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  • Violence de même sexe

    Le « mariage pour tous » c’est faire en sorte que les couples de même sexe soient traités de la même façon que les autres. Pourtant ils ne sont pas tout à fait comme les autres, au point que le lobby Act Up va fait voter par le Parlement des amendements à la loi de programmation du ministère de l’Intérieur afin que soient prise en compte la spécificité de la violence dans les couples de même sexe…

    Exposé des motifs de l’amendement 74 :

    Le présent amendement a pour objet de traduire une des recommandations issues des groupes de travail du Grenelle des violences conjugales en 2019 visant à améliorer la prise en charge des victimes de violences au sein des couples LGBT+, en leur permettant, dès que cela est possible, d’être prises en charge par un officier de liaison spécialement formé à l’accueil des personnes LGBT+.

    Et de l’amendement 77 :

    Le présent amendement a pour objet de tenir compte dans la feuille de route du ministère de l’Intérieur de la recommandation du groupe « violences intrafamiliales » piloté par le Secrétariat d’Etat en charge de la Protection de l’enfance dans le cadre du Grenelle des violences conjugales en 2019 visant à "améliorer la prise en charge des victimes de violences conjugales au sein des couples LGBT par des actions de sensibilisation du grand public et de formation des forces de l’ordre".

    Les violences sexuelles, physiques, psychologiques peuvent intervenir dans toutes les figurations de couple, indépendamment du sexe ou de l’orientation sexuelle de la victime.

    Pour autant, les dispositifs de prise en charge ne sont pas toujours adaptés pour accueillir la parole des victimes de ces violences. De nombreux témoignages recueillis dans le cadre du Grenelle des violences conjugales ont mis en avant une tendance par les forces de l'ordre à la minimisation ou au déni de ces violences qui ne sont pas conformes aux schémas de représentation traditionnels.

    Des initiatives associatives existent pour sensibiliser les forces de l'ordre et le grand public à la réalité de ces violences. Ces initiatives doivent être renforcées et amplifiées par le ministère de l'intérieur dans le cadre de sa feuille de route.

  • Hypocrites

    La Corée du Sud ne livre pas d’armes à l’Ukraine, mais seulement une assistance humanitaire. C’est ce que répète sans cesse le gouvernement sud-coréen. Parce que, comme a dit Poutine, si la Corée du Sud livre des armes à l'Ukraine c'est comme si la Russie livrait des armes à la Corée du Nord...

    Mais la Corée du Sud est l’un des plus gros producteurs d’armes du monde. Elle vend des armes à des pays qui les envoient en Ukraine…

    Elle vient de passer un contrat avec les Etats-Unis pour la fourniture de 100.000 obus de 155mm…

    Et elle a vendu cette année pour plusieurs milliards de dollars d’armement à la Pologne…

  • Encore un

    « Johan Hamel, arbitre de ligue 1, est parti hier soir à la suite d’un AVC massif après l’entraînement. Il avait seulement 42 ans. »

  • Fanatiques

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    L’Université de Notre Dame, fondation française, hélas, dans l’Indiana, est impeccablement woke, LGBT et dictatorialement covidienne. Il va de soi que pour s’y inscrire il faut présenter un « schéma vaccinal complet », comme on dit chez nous. Mais pour l’année prochaine on prend les devants. L’université annonce d’ores et déjà que pour l’année 2023-2024 il faudra présenter la preuve qu’on s’est fait injecter un rappel avant le 1er mars 2023. Sic.

  • Dans le New York Times

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    L'ancienne messe en latin trouve un nouveau public
    américain, malgré la désapprobation du pape

    Une ancienne forme de culte catholique attire de jeunes traditionalistes et conservateurs. Mais elle est le signe d'un clivage au sein de l'Église.

    L'article.

  • Le crime de guerre du jour (pschitt presque instantané)

    Les Russes ont lancé deux missiles sur la Pologne, tuant deux personnes. C’est une escalade du conflit, l’OTAN doit se réunir d’urgence, le Pentagone est sur les dents.

