Il y a quelques jours une centaine de personnes s’étaient rassemblées dans une brasserie de Zwönitz pour interroger l’évêque de Dresde, Heinrich Timmerevers. Les questions étaient écrites sur des morceaux de papier. Sous couvert d'anonymat plusieurs concernaient l’AfD, qui est devenu le premier parti en Saxe quoique tabou. L’évêque a dit qu’il fallait faire barrage au « nationalisme ethnique ». Il reprenait ainsi la condamnation récente du « parti d’extrême droite » par la Conférence des évêques allemand.
Quelqu’un fit remarquer que l’AfD est le parti qui s’oppose le plus à l’avortement. Réponse de l’évêque : « Parfois, il faut faire des compromis, et la réglementation actuelle est un compromis acceptable. »
L’avortement est dépénalisé jusqu’à la 12e semaine, il y en a environ 100.000 par an. C’est un « compromis acceptable », dit l’évêque qui se revendique évidemment de Vatican II. Sauf que Vatican II définissait l’avortement, tout avortement, comme un « crime abominable ».
Heinrich Timmerevers n’est pas un évêque marginal, il est le président de la Commission pour l'éducation et l'école de la Conférence des évêques allemands.
Lors d’une consultation d’experts sur « la gestion de la diversité des identités sexuelles », il a souligné : « Nous mettons tout en œuvre pour faire de nos lieux d'Église des espaces de reconnaissance des personnes de toute identité sexuelle… Les écoles gérées par l'Église doivent à l'avenir pouvoir être reconnues par l'espace qu'elles accordent au thème de la réflexion propre sur la sexualité… Toute forme d'exclusion doit être surmontée. C'est devenu une attitude clé pour moi. » Voilà pour l’école que veulent les évêques allemands.
Naturellement il a accueilli avec joie la possibilité de bénir les unions de personnes de même sexe, qui « souligne la valeur des relations entre les personnes, y compris dans le cadre de relations homosexuelles ».
Parmi les questions à la brasserie de Zwönitz, il y en eut une aussi, toujours en lien avec l’AfD, une question sur l’immigration : « Ce que les gens craignent ici, c'est l'arrivée de personnes d'une autre culture et d'une autre religion. Êtes-vous d'accord pour dire que leur intégration est plus difficile ? »
Réponse de l’évêque : « Le défi est grand, mais c'est une réalité, c'est le monde. Nous ne pouvons pas rendre les cloisons étanches. Bien sûr, la migration doit aussi avoir un cadre réglementaire. Il ne sert à rien que j'essaie maintenant de simplement m'adresser à vos peurs. Cherchons ensemble des solutions. »
Il coche toutes les cases de la pensée unique de l’anti-civilisation. Comme la plupart de ses confrères. Il leur reste seulement à se demander à quoi ils peuvent bien servir…
Commentaires
Ce représentant de l'Église bergaylienne est une des nombreuses petites marionnettes qui occupent toutes les sphères d'activité ; elles sont agitées par les maîtres du rideau pour servir l'idéologie du mondialisme.
Difficile d'être plus exact .
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/exact/31917
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L'animal humain est naturellement grégaire et soumis au chef de meute. Dieu lui demande in fine de ne pas l'être. Pas sûr que ce soit très clair, mais dans l'expérience très discutable, bidouillée, etc, de Milgram, il y a un jugement métaphysique : les bons sont ceux qui ont un rapport critique à l'autorité, ceux qui choisissent plutôt la vérité, c-à-d le bien. C'est là que s'explique la "bête" de l'Apocalypse, non qu'elle soit stupide, mais parce qu'elle entraîne derrière elle les loups, les chiens et autres moutons de Panurge qui suivront toujours le chef de meute.
Quand on pense que l’AFD sévit fondamentalement dans ce qui est un désert spirituel, l’ex RDA passée par le nazisme et le communisme ou les sans religion représentent 80 % de la population, c’est cocasse
Je trouve plus cocasse qu' Alice Weidel la dirigeante de l'AfD soit une lesbienne affichée. Mais bon, les Allemands athées ou pas n'ont peut-être pas envie de finir comme les français., sous le joug de la charia.
dit l’évêque qui se revendique évidemment de Vatican II. (Source : "Compromis acceptable")
Vatican II ici, Vatican II là: une référence devenu un passe-partout...
