont une histoire d’amour après avoir lu un autre livre du même : « Théologie spirituelle incarnée ». Mais c’est surtout lui qui a introduit les pires divagations des documents officiels de François.

    Le Tuche de Bergoglio sera aussi président de la Commission biblique pontificale et de la Commission théologique internationale. Il va faire la paire avec Vincenzo Paglia, grand-chancelier de l'Institut pontifical Jean-Paul II et président de l'académie pontificale contre la vie. A eux deux ils vont pouvoir accélérer la destruction de l’Eglise selon les vœux de Bergoglio, et les synodes sur la synodalité vont leur donner tous les prétextes possibles.

    Le pire dans cette affaire est la lettre de Bergoglio à son Tuche (écrite selon certains par le Tuche lui-même), où on lit :

    « Le dicastère que tu présideras est allé jusqu’à utiliser à certaines époques des méthodes immorales. Il y a eu des moments où, au lieu de promouvoir la connaissance théologique, on a poursuivi d’éventuelles erreurs doctrinales. Ce que j’attends de toi est assurément quelque chose de très différent. »

    C’est une première historique qu’un pape dénonce l’immoralité d’un dicastère romain, mais surtout tout le monde comprend que c’est une dénonciation du Panzerkardinal Joseph Ratzinger, et que ce temps est révolu où le dicastère pour la doctrine de la foi avait pour mission de protéger la foi catholique et osait condamner « d’éventuelles erreurs doctrinales » qui ne peuvent pas exister (sauf chez les tradis, naturellement). Le Tuche est du reste ouvertement hérétique, lui qui affirme, et fait affirmer à son complice François, qu’un prêtre doit toujours donner l’absolution et ne peut pas refuser la communion.

    Sur le plan liturgique, le Tuche archevêque de La Plata a interdit toute messe traditionnelle et imposé que toutes les messes soient en espagnol face au peuple.

  • Confidences

    Juan-Carlos Cruz est un inverti fier de l’être, d’autant plus fier qu’il a été nommé par François en 2021 membre de la Commission pontificale pour la protection des mineurs. Il était l’un des principaux invités du P. James Martin lors de l’Outreach Conference organisée du 16 au 18 juin par le propagandiste jésuite LGBT grand ami de François (et consultant quant à lui du Dicastère pour la communication).

    Juan-Carlos Cruz a notamment évoqué la réaction de François au document de la Congrégation pour la doctrine de la foi condamnant les bénédictions pour les couples de même sexe :

    « J'ai vu sa douleur quand - et je ne peux pas en dire trop parce qu'il a eu des conversations très profondes - mais j'ai écrit un article dans un journal chilien quand cette lettre de la Congrégation pour la doctrine de la foi a été publiée il y a deux ans, disant que vous ne pouvez pas bénir, vous savez, c'est un péché de bénir des mariages, etc. Il a été blessé par cela, parce que - et c'est mon point de vue, je ne suis pas un initié du Vatican, en fait j'ai peur d'eux - mais je pouvais voir à quel point il était blessé, quand les gens étaient horrifiés par cela bien sûr, et il m'a dit : “Ecoutez, je ne l'ai pas signée.” Une telle déclaration ne le justifie pas, puisque c'est lui le pape, mais pour sa défense, vous devez me croire, les personnes qui ont écrit cette lettre ne font plus partie de la Congrégation pour la doctrine de la foi. Et c'est très bien, mais nous devons faire beaucoup, beaucoup plus. »

    De fait, Juan-Carlos Cruz avait écrit dans le journal chilien La Tercera :

    « Cette lettre doit être comprise dans le contexte du Vatican, du fanatisme de certains. Je sais, parce que j'ai parlé au pape, qu'il est très blessé par ce qui s'est passé… Je sais qu'il ne l'a pas signée, et je pense que d'une manière ou d'une autre, il va réparer cette situation. »

    En janvier 2022, l’archevêque Giacomo Morandi, secrétaire de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a été nommé évêque de Reggio d’Emilie-Guastalla, suffragant de Modène. C’était clairement une révocation du numéro 2 de la Congrégation.

    En avril 2022, Sœur Jeannine Gramick, cofondatrice du groupe LGBT militant « New Ways Ministry », déclara devant « We are Church Ireland » :

    « Ce que j'ai découvert en coulisses, c'est que le pape François a effectivement approuvé le document, mais qu'il n'était pas pleinement informé de son contenu. Et nous savons maintenant, depuis environ un mois, que la personne à la CDF qui était vraiment responsable de ce document a été transférée. Elle n'est donc plus là. »

    Interrogée sur la possibilité que François annule le document, elle dit :

    « La façon dont il l'annule est d'écarter la personne qui a fait le mal et de mettre en place des personnes qui ne feront plus de mal à l'avenir. C'est très subtil. »

  • Messe interdite

    Mgr Peter Collins, depuis six mois évêque « d’Est-Anglie », a interdit toute célébration de la messe traditionnelle dans les deux chapelles de Notre-Dame de Walsingham, qui est le sanctuaire national des catholiques anglais.

    Cette mesure a notamment empêché une célébration de la messe traditionnelle prévue lors d’un pèlerinage organisé les 27 et 28 mai derniers. Mais le sanctuaire Notre-Dame de Walsingham est aussi le lieu d’arrivée du pèlerinage annuel de la Latin Mass Society, et c’est donc un acte de guerre de l’évêque, de l’épiscopat britannique, contre la plus grande organisation de défense de la liturgie traditionnelle dans le pays. En accord bien sûr avec François qui a décrété que la seule lex orandi de l’Eglise (ex-)latine était celle des nouveaux livres liturgiques.

    Comme on ne dit jamais où est la cathédrale de ce « diocèse d’Est-Anglie » - or le diocèse doit être nommé d’après sa cathédrale : la chaire de l’évêque -, j’ai cherché sur le site internet du diocèse. A la rubrique « cathédrale » il n’y a rien. A la rubrique « églises », la première citée est l’église anglicane Saint-Edmond d’Acle. Sic.

    [Le « diocèse d’Est-Anglie » a été créé par Paul VI en 1976. L’église Saint-Jean Baptiste de Norwich est devenue sa cathédrale.]

  • Rétrogradations

    L’évêque de Nevers devient auxiliaire de Lyon.

    L’évêque de Blois devient auxiliaire de Toulouse.

    Ce n’est sans doute (ou peut-être) pas la première fois qu’on voit une telle rétrogradation épiscopale, mais deux fois dans la même journée et dans le même pays ça se remarque…

    D’autant que sur le plan ecclésiologique ça a quelque chose d’ubuesque. Bien en ligne avec l’actuel Vatican.