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Culture de mort - Page 2

  • Gros scandale

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    Addendum. Naturellement, la chaîne présente ses plus plates excuses et se conforme pleinement à la dictature de la culture de mort, par la voix de Laurence Ferrari : «Il est impossible de comparer ces chiffres et de les mettre en miroir. Il s’agit d’un droit garanti par la loi et il ne s’agit pour quiconque de le remettre en cause». La chaîne présente donc ses excuses «pour cette erreur qui n’aurait pas dû se produire», et notamment auprès de «toutes les femmes, (à) celles dans le monde qui luttent pour avoir le droit de disposer de leurs corps, et à celles qui ont perdu la vie faute de pouvoir accéder à l’IVG.» Sic.

  • Euthanasie avolontaire

    Une fois encore des juges constitutionnels imposent leur loi. C’est en Equateur : la Cour constitutionnelle permet l’euthanasie d’une femme et ordonne la préparation d’un projet de loi dans les six mois. Et déjà d’ici deux mois le ministère de la Santé devra publier un règlement pour l’application de « l’euthanasie active volontaire et avolontaire à la lumière des critères techniques et conformément à l’arrêt ».

    L’euthanasie « avolontaire ». Mais voulue, pourtant : non par le patient, mais par un proche, quand le patient ne peut pas se prononcer…

  • Rendez-vous historique

    Aurore Bergé, cette triste girouette qui est paraît-il ministre, déclare que le vote du Sénat sur la constitutionalisation de l’avortement est un « rendez-vous historique. » « C'est rare quand vous êtes parlementaire, député ou sénateur, vous appuyez sur un bouton, vous dites oui ou non, et vous rentrez (sic) dans l'Histoire. Il y a très peu de moments où vous avez ce pouvoir-là. »

    Elle a hélas raison. C’est en effet terriblement historique de donner dans la Constitution la garantie de pouvoir tuer les bébés. C’est faire entrer la France dans le dernier cercle de la barbarie.

  • Culture de mort

    Les députés ont adopté, par 493 voix contre 30, le projet de loi visant à « constitutionnaliser le droit à l’avortement ».

    Cela en dit long sur la domination absolue de la culture de mort. Car a priori on peut être pour l’avortement mais ne pas souhaiter que cela figure dans la Constitution. Ce qui est sans doute le cas de la majorité des 30 récalcitrants. Combien parmi eux sont contre le meurtre de l’enfant à naître ? Qu’ils soient 10 ou 20, cela ne change rien à l’horreur de la situation.

    Le texte va maintenant aller au Sénat, puis le Congrès se réunira le 5 mars à Versailles pour faire de la Constitution de la République française une loque tachée du sang des innocents.

  • L’Eglise orthodoxe russe et l’avortement

    Le site orthodoxie.com publie la traduction intégrale du document « Sur l’inviolabilité de la vie humaine dès l’instant de la conception d’après l’Église orthodoxe russe », élaboré depuis 2017 par l’ensemble des diocèses, et adopté officiellement par l’Église orthodoxe russe lors de la session du Saint-Synode du 27 décembre dernier.

    C’est un texte remarquable, qui commence non par des considérations éthiques ou médicales mais par un recours à la tradition : la Sainte Ecriture et les pères de l’Eglise. La première citation étant celle d’un psaume : c’est toujours la lex orandi qui prime et doit guider la réflexion.

  • Credo…

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    Ceci est un titre du quotidien 20 minutes. Un titre qui serait blasphématoire si les journalistes savaient de quoi ils parlent. Peut-être aussi s’agit-il de faire allusion au fait que Biden se pose en catholique pratiquant…

    Quoi qu’il en soit, le fait est que Jobidon a lancé une campagne de propagande de la culture de mort par une réunion de sa « Task Force d’accès aux soins de santé reproductifs ». Selon la Maison Blanche, de nouvelles mesures sur l’avortement et la contraception seraient même la clé de la victoire pour la prochaine élection présidentielle : directives pour faciliter l’accès aux contraceptifs gratuits, accès à la contraception élargi pour les employés fédéraux, rappel aux assureurs de leur obligation de rembourser toute substance abortive ou contraceptive légale, affirmation que la loi sur les traitements médicaux d’urgence oblige tous les hôpitaux à pratiquer les avortements d’urgence, y compris dans les 21 Etats où la procédure est limitée ou interdite, projet d’une loi garantissant un « droit national à l’avortement ».