Ce que dit Robert est vrai.
Le Liban, comme chacun sait, est en grande difficulté depuis la guerre civile de 1975 à 1990 à laquelle avait participé les Palestiniens ingrats du côté que l'on sait....
Ces difficultés se sont grandement aggravées suite à l'explosion du port de Beyrouth, plongeant 90% de la population sous le seuil de pauvreté.
Ce qui précède, pour dire que la population chrétienne du pays compte énormément sur les aides de toutes sortes des organisations chrétiennes d'Europe et notamment françaises à cause des liens historiques qui les lient.
Mais, tandis que les aides officielles musulmanes saoudiennes et autres sont réservées exclusivement aux Libanais musulmans, trop d'organisations étrangères chrétiennes se font un devoir de réserver une partie de leurs aides aux musulmans du pays au nom d'une charité évangélique mal comprise qui exclut toute discrimination.
Les chrétiens s'en sont plaints en disant qu'ils devaient être servis exclusivement car non seulement les charités musulmanes leur sont refusées mais, par dessus le marché, certains ont aussi été sommés de se convertir à l'islam avec leur famille s'ils voulaient obtenir leur aide...
Voilà où mène le bêtise occidentale...
Oléandre,
C'est exactement ça. Certaines oeuvres d'Eglise ont déviées en étant trop utopistes et en rejetant le devoir d'état envers son prochain pour l'ouvrir à celui qui n'est pas réellement pauvre mais a fait un pari économique et surcharge les oeuvres de charité abusivement. De plus, les oeuvres juives ou musulmanes n'aident que les leurs alors que nous aidons aussi les leurs et de fait souvent avant les nôtres, ce qui est injuste.
Des catholiques ont repris le flambeau d'une toute petite association fondée autour d'une paroisse pour "aider les familles qui font des sacrifices pour fonder des familles nombreuses et éduquer leurs enfants selon l'enseignement de l'Eglise, et pas les dogmes de la république.
Cette association a eu tellement de succès, car il y avait en plus la pauvreté croissante, que la crise covid a considérablement aggravée, et des difficultés temporaires des uns ou des autres, qu'elle a grandie et élargie son champ d'action.
Au départ, une aide pratique sans prétention, comme les conférences saint Vincent de Paul en local et plus modeste, du genre des vestiaires paroissiaux qui collectent des dons et les redistribuent. Ils ont constaté que le budget alimentaire d'une famille plombe facilement un budget modeste. En le faisant diminuer par une aide, cela libérait des moyens pour d'autres frais.
Mais il y a aussi des dons reçus, déductibles d'impôt, et redistribués, des prêts, des contacts pour qui une voiture, qui un travail, qui un logement, du matériel pour se meubler, etc.
C'est simplement, pour abréger car on risque encore de me reprocher de faire long, de la solidarité naturelle, paroissiale même si elle est ouverte à toutes les tendances catholiques voire en dehors. Nous essayons de faire des émules dans tous les endroits éloignés pour faire boule de neige car il y a des besoins, des générosités et de la marchandise à récupérer dans tous les endroits ou souvent personne ne pense aller.
Comme plus personne ne commence par aider les siens chez nous, que les oeuvres catholiques se laissent occuper par des immigrés très souvent illégaux et non chrétiens, ne pouvant donc plus faire d'abord leur travail d'aider son prochain, il faut contourner les règles, improviser, en restant discrets, et réparer cette dérive avec nos moyens, vos moyens car chacun peut en faire autant.
Il y a beaucoup de possibilités, de générosités, de bonnes volontés, alors pourquoi pas?
Ne jamais déplorer sans avoir d'abord essayé de faire son possible avec ses moyens.
La seule chose, c'est de rester discrets, pour ne pas être dénoncés voire entravés, de ne rien revendiquer publiquement, et de faire preuve d'humilité et d'adaptabilité sans jamais oublier comme dit la Règle de saint Benoît "afin qu'en tout lieu la gloire de Dieu s'accomplisse."
La bêtise occidentale atteint des profondeurs abyssales.
