Cet inconnu rêve de rester dans l’histoire comme le Français qui aura permis de mettre en place un instrument clé de la dictature climatique.
Il y a plusieurs mois que monte l’idée d’instaurer une dictature climatique, sur le modèle de la dictature sanitaire qui a si bien fonctionné. Le ressort étant le même : jouer sur la peur, une peur irraisonnée, ou plutôt déraisonnable, en fait complètement folle, mais martelée par les médias de façon assez assourdissante pour qu’elle soit convaincante. Après la peur du virus (qui demeure néanmoins afin d’être toujours réactivable), la peur du « réchauffement climatique anthropique », lequel exige de tout un chacun qu’il « décarbone » sa vie quotidienne. Et pour obliger le citoyen à « réduire son empreinte carbone », il faut instituer un « compte carbone » : chaque individu a un quota d’équivalent CO2, à chaque achat on lui débite la soi-disant empreinte carbone de son achat, et quand il a épuisé son quota il ne peut plus rien acheter.
L’inconnu Jean-Marie Fiévet a donc décidé de devenir célèbre en proposant de voter le « compte carbone ». Avec l’appui de BFM, évidemment, qui nous fait savoir que dès 2019 une entreprise suédoise a imaginé, en coopération avec Mastercard, une carte de crédit qui calcule l’empreinte carbone de chaque achat, en informe le consommateur, et peut bloquer les dépenses dès qu’est atteint un « maximum de carbone »…
Commentaires
Une fiévet merdasse.
Il y a un type comme Jean-Dominique Michel qui en fait des tonnes en ce moment sur le caractère nazi de cette idéologie. Il en voudrait pour preuves que les Américains et les Russes s'étaient partagé en 1945 l'élite scientifique allemande, que Kurt Waldheim, ancien officier de la Wehrmacht, a été vingt ans après la guerre Secrétaire général des Nations Unies, puis Président de la République en Autriche. Il ajoute que le père de Klaus Schwab aurait eu des sympathies nazies.
C'est une thèse qui a été vaguement soutenue par Hannah Arendt : les nazis auraient pris acte de leur défaite plusieurs années avant la fin de la guerre et auraient préparé leur reconversion. C'était il y a près de 80 ans ! Tout cela relève du fantasme, du grand-guignol ! Ça ne tient pas la route !
Le totalitarisme qu'on est en train de mettre en place procède peut-être en partie du nazisme, comme il procède en partie du communisme, mais il a surtout en commun avec ces deux idéologies, surtout avec le communisme d'ailleurs, de vouloir exercer un contrôle total sur la société. L'une des différences, en revanche, c'est qu'il est moins brutal. Il utilise plus intelligemment l'outil médiatique. Il s'attache à déplacer la fameuse "fenêtre d'Overton", à rendre peu à peu acceptables dans l'opinion publique des idées ou des pratiques qui auraient fait dégueuler nos grands-parents, nos parents et peut-être nous-mêmes il y a encore vingt ans. Une fois que ces horreurs sont devenues courantes, une fois que la société les a intégrées, il devient possible de les rendre obligatoires. Fiévet est juste un peu en avance, de même lorsque Attali parle de l'euthanasie comme d'une pratique qu'on pourrait rendre obligatoire. Un film comme Soleil Vert en devient d'un coup beaucoup moins choquant !
Les communistes et les nazis étaient des lourdauds. Déplacer la fenêtre d'Overton, pour eux, c'était juste imposer brutalement aux masses l'application du programme du parti. C'est pourquoi cela n'a pas très bien marché.
C'étaient des lourdauds, mais ce qui pourrait nous sauver, paradoxalement, c'est qu'ils gardaient une forme de sens commun. Ils savaient jusqu'où ils pouvaient aller trop loin. Tandis que nos actuels "dirigeants" sont emportés par une hubris qui les met en danger, comme les met en danger le dévoilement toujours possible d'un de leurs très gros mensonges. Il y en a tant !
Il faut reconnaître que cette invention de psychopathes est plus élaborée que le tri des poubelles dans le contrôle absolu et le stress permanent des populations. Les gens auront d'autres moyens de paiement ou le troc pour contourner cette imbécillité luciférienne.
Il va leur falloir faire disparaître l'argent liquide...