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Eglise - Page 9

  • Enseignement "catholique"

    Riposte catholique avait dénoncé la diffusion programmée auprès d’élèves de 6e d’un film faisant l’apologie du « changement de genre », dans un collège catholique d’Alsace. Des parents d’élèves ont protesté, et la projection a été annulée. La direction diocésaine de l’enseignement catholique a voulu « éviter les réactions disproportionnées » (sic), mais aussi : « Après réflexion, nous avons estimé que la question du genre n’avait pas valeur à être traitée par des enfants de 6e si eux-mêmes n’ont pas posé de question sur le sujet à leurs parents ».

    Car il a fallu une « réflexion » à ces dirigeants de l’enseignement catholique pour comprendre qu’ils étaient en train de faire la même chose que les pourrisseurs LGBT qui sont envoyés dans les écoles depuis longtemps maintenant (depuis Xavier Darcos et surtout Luc Chatel, ministres de Sarkozy-Fillon) pour profiter des troubles de la puberté des collégiens afin de recruter des adeptes.

    Le Parisien a relaté l’affaire, et souligné :

    La nouvelle de cette diffusion avait été relayée par l’influent site Riposte-catholique.fr, qui se présente comme un site de « réinformation catholique ». Dans une publication datée du 1er mai, ce dernier accusait le collège épiscopal de Walbourg de « mettre gravement en danger le développement psychologique des élèves en les mettant face à ce film ».

  • Un démolisseur

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    Le cardinal Arthur Roche, préfet du dicastère de la destruction de la liturgie, était comme évêque de Leeds un destructeur en série des paroisses de son diocèse. Sans états d’âme dans l’une et l’autre fonction.

    Version longue : Paix liturgique.

    Résumé : Le Salon Beige.

  • Bryan N. Massingale

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    Il s’appelle Bryan N. Massingale. Il est prêtre catholique et jésuite. Il est professeur de théologie et d’éthique sociale à l’université Fordham de New York après avoir été professeur de théologie à l’université Marquette. Le 21 avril dernier il s’exprimait à la « Conférence ignacienne Q » (sic), qui réunit les étudiants LGBTQ des universités jésuites américaines.

    Extraits :

    Je me présente à vous en tant que prêtre et théologien noir et homosexuel. Je suis guidé non seulement par ma sexualité, ma foi et mon étude des croyances éthiques de l'Église, mais aussi par les traditions des luttes pour la liberté des Noirs aux États-Unis. Ces luttes, au fond, sont des questions d'âme et d'esprit. C'est pourquoi je vous parlerai de tout mon être, car ma sexualité, ma foi, ma vocation et mon identité raciale influencent tout ce que je suis.

    Comme la plupart d'entre vous, j'ai reçu une éducation jésuite : Université Marquette, promotion 1979. Lorsque j'étais étudiant, je ne pouvais pas rêver d'un jour comme celui-ci. Si quelqu'un avait dit au jeune étudiant de 21 ans que j’étais qu'un jour je m'adresserais à une assemblée d'étudiants LGBTQ d'universités jésuites en tant que prêtre noir et publiquement homosexuel, j'aurais ri et dit : "Dans tes rêves !".

    Lorsque j'étais professeur à mon alma mater et que j'ai voulu donner un cours sur l'homosexualité et l'éthique chrétienne, on m'a dit qu'il ne pouvait pas être enseigné dans le département de théologie, mais seulement dans le programme de spécialisation. Si vous m'aviez dit que dix ans plus tard je serais ici, j'aurais répondu : "C'est seulement dans vos rêves". Pourtant, des gens comme nous ont rêvé. Et c'est parce qu'ils ont rêvé que nous sommes ici.

    Les révolutions et les changements sociaux ne sont pas des événements singuliers, "mais de longs rêves, partagés par des communautés lésées, nourris dans des espaces fugitifs et mis en œuvre par des mouvements sociaux". Notre travail consiste donc à faire de ce lieu un espace pour nos rêves, pour les rêves queer.