Par rapport à ça, la "fosse des Marianne" c'est un pédiluve.
"L'incroyant ne croit pas en rien, mais accepte de croire en n'importe quoi."
C'est de mémoire une phrase du cardinal allemand Michael von Faulhaber, archevêque de Munich et Freising de 1917 à 1952, et qui, à ce titre, s'est frontalement opposé au national socialisme.
Nombre d'évêques refusent de croire en la solidarité entre les communautés naturelles, comme la famille et la patrie.pour adhérer par défaut à une solidarité sans limite ni but, qui devrait être faire le bien à son prochain avant d'aller chercher son lointain pour le faire passer sinon avant au moins à part égale. Le prétexte du national socialisme passé est une excuse bidon, l'Eglise est resté fidèle à elle-même durant cette période et en a largement payé le prix.
En fait, cette perversion de la charité rend impossible son exercice réel, méprise son devoir d'état auprès de ses fidèles et son pays, et relève de l'aveuglement utopiste qui veut occuper le terrain pour cacher qu'il ne fait pas son devoir et finalement n'est plus ni juste ni charitable.
Pour travailler bénévolement, depuis ma retraite, dans l'aide alimentaire avec une association catholique, je vois en grandeur nature le dévoiement des oeuvres quasiment toutes d'origine catholique. Notre Dame des Sans Abris à Lyon, vouée à aider les miséreux et les pauvres par des collectes et ventes de biens à leur profit, qui a ouvert des maisons d'accueil, finit par se retrouver à n'y héberger que des immigrés illégaux.
Pareil au secours catholique, ou à la Croix Rouge, et bien sûr aux restos du coeur ou il suffit de regarder les files d'attente pour constater la substitution de population. Les pauvres et misérables français n'ont bien sûr pas disparu, ils n'ont jamais été aussi nombreux, mais ils se découragent de devoir partager la pénurie avec ceux qui sont arrivés la veille et exigent d'être servis en premier. La mentalité fait que beaucoup des nôtres n'osent pas demander, insister, et finissent par subir. et s'isoler.
Un entrepreneur, un travailleur, un père de famille dans une passe difficile n'a droit à rien auprès des services sociaux à moins de s'installer dans la dépendance et devenir leur obligé. Pour en aider, sans aucune prétention et j'en bénéficie aussi un peu étant pauvre, on distribue nourriture et biens usuels, en échange d'une petite participation pour nos frais et pour ne pas humilier les bénéficiaires, ou par des dons ou prêts sans intérêt quand nécessaire. Nous avons nombre de retours de ceux qui témoignent que rien n'est prévu pour eux sinon de devenir dépendants des aides sociales ou attendre que ça aille plus mal pour qu'on leur fasse l'aumône de ce qui ne suffira pas pour vivre, juste pour subsister. Alors, il faut se débrouiller, s'entraider, sans compter sur l'état ni sur l'Eglise puisque toutes ses oeuvres sont débordés d'arrivants la larme à l'oeil qui passent partout en priorité. Sans parler de toutes ces familles catholiques qui se sacrifient pour donner une bonne éducation, une scolarité digne de ce nom à leurs enfants et de ce fait se retrouvent suspectes et privées d'accès à nombre d'aides possibles.
Sous prétexte de sentimentalité pseudo généreuse, l'Eglise n'assume plus son devoir d'état auprès des siens, pour prioriser les envahisseurs, les profiteurs, ce qui permet à ces associations de se faire du bien à l'ego, de toucher des subventions, et distribuer les miettes qui restent à une population grandissant tous les jours. Les français dans la difficulté, qui ne réclament souvent qu'une aide ponctuelle, partielle, pour joindre les deux bouts, doivent subir les interrogatoires d'assistantes sociales, les propositions de sacrifier une scolarité digne de catholiques, et s'ils sont jugés recevables subir les queues humiliantes au milieu d'une population qui profite tant qu'elle peut d'aides qui leur permettent de se maintenir chez nous plutôt que de retourner chez elle faire prospérer leur pays auprès des leurs, en admettant que l'eldorado français était un leurre vendu par les assoces de collabos, le grand patronat et des états faillis à servir le bien commun des leurs.