    Euh… en fait il y avait un seul missile.

    Euh… en fait c’est un missile de fabrication russe mais pas forcément tiré par les Russes.

    Euh… en fait c’est un missile sol-air S300 AD, donc de défense aérienne, qui a été tiré par les Ukrainiens. (Il s'agit donc techniquement d'une attaque de l'OTAN par l'Ukraine...)

    L’identité du missile a été établie par les spécialistes ukrainiens de Ukraine Weapons Tracker.

    BFMTV s’était empressée de diffuser et traduire la réaction de Zelensky :

    « Le tir de missiles sur le territoire de l’Otan est une attaque russe contre la sécurité collective. C’est une escalade très importante. Nous devons agir. Je tiens à dire maintenant à nos frères et sœurs polonais que l’Ukraine vous soutiendra toujours. Les peuples libres ne seront pas brisés par la terreur. »

    Ce matin, alors que tout le monde connaît désormais la vérité, BFMTV a diffusé et traduit le message de Zelensky au G20 :

    « Des missiles russes ont frappé hier le territoire de la Pologne voisine. Il doit y avoir une réaction rapide. Cette attaque de missiles est un vrai message de la Russie adressé au G20. Donc quand je dis G19 je ne me trompe pas, parce que la Russie est un Etat terroriste, et nous nous défendons contre elle. Voilà la réalité. »

    La palme de l’hystérie a toutefois été remportée par le ministre letton de la Défense Artis Pabriks (avant de reconnaître qu'il s'était trompé sur l'origine du tir) :

    « Mes condoléances à nos frères d'armes polonais. Le régime criminel russe a tiré des missiles qui visent non seulement les civils ukrainiens mais qui ont également atterri sur le territoire de l'OTAN en Pologne. La Lettonie se tient pleinement aux côtés de ses amis polonais et condamne ce crime. »

    (A propos du mensonge récurrent sur les Russes qui ciblent délibérément les civils, il y a eu hier 100 missiles lancés sur des installations de la plupart des grandes villes ukrainiennes, il y aurait eu, selon les Ukrainiens... un mort.)

  • Sainte Gertrude

    Nous pourrions démontrer par d'admirables témoignages à quel degré elle possédait, je ne dis pas la vertu, mais le don de confiance. En effet, elle sentait à toute heure une telle sécurité dans sa conscience, que ni les tribulations, ni les blâmes, ni les obstacles, ni même ses propres fautes, ne pouvaient altérer cette ferme confiance dans la miséricorde infinie. S'il arrivait que Dieu la privât des faveurs auxquelles elle était accoutumée, elle ne s'en troublait pas, car ce lui était pour ainsi dire une même chose de jouir de la grâce ou d'en être privée. En effet, durant l'épreuve, elle s'appuyait sur l'espérance, et croyait fermement que tout coopère au bien des âmes, qu'il s'agisse d'événements extérieurs ou d'opérations intimes. Comme on attend avec espoir un messager qui porte les nouvelles longtemps désirées, ainsi elle entrevoyait avec joie l'abondance des consolations divines dont l'adversité du moment lui semblait être la préparation et le gage certain. La vue de ses fautes ne pouvait l'abattre ni la décourager, parce que, raffermie bientôt par la présence de la grâce divine, son âme devenait plus apte à recevoir les dons de Dieu quels qu'ils fussent.

    Lors même qu'elle se voyait aussi privée de lumière qu'un charbon éteint, elle s'efforçait encore de chercher le Seigneur, et, se ranimant bientôt sous l'action de Dieu, elle se trouvait prête à recevoir de nouveaux traits de la ressemblance divine. L'homme qui, des ténèbres, passe au plein midi se trouve éclairé tout à coup ; de même elle se voyait illuminée par la splendeur de la divine présence, et recevait non seulement la lumière, mais aussi les ornements nécessaires à la reine qui ne se présente devant le Roi immortel des siècles que vêtue de la robe d'or enrichie de broderies. C'est ainsi qu'elle se trouvait préparée à l'union divine.

