Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Atroce

Les Américains ont changé de président. Celui d’avant faisait une longue déclaration pro-vie à chaque anniversaire de Roe contre Wade, et manifestait son soutien à la Marche pour la vie, à laquelle il participa en personne l’an dernier. Désormais, non seulement le président et sa vice-présidente célèbrent la décision qui a permis l’avortement, et l’avortement sans limite, et promettent de la défendre bec et ongles, et condamnent le président précédent, mais deux fois de suite dans leur brève déclaration ils appellent l’avortement un « soin de santé ». Et tout y est : « santé reproductive » comme celle des cochons, « droit de choisir » pour droit de tuer, et l’impérialisme de la culture de mort camouflé en « questions de santé » dans le monde…

 

Déclaration du président Biden et de la vice-présidente Harris à propos du 48e anniversaire de Roe contre Wade

Ce jour marque le 48e anniversaire de l'arrêt historique de la Cour suprême des États-Unis dans l'affaire Roe contre Wade. 

Au cours des quatre dernières années, la santé reproductive, y compris le droit de choisir, a fait l'objet d'attaques extrêmes et incessantes.  Nous sommes profondément engagés à faire en sorte que chacun ait accès aux soins - y compris les soins de santé reproductive - quels que soient son revenu, sa race, son code postal [sic !], son statut d'assurance maladie ou son statut migratoire.

Le gouvernement Biden-Harris s'engage à codifier [?] l’arrêt Roe contre Wade et à nommer des juges qui respectent les précédents fondamentaux comme Roe. Nous nous engageons également à assurer que nous travaillerons à éliminer les disparités en matière de santé maternelle et infantile, à accroître l'accès à la contraception et à soutenir les familles sur le plan économique afin que tous les parents puissent élever leur famille dans la dignité. Cet engagement s'étend à notre travail essentiel sur les questions de santé dans le monde entier.

Alors que le gouvernement Biden-Harris commence en ce moment crucial, le temps est venu de se consacrer à nouveau à garantir que tous les individus aient accès aux soins de santé dont ils ont besoin.

 

On remarquera aussi que Donald Trump parlait toujours de Dieu, notamment pour souligner que tout enfant est un don de Dieu, alors que le très catholique Bidon qui prête serment sur la Bible de Douay-Rheims tait sa foi. Il est vrai que lorsque c'est pour promettre un plus grand massacre d'innocents, c'est difficile...

Commentaires

  • Derrière Bébé Bidon qui fait caca dans ses couches, les immondes langeuses "féministes" et les innommables, qu'on ne nommera donc pas.
    La domination du monde par les Etats-Unis, c'est cent ans de mensonges, de guerres et de crimes sous couvert de bien-pensance pharisaïque. Après le répit Trump, ils vont avoir ce qu'ils méritent. Ce n'est que justice.

  • Le clergé français qui condamnait le vote Trump, j'ai entendu un de ses représentants sur KTO argumenter que le vote Trump était pire que le vote Biden, va certainement nous expliquer maintenant que ce n'est pas à nous de donner des leçons aux américains, que les immigrants illégaux vont enfin être tous accueillis et régularisés et que l'Etat américain va pouvoir à nouveau endetter les américains pour fournir une couverture sociale universelle qui comprend le remboursement obligatoire de la contraception et, bientôt à coup sûr, celui du changement de sexe. Le vice ministre de la santé déguisé en femme est pédiatre des enfants, spécialisé dans l'accompagnement de ceux qui ont des troubles d'identité pour les convaincre qu'il suffit pour eux de changer de sexe pour aller mieux.
    "Mettre sa conduite humaine sous la garde de sa raison" comme disait saint Thomas d'Aquin paraît si loin maintenant que le cosmopolitisme et l'idéologie progressiste ont repris le contrôle des USA.
    "la démocratie c'est le mal, la démocratie c'est la mort" comme disait si bien Maurras.

  • on peut déjà remarquer que le clergé français se mélait de ce qui ne le regardait pas, ce qui est toujours une mauvaise méthode

  • C'est sans doute vrai, mais un bon régime doit lui laisser une place, comme c'était d'ailleurs le cas dans la monarchie d'Ancien Régime. Un bon régime doit entraver le moins possible les libertés fondamentales du peuple dont il a la charge.
    D'autre part, n'oubliez pas que l'élection de ce clown et de ce clone de Biden n'a ABSOLUMENT rien eu de démocratique. C'est une fraude monumentale de l'oligarchie sataniste qui gouverne le monde.
    Ce qu'on peut reprocher à la démocratie, c'est d'avoir laissé une minorité de salopards s'emparer de la finance, des médias et d'entreprises désormais plus puissantes que les Etats. C'est sans doute ce que les libéraux appellent "la main invisible" (ironie).