Ce clergé croit en n'importe quoi, pas forcément réellement convaincu, parce qu'il a renoncé à croire dans les vérités de foi, les enseignements constants de l'Eglise, et le simple bon sens qui veut qu'on doit d'abord assistance à nos proches, aux nôtres, à ceux qui sont autour de nous, dont l'aide à fonder des familles stables, à vivre de son travail, à assurer liberté et sécurité à ses compatriotes, à respecter son prochain et être respectés par les autres.
Au final, ils ne font pas leur devoir mais se cachent derrière des "devoirs" de substitution, regardent ailleurs quand la réalité éclaire trop clairement leur tartufferie voire se fâchent si on les met devant leurs contradictions.
L'entraide entre nous devient une nécessité, même au fond de la campagne. Nous ne pouvons pas compter sur l'Etat ni sur l'Eglise, soit absente soit occupée ailleurs dans nombre de cas. Il faut fonder et déclarer des associations avec un projet assez large d'entraide, deux minutes sur internet, sans affichage confessionnel ou politique, démarcher des commerçants pour récolter les restes des magasins, maraichers, boulanger, trouver un local disponible, frigo et glacière, un véhicule pour chercher la marchandise, quelques bénévoles, et solliciter au bout de quelques mois d'existence la banque alimentaire de votre région qui distribue ce qu'elle récolte dans les magasins. Il faut environ deux ans pour être agréé, respecter les conditions requises et refuser toute subvention, qui vous obligerait à accepter leurs diktats et devoir accueillir ceux qu'on vous imposerait. Une fois lancé et agréée, nécessaire pour pouvoir fournir des reçus fiscaux aux donateurs et magasins qui font déduire les dons de leurs charges, vous avez déjà contacté des familles dans le besoin, ou elles vous connaissent et l'ont fait elles-mêmes, les paroisses sont excellentes pour ça, et vous collectez et distribuez; à dates régulières. Vous n'imaginez pas le gâchis existant et la capacité de générosité qui existe, mais reste inconnu en dehors de ceux qui vivent dans le système. Si vous parvenez à être connus, respectés parce que sérieux et fiable, vous arriverez à avoir un fond de roulement, des bénévoles aguerris, des donateurs et des bénéficiaires qui ne manqueront pas, les uns à titre temporaire, ponctuel ou plus régulier.
Il faut rendre aux oeuvres d'Eglise leur destination première là ou elles l'ont parfois oublié, ce qui n'est heureusement pas le cas partout.
Et laissez ces évêques tenir le discours du monde quand ils ont cessé de suivre Notre Seigneur Jésus Christ.
Leur religion est déjà morte mais ils ne le savent pas encore.
Si quelqu'un a trouvé la prose de Robert intéressante, pourrait-il résumer ? Ça ferait gagner du temps aux autres.
@Robert
"L'incroyant ne croit pas en rien, mais accepte de croire en n'importe quoi."
C'est de la syntaxe teutonne avec un fond pas particulièrement "light", mais c'est juste. Preysing, Faulhauber et Galen ont des leçons à donner aux abominables prélats allemands d'aujourd'hui.
On pourrait risquer cette définition du catholique : pas un croyant, un sachant ! Avec toutes les preuves qu'il a !
Je me suis essayé de témoigner et proposer une forme d'aide possible accessible à qui veut prendre la peine.
Personnellement, je trouve çà plus réaliste que de me plaindre de la méchanceté humaine et du malheur des temps et comme disait Bernanos
"A quoi bon ruminer le problème du mal plutôt que de se jeter dans un bond en avant?"
Mais je comprends parfaitement que ça soit trop long ou personnel pour certains. Cela ne m'empêchera en rien de rester bienveillant, y compris avec ceux-là.
C'est ça aussi être catholique.
C'est évidemment beaucoup, beaucoup trop long. Mais il y a des pépites.
P. e.
"Sous prétexte de sentimentalité pseudo généreuse, l'Eglise n'assume plus son devoir d'état auprès des siens, pour prioriser les envahisseurs, les profiteurs, ce qui permet à ces associations de se faire du bien à l'ego, de toucher des subventions, et distribuer les miettes qui restent à une population grandissant tous les jours."