    Parce que le rêve d'un lieu où tous sont accueillis, où les personnes de toute sexualité sont valorisées, où toutes les identités de genre sont respectées et protégées - ce rêve n'est pas encore réalisé. Et non seulement il n'est pas encore réalisé, mais il est attaqué de manière flagrante, inquiétante et même effrayante, alors que beaucoup d'entre nous pensaient et espéraient que c'était du passé.

    La spiritualité ignatienne nous invite à voir le monde comme le Christ le voit. Nous aimer comme Dieu nous aime. Voir et aimer "l'autre" comme le fait le Christ.

    Nous devons donc affirmer, sans nous excuser, la valeur précieuse des vies des LGBTQ. De nos vies. Nous devons proclamer avec confiance et insistance que nous sommes également rachetés par le Christ et radicalement aimés par Dieu.

    Nous sommes également rachetés par le Christ et radicalement aimés par Dieu. Nous ne le répéterons jamais assez. Nous devons nous répéter et nous répéter les uns aux autres encore et encore : "Vous êtes aimés. Vous êtes aimables. Vous êtes sacrés. Parce que vous êtes l'image de Dieu".

    Nous devons refuser les mensonges de la suprématie blanche et de l'hétérosexisme. Nous devons prier pour obtenir la grâce de nous voir et de nous aimer, d'aimer notre monde et de nous aimer les uns les autres comme le Christ nous connaît et nous aime. La grâce de rêver le rêve de Dieu pour nous.

    Et donc, j'ai encore des rêves. Je rêve d'un jour où la communauté LGBTQ considérera le racisme comme son problème, car c'est déjà le nôtre. Je rêve d'un jour où deux hommes et deux femmes pourront se tenir devant notre Eglise, proclamer leur amour et le faire bénir dans le sacrement du mariage. Je rêve d'une Église qui célèbre avec enthousiasme les amours homosexuelles comme autant d'incarnations de l'amour de Dieu parmi nous.

    Je rêve d'une Église où les prêtres homosexuels et les sœurs lesbiennes seront reconnus comme les responsables saints et fidèles qu'ils sont déjà. Je rêve d'un monde où les jeunes homosexuels du Honduras, du Salvador, de l'Ouganda, du Kenya et de l'Afghanistan pourront sortir de leur cachette et vivre sans crainte. Je rêve d'une Eglise où les employés et les enseignants LGBTQ pourront enseigner à nos enfants, servir le peuple de Dieu et voir leurs vocations, leur sexualité et leurs amours engagées affirmées.

    Je rêve d'une communauté LGBTQ engagée non seulement dans le respect de la diversité sexuelle, mais aussi dans la justice en matière d'immigration et l'égalité du droit de vote. Je rêve d'une communauté LGBTQ aussi passionnée par la justice pour les transgenres noirs et bruns que par la justice pour les hommes blancs cisgenres. Je rêve d'une communauté LGBTQ qui embrasse la diversité de ses teintes de peau comme un merveilleux reflet de la diversité de la vie intérieure de Dieu.

    Je rêve d'une Église qui célèbre avec enthousiasme les amours homosexuelles comme autant d'incarnations de l'amour de Dieu parmi nous.

    Traduction du discours intégral :

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  • Mgr Tobin

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    Un bon évêque s’en va. Comme il n’y en a pas beaucoup, ça fait un vide. Il s’agit de Mgr Thomas Tobin, l’évêque de Providence depuis 2005. Son diocèse s’étendait sur le Rhode Island, le plus petit des Etats des Etats-Unis. Mais il était un des évêques qu’on entendait le plus. Il s’est battu tout au long de son épiscopat contre la culture de mort et contre toutes les nouvelles perversions légales LGBT et woke. Il fut donc la cible de campagnes d’une grande violence, auxquelles il faisait front de façon courageuse.