    Elle avait pris l'habitude de se prosterner souvent aux pieds du Seigneur, pour obtenir le pardon de ces fautes légères qui sont inévitables ici-bas. Mais elle interrompait cette pratique quand elle recevait, ainsi que nous l'avons dit, une effusion plus abondante de la miséricorde divine. Alors elle se livrait volontiers au bon plaisir de Dieu, devenait comme un instrument destiné à manifester les opérations de l'amour en elle et par elle, et n'hésitait pas à prendre avec le Dieu de l'univers une sorte de revanche de tendresse.

    Cette confiance lui inspirait aussi une manière très surnaturelle de considérer la sainte Communion, car elle ne lisait ou n'entendait rien dire concernant le danger de recevoir indignement le Corps du Seigneur, sans s'approcher du sacrement avec une espérance plus ferme encore dans la bonté de Dieu. Si elle avait oublié de réciter les prières par lesquelles il est d'usage de se préparer, elle ne s'abstenait pas cependant de la Communion, parce que, jugeant ces actes nuls ou de peu de valeur, elle croyait que tous les efforts de l'homme en face de cet incomparable don gratuit sont comme une goutte d'eau comparée à l'immensité de l'océan. Bien qu'elle ne vit aucune manière de se préparer dignement, cependant, après avoir mis sa confiance dans l'infinie bonté de Dieu, elle s'efforçait par-dessus tout de recevoir le sacrement avec un cœur pur et un fervent amour.

    Elle attribuait à sa seule confiance en Dieu tout le bien spirituel qu'elle recevait, et trouvait que ce bien était d'autant plus gratuit que ce don de confiance lui avait été accordé par l'Auteur de toute grâce, sans aucun mérite de sa part.

    C'est encore la confiance qui lui inspirait un fréquent désir de la mort, désir si parfaitement tempéré par l'union à la divine Volonté, qu'il lui était toujours indifférent de vivre ou de mourir : par la mort, en effet, elle espérait jouir de la Béatitude, tandis que la vie lui était une occasion d'augmenter la gloire de Dieu. I1 lui arriva un jour, en marchant, de faire une chute dangereuse. Elle ressentit aussitôt dans son âme une grande joie et dit au Seigneur : « Quel bonheur pour moi, ô mon bien-aimé Seigneur, si cette chute m'eût donné l'occasion d'aller tout à coup vers vous . » Et comme nous lui demandions tout étonnés si elle ne craignait pas de mourir sans les sacrements de l'Église : « En vérité, dit-elle, je désire de tout mon cœur recevoir les sacrements ; mais la volonté et l'ordre de mon Dieu seront pour moi la meilleure et la plus salutaire préparation. J'irai donc avec joie vers lui, que la mort soit subite ou prévue, sachant que de toute façon la miséricorde divine ne pourra me manquer, et que sans elle nous ne serions pas sauvés, quel que soit le genre de notre mort. »

    Le Héraut de l’amour divin, livre I, 7.

  • Tabou

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    Ainsi commence une longue dépêche de l'AFP, où à aucun moment on ne lira le mot "islam" ou "musulman".

    La "Laïcité" étant une arme de combat contre le christianisme, on fait silence sur l'ennemi quand l'ennemi n'est pas le christianisme. C'est ce ce que l'on voit tous les jours, depuis des années, chaque fois qu'il est question d'atteintes à la laïcité dans les écoles. Car il ne s'agit jamais d'attentats chrétiens. Il va de soi que ne jamais nommer l'ennemi est le meilleur gage de la défaite. Pap Ndiaye peut raconter tous les jours qu'il n'a pas la main qui tremble: il s'est coupé la main.

  • Le dictateur

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    Cet inconnu rêve de rester dans l’histoire comme le Français qui aura permis de mettre en place un instrument clé de la dictature climatique.

