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Culture de mort - Page 4

  • On en est donc déjà là

    La dictature LGBT passe à la vitesse supérieure.

    Un gamin a été arrêté, menotté, en pleine classe, par la police, dans un lycée d’Alfortville.

    Parce qu’un magistrat en avait donné l’ordre.

    Parce que le proviseur a donné l’autorisation.

    Et le gouvernement répète : « Ça a été fait en conformité avec l’accord du parquet et de l’équipe éducative. »

    Quel est le crime du gamin, qui nécessite qu’on l’arrête séance tenante, qu’on le menotte devant ses camarades, avec l’accord des magistrats et des soi-disant éducateurs ?

    C’est d’avoir publié des « messages homophobes » sur Instagram. En fait des insultes, violentes, mais hélas aujourd’hui très banales sur les réseaux sociaux.

    Des insultes qui visaient une adolescente « qui vient d’entamer une transition de genre ».

    Et voilà pourquoi il fallait l’arrêter immédiatement. Il ne s’agit pas seulement de soi-disant « homophobie », ce qui est déjà très grave aujourd’hui : il s’agit de soi-disant « transphobie », ce qui est beaucoup plus grave encore. La « transphobie » doit être combattue avec la dernière énergie.

    Dans une société normale, ce qui devrait être interdit, c’est cette monstruosité du « changement de genre » des adolescents. Le père de la fille, qui a donné l’alerte et a fait arrêter le gamin avec la complicité du parquet et de l’équipe soi-disant éducative, c’est lui qui devrait être arrêté. Ainsi que le magistrat et le proviseur complices de cette infamie.

    Mais ils sont couverts par le gouvernement. Car c’est le gouvernement de la dictature LGBT. Avec un ministre de la soi-disant Education qui est lui-même un militant LGBT. Un gouvernement qui vient de créer un fonds de soutien « pour que nos ambassades soutiennent celles et ceux qui défendent les droits des personnes LGBT+ au quotidien et partout dans le monde ». Partout dans le monde…

  • Avortement mexicain

    La Cour suprême du Mexique a décidé hier qu’est « inconstitutionnel le système juridique qui pénalise l’avortement dans le Code pénal fédéral, parce qu’il viole les droits des femmes et des personnes en capacité de gestation ».

    La Cour suprême avait déjà décidé il y a deux ans en décidant que « l'on ne pourra pas poursuivre une femme qui avorte ».

    On remarque que, non content de sacrifier à la culture de mort, le Mexique applique docilement l’idéologie LGBTQIA+ etc. Il précise que le droit à l’avortement concerne les « personnes en capacité de gestation ». L’Argentine permet déjà l’avortement aux « femmes et personnes qui ont d’autres identités de genre qui leur permettent d’être enceintes ».

    Et la Cour suprême du Mexique en remet une couche : « La criminalisation de l'avortement constitue un acte de violence et de discrimination pour raison de genre. »

    Pourtant, quel que soit le genre ou le non-genre de la personne qui exerce sa capacité de gestation, quand elle décide de supprimer le produit de sa gestation elle commet un meurtre sur un enfant à naître, mais ce n’est pas un acte de violence, ni même une discrimination...

  • La dictature au service de la vente d’enfants

    La préfecture de Police de Paris a interdit au Syndicat de la Famille de manifester aux abords du « salon de la parentalité et de la fertilité Wish for a baby », les 2 et 3 septembre.

    Les militants du Syndicat de la Famille (ex-Manif pour tous) ont parcouru les stands de Wish for a baby et ont noté nombre de propositions illégales. Mais l’illégalité a pignon sur rue, tandis que les défenseurs de la légalité sont interdits de manifestation…

    Voici une affiche donnant le prix des embryons, auquel doit s’ajouter le coût des tests génétiques préimplantatoires qui permettent d’éliminer les embryons défectueux…

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    Et l’on vous propose la vente de gamètes avec choix du donneur par reconnaissance faciale.

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  • Une victoire pour la vie

    Aux Etats-Unis, la cour d’appel fédérale de la 5e circonscription a annulé l’autorisation donnée par le gouvernement de Jobidon d’envoyer la pilule abortive par la poste.

    Cette autorisation avait surtout pour but de contourner l’interdiction de l’avortement dans plusieurs Etats (à commencer par le Texas) suite à l’annulation de l’arrêt Roe contre Wade, et elle fit faire un bond, l’an dernier, au commerce de l’avortement chimique.

    Elle était clairement illégale, puisqu’une loi (du XIXe siècle) interdit précisément la livraison par le service postal américain de tout « article, instrument, substance, drogue, médicament ou chose dont la publicité ou la description est destinée à amener une autre personne à l'utiliser ou à l'appliquer pour provoquer un avortement ». Le gouvernement de Jobidon a décrété que cela voulait dire en fait qu’on pouvait envoyer des abortifs à condition que l’expéditeur n’ait pas l’intention de les faire utiliser illégalement par le destinataire. Or on ne peut commander la pilule abortive que sur ordonnance.