    En cela il faisait partie d’une poignée d’évêques américains qui continuent de défendre haut et fort la morale de l’Eglise qui n’est rien d’autre que la morale de la loi naturelle.

    Mais aussi, il était un défenseur de la liturgie traditionnelle. En janvier 2022, lors de la première semaine de l’unité des chrétiens après le diktat Traditionis custodes, il touitta :

    « En cette Semaine de prière pour l'unité des chrétiens, travaillons aussi à sauvegarder et à promouvoir l'"Unité catholique". En particulier, prenons la résolution de respecter et de soutenir les membres de notre propre Église qui sont dévoués à la messe latine traditionnelle. Ce sont des catholiques fidèles qui aiment beaucoup le Seigneur et son Église. »

    Et le 21 février dernier, après les nouvelles attaques de François et de Roche, il écrivit cette phrase qui ne passa pas inaperçue :

    « La façon dont le Vatican traite de la messe latine traditionnelle ne me paraît pas être dans le “style de Dieu”. »

    Mgr Tobin a eu 75 ans le 1er avril. Il a donc remis sa démission. François l’a acceptée hier, juste un mois après.

  • Méchant, menteur et lâche

    Dans une lettre datée du 4 avril, Mgr Michael Mulvey, évêque de Corpus Christi, dans le Texas, a fait savoir qu’il devait « suspendre » l’unique messe traditionnelle qui était célébrée dans le diocèse parce que le prêtre qui la célébrait, l’abbé Vasquez, « a présenté sa démission en tant que pasteur de Saint-Jean Baptiste, prenant effet le 10 avril. »

    Or, le 31 mars, l’abbé Vasquez écrivait sur Twitter :

    En raison des instructions du Vatican sur la réglementation de la messe latine traditionnelle et de la nouvelle compétence permettant de passer outre la dispense de l'évêque local, Mgr Mulvey nous a informés que la messe latine traditionnelle à Saint-Jean n’aurait plus lieu. Aucune cérémonie selon le Missel de 1962 ne peut être proposée pendant le reste de cette semaine ni la semaine prochaine (Semaine Sainte). L'évêque nous a permis de célébrer le dimanche des Rameaux et le dimanche de Pâques comme dernières messes latines traditionnelles. (…)

    Je vous demande vos prières et vous assure de la mienne en cette période très difficile.

  • La barbarie

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    L’université catholique Saint Thomas de Villeneuve, près de Philadelphie, organise le 29 mars une conférence de « la révérende » Naomi Washington-Leapheart sur le thème : « Une voie femmiste pour en finir avec l’Amérique blanche chrétienne ».

    J’ai traduit par « femmiste » un mot qui semble-t-il n’existe pas encore en français. Le « Womanism » est un féminisme radical d’abord noir puis s’étendant à d’autres femmes non blanches.

    La « révérende » Naomi Washington-Leapheart, lesbienne déclarée et « ministre de l’Eglise unifiée du Christ », veut donc mettre fin non seulement à l’Amérique blanche, mais aussi à l’Amérique chrétienne. Ubu est dépassé.

    La conférence est organisée par la bibliothèque de l’université catholique, son Centre pour le bien commun (sic), et son département d’Etudes théologiques et religieuses.

    Plus fort encore : « la révérende » Naomi Washington-Leapheart, qui a été « directrice de la foi » à la National LGBTQ Task Force (le plus ancien groupe LGBT américain), est aujourd’hui professeur adjoint au département d’Etudes théologiques et religieuses de l’université catholique Saint Thomas de Villeneuve.