    Il y a plusieurs mois que monte l’idée d’instaurer une dictature climatique, sur le modèle de la dictature sanitaire qui a si bien fonctionné. Le ressort étant le même : jouer sur la peur, une peur irraisonnée, ou plutôt déraisonnable, en fait complètement folle, mais martelée par les médias de façon assez assourdissante pour qu’elle soit convaincante. Après la peur du virus (qui demeure néanmoins afin d’être toujours réactivable), la peur du « réchauffement climatique anthropique », lequel exige de tout un chacun qu’il « décarbone » sa vie quotidienne. Et pour obliger le citoyen à « réduire son empreinte carbone », il faut instituer un « compte carbone » : chaque individu a un quota d’équivalent CO2, à chaque achat on lui débite la soi-disant empreinte carbone de son achat, et quand il a épuisé son quota il ne peut plus rien acheter.

    L’inconnu Jean-Marie Fiévet a donc décidé de devenir célèbre en proposant de voter le « compte carbone ». Avec l’appui de BFM, évidemment, qui nous fait savoir que dès 2019 une entreprise suédoise a imaginé, en coopération avec Mastercard, une carte de crédit qui calcule l’empreinte carbone de chaque achat, en informe le consommateur, et peut bloquer les dépenses dès qu’est atteint un « maximum de carbone »…

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  • Les hystériques

    La Scala de Milan doit ouvrir sa saison d’opéras le 7 décembre avec Boris Godounov de Moussorgski. Le consul d’Ukraine a écrit au maire de Milan et président de la Scala, au président de la région, et au directeur du théâtre, pour leur demander d’annuler ce spectacle. Appuyé par une pétition soulignant que la Russie utilise la culture pour affirmer sa puissance…

    Le directeur musical de la Scala Riccardo Chailly et le directeur du théâtre Dominique Meyer se sont abaissés à répondre qu’en fait l’opéra de Moussorgski est plutôt anti-tsariste (ce qui est faux, il est anti-polonais, ce qui n’est pas la même chose…), et que la programmation associe Boris Godounov et Macbeth en les associant à l’abus de pouvoir observé dans certains pays (il ne semble pas qu’il s’agisse de la dictature soi-disant sanitaire en Italie, dont ces directeurs ont été les serviles exécutants).

    Ils croient donc, ou font semblant de croire, que les dirigeants ukrainiens s’opposent à ce que les Russes se servent de la culture de leur pays pour faire leur propagande. Or il ne s’agit pas du tout de cela. Il s’agit purement et simplement d’interdire dans le monde entier tout ce qui a trait à la culture russe, comme cela est déjà fait en Ukraine.

    Cela dit, aucune autorité italienne n’a donné raison au consul.

    Hier je voyais et surtout entendais sur internet un concert en direct célébrant les 80 ans de la grande violoncelliste russe Natalia Gutman. C’était au conservatoire de Moscou. Il y eut une interprétation sublime du premier concerto pour violoncelle de Chostakovitch avec comme soliste Alexander Roudine. Il y avait ensuite le concerto pour piano et vents de Stravinsky, avec en soliste Alexei Lioubimov. Lequel Lioubimov était il y a quelques jours à Paris, où il a notamment assisté à un concert d’œuvres du compositeur ukrainien Valentin Silvestrov. Ainsi va la dictature poutinienne… En deuxième partie il y avait un concerto de Beethoven avec la Géorgienne Elisso Virsaladze. Quelques jours avant, j’ai vu un concert à Moscou dirigé par un chef anglais. Et un autre avec comme soliste un violoncelliste arménien. Un autre avec un pianiste anglais. Et encore un concert dirigé par Vladimir Fedosseïev, 90 ans, décidément toujours sur le pont, qui avait signé une pétition contre la guerre. Ainsi va la dictature poutinienne…

    (J'oubliais l'œuvre intéressante, Actus tragicus, plus lyrique que tragique, du compositeur ukrainien Sergueï Akhounov, créée au festival Vivacello à la Philharmonie de Moscou le 12 novembre. Bon, il est vrai qu'Akhounov vit à Moscou depuis 2003...)