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Le procès d’Houria Bouteldja : le 12 octobre à Toulouse

En réponse à la mobilisation des soutiens d’Houria Bouteldja, l’Agrif a publié le communiqué suivant :

Cette pétulante agitatrice raciste, son idéologue et maître à penser Saïd Bouamama (auteur de « Nique la France ») et toute une cohorte d’ « intellectuels » diversement islamistes, gauchistes ou islamo-gauchistes, tentent sans vergogne, nous nous y attendions, de brandir le flambeau de l’antiracisme en cette occasion, employant donc toute leur science dialectique d’inversion de la réalité. Ainsi croient-ils par leurs manifestations pouvoir faire pression sur le Tribunal.

Or, la réalité c’est que l’Agrif est la seule association qui combat véritablement tous les racismes et voilà pourquoi elle a poursuivi Houria Bouteldja.

- L’Agrif défend tous les français injuriés ou frappés parce qu’ils sont français, quelle que soit leur race ou leur religion.

- L’Agrif défend les chrétiens injuriés ou frappés pour leur foi dans le christ et elle combat les actes, hélas de plus en plus nombreux, de christianophobie.

- L’Agrif défend la dignité humaine devant les manifestations de perversion, d’avilissement et de sadisme et tous les esclavages contemporains.

Houria Bouteldja et ses amis traitent les blancs de « sous-chiens » et veulent les « rééduquer » selon le maître-mot de tous les régimes totalitaires. Ce qu’ils écrivent est hallucinant de haine.

Ils prétendent représenter tous les arabes au mépris du fait que nombre de ces derniers ne sont pas islamistes et que beaucoup ne sont pas musulmans.

Ils prétendent représenter les « noirs » alors que le plus grand et le plus durable système d’esclavage des noirs fut celui du monde islamique. Au racisme antiblanc ils ajoutent ainsi un évident mépris raciste des noirs.

L’Agrif convie ses adhérents et amis de la région de Toulouse à venir assister au procès, sans se joindre à quelque manifestation que ce soit, et sans céder à d’éventuelles provocations. Nul doute que le tribunal et la police toulousaine feront respecter le libre accès au tribunal et la sérénité de l’exercice de la justice.

Il faut arriver assez tôt pour prendre place.

Mercredi 12 octobre, 13h30 donc, 3ème chambre, salle 5 du Tribunal de Toulouse.

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