  • Question à Stavrolus : Biden aurait donc été élu ? Je croyais avoir lu ici même que nos journalistes mentaient et que Trump avait gagné et allait rester à la maison blanche ?

  • Trump a gagné : oui. Et les journalistes mentent comme des soutiens-gorge, sur tout (Même la météo n'échappe pas au mythe du réchauffement climatique anthropique...) : ils n'ont pas le choix, sauf à quitter les médias mainstream. On peut les comprendre, on peut en tout cas comprendre qu'il y ait assez de putes dans cette profession pour que la machine continue de tourner.
    Je ne crois pas avoir jamais affirmé ici que Trump ne quitterait pas la Maison Blanche. Je l'ai souhaité, ce n'est pas la même chose.

  • dans la monarchie d'ancien régime, c'était le roi qui nommait les prélats les plus importants, et le clergé avait des places réservées dans les institutions de l'état
    inversement, il avait un domaine réservé : tout ce qui touchait à la religion; avec ses enfants adultérins dont la mère était une femme mariée, Louis XIV lui-même ne pouvait rien faire si un problème se posait en justice : toute justice émanait du roi, sauf la justice ecclésiastique, et le marquis de Montespan aurait trés bien pu être reconnu père légitime des enfants de sa femme; on doit supposer dans ce cas particulier que le roi s'était transformé en maître chanteur

  • Votre hypothèse de travail tend à prouver le contraire de ce que vous voulez montrer. Les officialités ne se prononçaient qu'en matière religieuse et les appels comme d'abus réduisaient encore leurs compétences. Dans le cas de l'infortuné Montespan, une officialité aurait pu, tout au plus, condamner la séparation de corps entre les époux, sans avoir pour autant aucun pouvoir de les réunir.
    Si le marquis avait pu espérer qu'une officialité contraignît Louis XIV à faire quelque chose, ç'aurait été de lui rendre sa femme, qu'il aimait comme un fou. Et s'il l'avait espéré, il aurait saisi cette juridiction. Mais aucune officialité ne pouvait faire cela pour lui et le pauvre homme en est mort de chagrin.

  • quand on veut réfuter quelque chose, il faut d'abord savoir de quoi on parle; je ne parlais pas des relations entre le marquis de Montespan et sa femme, qui ne posaient aucun problème canonique : ils étaient mari et femme et personne ne pouvait le nier; je parlais des enfants de la marquise : en principe, les enfants dune femme mariée sont les enfants de son mari qui avait parfaitement le droit de les réclamer, et aucune officialité ne pouvait le lui refuser, or il ne l'a pas fait, ce qui peut laisser supposer que le roi lui a fait peur d'une façon ou d'une autre, mais le roi, lui, pouvait toujours craindre que le marquis lui enlève les enfants

  • A ma connaissance, Montespan est séparé d'avec sa femme à partir de 1667. A supposer qu'il eût désiré faire reconnaître les enfants que sa femme eut avec le roi à partir de 1690, une officialité n'aurait que pu constater une séparation de corps, provoquée par un ordre du roi, et qui rendait impossible toute procréation. D'ailleurs, le marquis faisait orner ses carrosses et les portes de son château de cornes et hurlait sa rage d'être cocu à qui voulait l'entendre. Ce n'est pas l'attitude d'un homme qui aspire à s'attribuer les enfants que sa femme a eus avec un autre. Il les aurait plutôt noyés. Par conséquent, Louis XIV n'avait aucune raison d'exercer le moindre chantage sur Montespan pour l'empêcher de s'attribuer ses bâtards.
    Il est d'ailleurs tout à fait douteux qu'il ait jamais été dans les attributions des officialités de se prononcer sur la légitimité des naissances. Et encore moins d'appliquer stupidement l'équation mariage = procréation. Je suis bien convaincu, connaissant la prudence et la sagesse de l'Eglise, que ce sont là des questions dont elle ne se mêlait pas.

  • Il faut lire : "les enfants que sa femme eut avec le roi à partir de 1670".

  • l'officialité n'avait pas à se prononcer : la règle "pater is est" s'appliquait automatiquement, sauf si le mari s'y opposait, ce qui ne fut jamais le cas
    l'officialité n'avait d'ailleurs pas les moyens de faire le moindre contrôle: la France d'Ancien Régime n'était pas un état policier, et la suite des événements prouve que le roi n'y tenait absolument pas

