Dès le premier jour de sa présidence, Jo Bidon a signé un décret autorisant les athlètes transgenres biologiquement masculins à concourir dans les sports féminins.
Il est intitulé : « Prévention et lutte contre la discrimination fondée sur l'identité de genre ou l'orientation sexuelle ». Il y a là (évidemment) une inversion, puisque c’est le fait que des hommes déguisés en femmes concourent à des compétitions féminines qui est une discrimination. Contre les femmes.
Jo Bidon rétablit ainsi la décision qui avait été prise par Obama, et annulée par Trump.
En mars 2020, l’Idaho a voté une loi interdisant aux hommes déguisés en femmes (« transgenres ») de participer aux compétitions féminines. La loi, justement intitulée « Loyauté dans le sport féminin », est bloquée par un juge fédéral, à la demande de l’ACLU, le lobby qui fait la chasse à tout ce qui est conforme à la loi naturelle (et d’abord aux limitations à l’avortement).
Hier, au Montana, un projet de loi interdisant aux enfants des collèges et des lycées de jouer dans des équipes selon le genre auquel ils s’identifient et non selon leur sexe a été adopté en commission. Les démocrates ont fait remarquer que Jo Bidon venait tout juste de décréter le contraire. Mais le projet de loi va suivre son cours. Il en est de même en Oklahoma, en Caroline du Sud, au Tennessee, au Kentucky, au Dakota du Nord et au New Hampshire.
Dès la promulgation du décret Bidon, des députés républicains ont annoncé une proposition de loi visant à rétablir la vérité biologique dans le sport.
On a comme l’impression que tout cela va finir à la Cour suprême… où ce n’est pas Jo Bidon qui a la majorité…