- On aide donc le "lointain" plus que le "prochain"...
- Ce qui rapporte des sous en aides publiques...
Ces 2 trucs-là sont vrais ? Ou c'est pas vrai ?
Mea maxima culpa, c'est vrai que je suis trop long.
Le problème, c'est que je réagis vite quand il faudrait prendre le temps, relire, couper, résumer.
J'ai écrit, très laborieusement, de nombreux articles et je sais faire, mais le but est de s'exprimer et faire réagir rapidement avant que le lien soit en troisième page et que les lecteurs soient passés à autre chose. Donc il faut aller vite, et je pense qu'il fallait développer.
Et encore, j'ai éludé plusieurs sujets que je voulais aborder.
Maintenant, il y a encore quelque temps chacun savait prendre le temps de lire un article, du genre de ceux de l'Homme Nouveau, alors que maintenant dès que ça dépasse dix lignes, c'est lassant ou ça nous prend du temps en trop.
@Paul
comme votre temps est très précieux, je fais court.
Robert est un Bon, et vous êtes un con, un sale con.
Tout à fait d'accord avec vous...
Je ne dirais pas mieux !...
Vous avez trouvé les mots qu'il faut...
Je ne partage pas votre jugement et comme on parle de moi je me permets de le dire.
Etre, enfin essayer d'être, catholique comporte quelques obligations et contraintes.
Parmi celles-ci d'accepter les contrariétés et même les attaques sans les rendre.
Eh, eh ! et ben les les goyim se bouffent entre eux ... Quel spectacle d'unité et d'amour.
Tiens Bibi, le boucher de Gaza consulte ce blog! Quel honneur!
Et on écrit "Mordekhaï " et non "mortdehaine"
Mordecai, Mordechai, ou Mordehai, sans tréma, c'est Mardochée, le père adoptif d'Esther. J'ai rencontré ce nom pour la première fois dans L'Homme des hautes plaines de Clint Eastwood. Le personnage qui l'endosse est un nain roublard et ambigu.
En ce dimanche des Rameaux, je dirais : pas le nom au-dessus de tout nom en tout cas.
Antisémitisme et complotisme, la marque de fabrique des refuzniks de Chrétienté-Solidarité.
Je comprends antisémitisme et complotisme, qui sont deux termes de la "pensée" prêt-à-porter de la "pensée" arc-en-ciel dont l'objet est d'en finir avec la liberté d'expression et avec la pensée. Je ne comprends pas "refuzniks de Chrétienté-Solidarité". Il doit y avoir un mot français pour refuznik au sens où vous l'entendez, car ce barbarisme en a plusieurs, d'ailleurs contradictoires, comme est devenu contradictoire le mouvement créé par Bernie Antonard qui veut aujourd'hui "bien" penser, penser arc-en-ciel, et cependant avoir l'air de penser et de penser "librement".
Schlomo machin truc n'est qu'un troll.
Et comme les génocidaires d'Israël ne sont pas plus respectables que les tortionnaires dans les camps de concentration de la 2e guerre, il faut éviter de lui répondre car, hélas 1000 X hélas, une seule réponse, ça l'honore. Beaucoup trop. !
Bernard Antony antisémite, comme sa revue et ses associations?
Visiblement, vous ne le connaissez pas.
Par contre, il parle clair et fort y compris concernant la tribu merveilleuse et sans défaut que le monde entier persécute alors qu'il ne servent que le bien de l'humanité.
L'accusation d'antisémitisme sert à des juifs, ils ne sont pas tous en cause, à faire taire une opposition, une critique de comportements de personnes de leur communauté, tout en se victimisant et sidérant tous les juifs qu'ils sont bien persécutés sans aucune raison, bien sûr.
En ce moment, avec la narration obligatoire sur le 7 octobre et l'interdit moral pour juger de la suite, vous jouez sur du velours.
Cette accusation ne dit rien, n'a aucune pertinence, mais prétend interdire tout débat, toute critique.
Igor, vous méritez bien une petite image pour votre effort.
Félicitations à vous.
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Dauphin, vous êtes impayable !!!
Je souhaiterais avoir votre sens de la répartie... C'est un don de Dieu que vous avez !!!