    Ce n’est pas d’aujourd’hui que cette université catholique se vautre dans la barbarie. Dès 2014 elle avait organisé une conférence intitulée « Aller au-delà de la binarité de genre » au cours de la « Semaine de sensibilisation LGBTQ ». Le P. James Martin y a évidemment présenté son livre de promotion de l’inversion sexuelle. De célèbres militants de l’avortement, Jill Biden et Michael Bloomberg, y ont parlé également. Son professeur le plus connu est Massimo Faggioli, titulaire de la chaire de théologie et d’études religieuses, qui fait la guerre à quiconque ose critiquer les positions les plus hétérodoxes du bon pape François et traite les évêques américains encore catholiques (Chaput, Cordileone, Strickland) de « fervents schismatiques »…

  • La messe

    Propos de Mgr Athanase Schneider à la confraternité Notre Dame de Fatima le 13 mars :

    « Le pape n'a pas le pouvoir d'abolir la messe traditionnelle, parce que c'est une propriété, un trésor de toute l'Église, de tous les saints, de l'Église de tous les temps. »

    « En raison de l'âge très vénérable et de l'usage constant et pérenne de cet ordo de la messe par tant de saints et de générations de catholiques, et par presque toutes les nations catholiques, le pape n'a pas le pouvoir de l'abolir purement et simplement. Tout comme le pape n'aurait pas le pouvoir d'abolir le credo apostolique et de le remplacer par une nouvelle formule, et d'interdire en même temps l'utilisation du credo apostolique. Il en va de même pour l'ordo de la messe : il s'agit d'une formule d'usage ancien et vénérable. »

    « Nous ne pouvons pas obéir à l'ordre d'un pape qui, de toute évidence, porte atteinte au bien spirituel de l'Église. Ce serait une fausse obéissance que de coopérer avec quelque chose qui nuit manifestement au bien spirituel des âmes et de l'Église tout entière. »

  • Leur Eglise

    Le cardinal Arthur Roche, préfet du dicastère pour le culte divin, déclare que s’il faut éliminer la messe traditionnelle, c’est parce que « la théologie de l’Eglise a changé ».

    Excellente réponse de « Father V » :

    « Non, la théologie de l'Église ne peut pas changer.  Mais le fait que les pouvoirs actuels croient qu'elle peut changer est tout ce qu'il faut savoir sur la racine de notre crise actuelle. »

    Mais en quoi la théologie de l’Eglise aurait-elle changé concernant la messe ? Et en quoi le concile Vatican II aurait-il changé la théologie de la messe ? (Puisque l’argument est bien sûr que ceux qui veulent la messe traditionnelle s’opposent à Vatican II et, comme le dit Roche lui-même, sont davantage protestants que catholiques…)

    La théologie de la messe dans la constitution Sacrosanctum Concilium est la théologie traditionnelle, dans la ligne de l’encyclique de Pie XII Mediator Dei. « La théologie des deux textes – que l’on ne s’y trompe pas – est fondamentalement la même », a écrit dans une étude sur la question Mgr de Moulins-Beaufort, qui n’est pas un ami de la liturgie traditionnelle…

    Le cardinal Roche dit : « Alors qu'auparavant le prêtre représentait, à distance, tout le peuple - ils étaient canalisés par cette personne qui était la seule à célébrer la messe, aujourd'hui ce n'est pas seulement le prêtre qui célèbre la liturgie, mais aussi ceux qui sont baptisés avec lui, et c'est une constatation capitale à faire. »

    Pour faire bref, le cardinal Roche fait semblant de ne pas savoir que la messe traditionnelle fait dire au prêtre à l’offertoire : « Nous vous offrons pour eux, ou ils vous offrent eux-mêmes, ce sacrifice de louange », et avant le canon, retourné vers les fidèles : « mon sacrifice, qui est aussi le vôtre ».