    L’Alliance Defending Freedom, au nom de quelques groupes de médecins pro-vie, avait obtenu en avril la suspension de cette autorisation, par un tribunal de première instance du Texas. Naturellement, le gouvernement acharné à la culture de mort avait fait appel.

    Mais la cour d’appel a confirmé le jugement de première instance, tout en disant que l’affaire ne pourra être conclue que par un arrêt de la Cour suprême.

    La cour d’appel en profite pour rétablir les restrictions initiales : la limite pour la prise de pilules abortives est ramenée de dix à sept semaines de gestation, la consultation d’un médecin en cabinet est obligatoire, la déclaration des effets indésirables est obligatoire.

  • Entre potes

    François n'est jamais plus à l'aise que lorsqu'il reçoit les pires pourritures. Hier c'était Bill Clinton et Alex Soros.

  • Avorteurs woke

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    Ceci est la nouvelle affiche du Planning familial américain :

    « La virginité est une construction sociale. »

    Le Planning familial la présente dans un tweet qui précise :

    « L'idée de virginité est issue de modes de pensée dépassés - soyons réalistes, patriarcaux - qui blessent tout le monde. »

    Deux types de réaction sur les réseaux sociaux :

    — C’est une affirmation digne de pédophiles.

    — De fait les filles doivent perdre leur virginité pour pouvoir se faire avorter par le Planning familial.

  • L’avortement à Malte

    Le Parlement de Malte, dont la quasi-totalité des députés sont des catholiques pratiquants, a fini par adopter, à l’unanimité, une loi autorisant l’avortement en cas de danger pour la vie de la mère, ou lorsque le fœtus n’est pas viable.

    En cas de danger imminent pour la vie de la mère, en théorie. Mais la loi précise que si le danger n’est pas imminent, une équipe de trois médecins doit donner son avis pour autoriser l’avortement…

  • Les sorcières

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    A l’occasion du premier anniversaire de l’annulation de l’arrêt Roe contre Wade, 30 députés américains démocrates ont signé une lettre pour exprimer leur soutien à l’avortement, en tant que catholiques.

    La figure de proue est Rosa DeLauro (à gauche sur la photo) qui dans un tweet personnel écrit :

    « Je suis catholique - baptisée, élevée et confirmée. Les principes fondamentaux de ma foi m'obligent à défendre le droit des femmes à accéder à l'avortement. Je suis fière de faire partie de la grande majorité des catholiques américains qui soutiennent les protections légales pour l'accès à l'avortement. »

    Extraits de la lettre, dont la signataire la plus célèbre est Nancy Pelosi (à droite sur la photo), qui ose se référer à Jean-Paul II :

    En tant que catholiques, nous croyons que tous les individus sont libres de prendre leurs propres décisions personnelles concernant leur corps, leur famille et leur avenir. Le rôle de la conscience informée est au cœur même de notre foi.

    Les principes fondamentaux de notre foi catholique - la justice sociale, la conscience et la liberté religieuse - nous obligent à défendre le droit d'une femme à accéder à l'avortement. Nous nous engageons à défendre le respect et la protection de ceux qui prennent la décision d'avoir ou non des enfants, et à quel moment.

  • Cours obligatoire d’avortement

    L’avortement était interdit en Irlande du Nord avant 2020, quand il a été imposé par le Parlement de Londres.

    Désormais toutes les écoles secondaires devront assurer un cours de promotion de la contraception et de l’avortement.

    Et c’est encore le Parlement de Londres, toujours contre la volonté des Irlandais du Nord, qui impose ces cours. Le secrétaire d’Etat à l’Irlande du Nord, Christopher Heaton-Harris, a déclaré en présentant la nouvelle réglementation :

    « Il est fondamental pour leur bien-être que les adolescents d’Irlande du Nord aient accès à une éducation adaptée à leur âge, complète et scientifiquement exacte sur la santé et les droits sexuels et génésiques, qui couvre l’accès à l’avortement et à la contraception. »

    Je n’ai pas le courage de compter le nombre de mensonges (par action et par omission) qu’il y a dans cette phrase. Mais on y trouve aussi au moins une provocation au crime contre l’humanité.

  • Euthanasie mise en scène

    Au Québec, le complexe funéraire Haut-Richelieu propose pour environ 700€ la location de ses salons pour une euthanasie. Le salon est aménagé aux goûts du client. Des divans peuvent être installés autour du fauteuil réservé à l’éphémère vedette. Champagne, café, viennoiseries, pizzas, films, musique peuvent être prévus.

    Le propriétaire des lieux précise que la somme réglée sert à louer la salle, et non à payer pour l’euthanasie qui est un « soin couvert par l’assurance maladie ».

    Au deuxième étage, on peut assister à des conférences pour « démystifier l’aide médicale à mourir ».