  • Bien que Louis XIV se soit conduit de manière inique avec Montespan et que la justice ecclésiastique ou royale n'ait en l'occurrence rien fait pour rétablir le roi, la justice reste l'un des domaines ou le pouvoir du monarque "absolu" était limité. Il l'était de facto par la fameuse paulette créée sous Henri IV, qui rendait les juges royaux propriétaires d'une charge héréditaire. Le procès de Fouquet, condamné au bannissement alors que Louis XIV voulait absolument sa tête, en apporte la démonstration éclatante. Le roi ne put qu'exercer son droit de "grâce" et commuer la peine en détention à vie.
    Encore s'agit-il là d'un procès politique. Le Français moyen qui ne réglait pas ses affaires à coups de mousquet et payait des impôts beaucoup moins lourds qu'aujourd'hui pouvait n'avoir, de toute une vie, jamais affaire à la maréchaussée. Dans un autre domaine, Louis XIV, étant connu pour ne pas supporter l'odeur du tabac, laissa le corsaire Jean Bart fumer tranquillement sa pipe tout au long d'une audience qu'il lui accorda.

  • ...rétablir le droit...

  • je vois assez mal le rapport qu'il pourrait y avoir entre la paulette et la juridiction ecclésiastique, la seule qui échappait au roi, et je ne vois pas trés bien ce que Fouquet et Jean Bart viennent faire dans cette affaire
    les rapports entre Louis XIV et Montespan ne se bornaient pas au problèm'e de l'adultère royal : Montespan avait des prétentions sur deux duchés, prétentions que le roi refusait de reconnaitre; comme il avait l'habitude de coucher avec des duchesses, il proposa à Montespan un nouveau titre de duc, titre que celui-ci refusa, ne voulant rien devoir au cul de sa femme

  • « Nous savons qu’ils mentent !
    Ils savent qu’ils mentent !
    Ils savent que nous savons qu’ils mentent !
    Nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent !
    Et, pourtant, ils persistent à nous mentir ! »
    Alexandre SOLJENITSYNE

  • Vous écrivez : " Le clergé français qui condamnait le vote Trump, j'ai entendu un de ses représentants sur KTO argumenter que le vote Trump était pire que le vote Biden ... "
    Pourriez-vous publier le lien vers l'article ou la vidéo d'un membre du clergé français appelant à voter Biden ?

  • Ce qui m etonne un peu c est le besoin de parler
    Le catholique Biden ne pourrait il pas au moins se taire ?

  • "le gouvernement Biden-Harris": seront-ils désormais deux pour gouverner ? Une nouveauté ? Une autre forme d' inclusion?

  • la constitution des Etats Unis d'Amérique prévoit l'existence d'un vice président qui est essentiellement destiné à remplacer le président pour la fin de son mandat en cas de décés ou d'empéchement duement constaté; en effet, elle ne prévoit pas dans ces cas de nouvelles élections; le président peut lui déléguer certaines de ses missions et sa tache propre est de présider le Sénat en cas de besoin, ce qui est loin d'être un travail à plein temps, le Sénat ayant un président pro tempore pour ses sessions habituelles
    si l'on en croit les ragots colportés par la presse, la vice-présidente de Biden aurait un assez grand role dans la mesure où celui-ci ne serait pas capable d'assurer ses fonctions

  • Vous écrivez : " Le clergé français qui condamnait le vote Trump, j'ai entendu un de ses représentants sur KTO argumenter que le vote Trump était pire que le vote Biden ... "
    Pourriez-vous publier le lien vers l'article ou la vidéo d'un membre du clergé français appelant à voter Biden ?

  • Précisons que Trump, parlant de l'enfant comme d'un don de Dieu, faisait référence non pas au dieu civil mais au Dieu de la Bible.
    Vidéo sous-titrée en français de son discours à la Marche pour la Vie : https://www.youtube.com/watch?v=X9nE-yVjg5Y&feature=emb_title

  • a priori, tout les Américains connaissent la Bible; ils n'ont pas été touchés par la laïcité à la feançaise à laquelle ils ne comprennent rien, pas plus d'ailleurs que le reste de l'humanité
    Jean pourrait-il nous expliquer ce qu'il appelle un dieu civil ?

  • La Bible des Anglo-Saxons : sur la table de nuit. Le vibromasseur est dans le tiroir.

  • Le dieu civil est un dieu impersonnel qui ne fait allusion à aucune religion, et auquel se référait même un F. Roosevelt pas très croyant. Ceci pour ne pas imposer le dieu des chrétiens.

  • mais d'où sort ce dieu civil ?
    de votre iùagination ?

  • Vous n'êtes pas obligé d'être désagréable, et une recherche aurait évité ce sarcasme... Mais bon, passons !

    https://www.letemps.ch/opinions/religion-civile-americaine-legitimation-religieuse-liberte

    Bref, contrairement à tant de présidents, Trump faisait référence au dieu des chrétiens, et il a d'ailleurs insisté sur le sens de la venue du Christ, lors de ses vœux de Noël.

Les commentaires sont fermés.