François a reçu hier le président irlandais Michael D Higgins. Il a dit :
« Aujourd’hui je n’ai pas rencontré seulement un homme, un président, j’ai rencontré un sage d’aujourd’hui. Je rends grâce à Dieu que l’Irlande ait un homme aussi sage à sa tête. »
« Today I did not just meet a man, a President, I met a wise man of today. I thank God that Ireland has such a wise man as its head. »
Michael D Higgins est l’une des principales personnalités de la culture de mort en Irlande, et la principale à son poste : c’est lui qui en 2013 a signé la première loi sur l’avortement, qui dépénalisait le meurtre de l’enfant à naître si la mère menaçait de se suicider ou la grossesse mettait sa vie en danger, c’est lui qui a signé la loi de 2018 qui a rendu légal l’avortement jusqu’à 12 semaines et jusqu’à la naissance en cas de malformation du fœtus ; c’est lui aussi qui a signé en 2015 la loi sur le soi-disant mariage entre personnes de même sexe. Et c’est lui encore qui a signé en 2019 une loi qui accélère le divorce.
Il est aussi le président de l’une des pires dictatures soi-disant « sanitaires » de la planète, dont une des conséquences est l’interdiction des messes quasiment depuis le début de l’épidémie (comme au temps de Cromwell).
François rend grâce à Dieu d’avoir rencontré ce sage...
Les deux hommes ont parlé… des migrants, de la protection de l’environnement, du changement climatique, de la biodiversité, des conséquences du coronavirus, de la manière dont la pandémie a été reconnue à l'échelle mondiale mais n'a pas reçu de réponse en termes de vaccination à l'échelle mondiale, de l’avenir de l’Europe, et aussi, a souligné Higgins,… de l’utilisation des « arguments culturels » pour vaincre les argumentations relatives aux droits de l’homme, « en particulier en ce qui concerne le corps des femmes et les mutilations génitales féminines »… Sic !