La dictature LGBT passe à la vitesse supérieure.
Un gamin a été arrêté, menotté, en pleine classe, par la police, dans un lycée d’Alfortville.
Parce qu’un magistrat en avait donné l’ordre.
Parce que le proviseur a donné l’autorisation.
Et le gouvernement répète : « Ça a été fait en conformité avec l’accord du parquet et de l’équipe éducative. »
Quel est le crime du gamin, qui nécessite qu’on l’arrête séance tenante, qu’on le menotte devant ses camarades, avec l’accord des magistrats et des soi-disant éducateurs ?
C’est d’avoir publié des « messages homophobes » sur Instagram. En fait des insultes, violentes, mais hélas aujourd’hui très banales sur les réseaux sociaux.
Des insultes qui visaient une adolescente « qui vient d’entamer une transition de genre ».
Et voilà pourquoi il fallait l’arrêter immédiatement. Il ne s’agit pas seulement de soi-disant « homophobie », ce qui est déjà très grave aujourd’hui : il s’agit de soi-disant « transphobie », ce qui est beaucoup plus grave encore. La « transphobie » doit être combattue avec la dernière énergie.
Dans une société normale, ce qui devrait être interdit, c’est cette monstruosité du « changement de genre » des adolescents. Le père de la fille, qui a donné l’alerte et a fait arrêter le gamin avec la complicité du parquet et de l’équipe soi-disant éducative, c’est lui qui devrait être arrêté. Ainsi que le magistrat et le proviseur complices de cette infamie.
Mais ils sont couverts par le gouvernement. Car c’est le gouvernement de la dictature LGBT. Avec un ministre de la soi-disant Education qui est lui-même un militant LGBT. Un gouvernement qui vient de créer un fonds de soutien « pour que nos ambassades soutiennent celles et ceux qui défendent les droits des personnes LGBT+ au quotidien et partout dans le monde ». Partout dans le monde…