    Et Kamala Harris va entamer une tournée électorale centrée sur ces questions.

  • Marches pour la vie

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    La constitutionnalisation de l’avortement et la loi sur l’euthanasie n’ont pas particulièrement mobilisé les défenseurs de la vie ce 21 janvier. Ils étaient tout de même plusieurs milliers entre Saint-Sulpice et Denfert-Rochereau. Sans aucun évêque, sans aucun parlementaire. Bien sûr.

    A Washington ce n’était pas non plus un record, mais c’était vendredi (pourquoi un jour de semaine ?), dans le grand froid et sous la neige. Ils étaient tout de même plusieurs dizaines de milliers entre le Capitole et la Cour suprême, et la vidéo accélérée est impressionnante. Il y avait le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, qui a déclaré : « Courage ! Allons de l’avant et espérons que nous pourrons nous unir et faire une grande avancée. Nous pouvons soutenir chaque femme pour chaque enfant, et nous pouvons vraiment construire une culture qui chérit et protège la vie. »


  • Une claque au Bidon

    La Cour fédérale d’appel du cinquième circuit a validé le jugement d’un tribunal du Texas disant que les traitements médicaux d’urgence garantis aux personnes à faible revenu ou sans assurance ne comprennent en aucun cas un quelconque droit à l’avortement.

    Après l’annulation de l’arrêt Roe contre Wade, Jobidon avait tenté, par une directive, d’interpréter la loi de 1986 sur les traitements médicaux d’urgence garantis aux personnes à faible revenu comme permettant aussi d’avorter.

    Mais les juges d’appel, comme le juge de première instance, s’en tiennent au texte de la loi. Or le texte ne prévoit aucune autre procédure, en la matière, que « l’accouchement de l’enfant à naître et la sortie du placenta ».

    Il appartient aux médecins de « trouver un équilibre entre les besoins médicaux de la mère et du fœtus, tout en se conformant aux lois sur l’avortement en vigueur dans l’Etat concerné », a précisé le juge Kurt Engelhardt (nommé par Donald Trump comme l’un des deux autres du panel, le troisième l’avait été par George W. Bush).

  • Un prix catholique

    L’American Catholic Press, éditeur de livres « liturgiques » à Chicago, a décerné son prix 2023 « Gratiam Dei », sa « plus haute distinction », au député de l’Illinois Anthony DeLuca.

    Ce député « catholique » est connu notamment pour avoir voté la loi de « santé reproductive » de l’Etat, qui autorise l’avortement jusqu’à la naissance sans avoir à donner de motif, et annule donc la loi qui interdisait l’avortement par démembrement du fœtus. DeLuca avait déclaré qu’il soutenait cette loi parce qu’il fallait « s’assurer que si la Cour suprême renverse l’arrête Roe contre Wade les services d’avortement restent légaux dans l’Illinois ».

    Il a aussi soutenu la légalisation du « mariage » entre personnes de même sexe, qui a permis de corriger, dit-il, une « iniquité juridique ».

    Interrogé par LifeSite, le Père Michael Gilligan, président de l’American Catholic Press, a répondu que le député n’avait pas été distingué pour ses « positions politiques » (sic) mais « pour avoir institué en octobre un Mois de l’héritage italien et pour son important soutien à la communauté ».

    Et d’ajouter :

    « Si vous avez une opinion personnelle que je considère comme dangereuse ou nuisible, vous devez la garder pour vous. »

    Pour ce qui est du « mariage », le P. Gilligan a rappelé que le pape François « soutient les unions civiles homosexuelles ».

    Cela se passe dans l’Illinois, là où l’archevêque est le cardinal Blase Cupich, créature de François, qui a interdit la messe traditionnelle et célébré en juin dernier une messe LGBT à l’église Notre Dame du Carmel de Chicago, favorable à l’ordination diaconale des femmes, etc.

  • Culture de mort en action

    Selon un décret publié ce jour, les sages-femmes peuvent désormais pratiquer l’avortement instrumental en établissements « de santé ».

    Les femmes dont la mission était de faciliter la vie naissante deviennent donc aussi des tueuses d’enfants à naître.

    Dans le même temps le tarif de cet assassinat est « revalorisé » de 25%.