  • Ecriture automatique

    Un prêtre a été retrouvé assassiné au Cameroun. L’agence Fides publie donc une dépêche sur ce tragique événement, et ajoute :

    « L'annonce de sa mort a suscité une grande émotion parmi les fidèles de l'Église catholique et la communauté locale, où le père Olivier était connu pour son engagement en faveur de la paix et de la justice sociale. »

    Puis on a appris qu’il s’agissait d’un prêtre (?) de l’« Eglise catholique gallicane du Cameroun ». L’agence Fides a modifié le titre de la dépêche, mais a oublié la fin, dont il est désormais visible qu’elle ne correspond pas à la réalité. On ne savait rien de la personne assassinée, mais comme c’était « un prêtre » on a ajouté ce qu’on appelle aujourd’hui les « éléments de langage » appropriés : une grande émotion dans la communauté catholique locale, et puisque c’était forcément un bon prêtre il était forcément engagé pour « la paix et la justice sociale »…

    L’agence Fides est l’organe des Œuvres pontificales missionnaires. On pourrait supposer que ses journalistes soient un peu plus sérieux.

    Mais il y a donc une « Eglise » gallicane… au Cameroun… En effet, elle est dirigée par le « préfet apostolique de la sainte Eglise catholique gallicane du Cameroun », sic, Mgr Michel Nyemb, par ailleurs bien connu dans le pays pour avoir inventé un antidote au covid avec lequel il a guéri un millier de malades, dont lui…

    Et je découvre qu’il y a aussi une « Eglise Gallicane Universelle du Cameroun », sic, dirigée par « Son Éminence Mgr François Fumukani ».

    Et il y a encore un diocèse de l’« Eglise Catholique Mariavite » qui, elle, est d’origine… polonaise. Elle revendique 8 paroisses, et son évêque est Mgr Ruben Nlondock, qui a été ordonné par un évêque… gallican.

  • La dictature bergogliesque

    Nouvelle étape de la persécution de la messe traditionnelle : les évêques qui avaient cru pouvoir accorder des dérogations pour que la messe traditionnelle puisse continuer à être célébrée dans telle ou telle paroisse avaient tort et doivent en référer à Rome, « qui évaluera les cas individuels ». C’est un coup d’arrêt aux tentatives de contournement de Traditionis custodes par quelques rares évêques qui invoquaient le canon 87. François s’assoit sur le canon 87. Il n’y a qu’un seul canon, c’est lui. Et c'est une interdiction de fait de la messe traditionnelle aux nouveaux prêtres. En attendant la suite de la destruction de ce qui reste de l’Eglise latine…

    Le Saint-Père, lors de l'audience accordée le 20 février au soussigné Cardinal Préfet du Dicastère pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, a confirmé ce qui suit concernant la mise en œuvre de Son Motu Proprio Traditionis custodes du 16 juillet 2021.

    Les dispenses suivantes sont réservées de manière spéciale au Siège Apostolique (cf. C.I.C. can. 87 §1) :

    - l'utilisation d'une église paroissiale ou l'érection d'une paroisse personnelle pour la célébration de l'Eucharistie en utilisant le Missale Romanum de 1962 (cf. Traditionis custodes art. 3 §2) ;

    - l'octroi de la permission aux prêtres ordonnés après la publication du Motu proprio Traditionis custodes de célébrer en utilisant le Missale Romanum de 1962 (cf. Traditionis custodes art. 4).

    Comme le prévoit l'art. 7 du Motu proprio Traditionis custodes, le Dicastère pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements exerce l'autorité du Saint-Siège dans les cas susmentionnés, en surveillant l'observation des dispositions.

    Si un évêque diocésain a accordé des dispenses dans les deux cas susmentionnés, il est tenu d'en informer le Dicastère pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, qui évaluera les cas individuels.

    En outre, le Saint-Père confirme - après avoir déjà exprimé son assentiment lors de l'audience du 18 novembre 2021 - ce qui a été établi dans les Responsa ad dubia avec les notes explicatives annexées du 4 décembre 2021.

    Le Saint-Père a également ordonné que le présent Rescrit soit publié dans L'Osservatore Romano et, par la suite, dans le commentaire officiel des Acta Apostolicae Sedis.

    Du Vatican, le 20 février 2023

    Arthur Card. Roche
    Préfet