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  • Au Mexique

    La Cour suprême mexicaine a rejeté mercredi une initiative visant à déclarer inconstitutionnels deux articles du code pénal criminalisant l'avortement.

    Les idéologues de la culture de mort ont perdu. Les pragmatiques, eux, ne demandent rien à la Cour suprême : en 2007, la ville de Mexico a voté une loi réformant le code pénal local afin de permettre l’avortement…

  • Parole d’avorteuse

    Ann Furedi est la directrice générale du « Service de conseils pour la grossesse », c’est-à-dire de la plus grande chaîne d’avortoirs privés de Grande-Bretagne. Dans une interview au Daily Mail, elle déclare que les femmes doivent pouvoir utiliser l’avortement comme moyen de contrôle des naissances, car il n’y a pas plus de risque à avorter qu’à prendre la pilule, et sur le plan moral il n’y a pas davantage de différence. De même qu’il n’y a pas de différence, sur le plan moral, entre décider d’avorter ou décider de se marier ou décider de divorcer.

    Elle ajoute :

    L’avortement c’est peut être tuer, mais c’est tuer un être qui n’a pas le sens de la vie ou de la mort, et qui n’a pas conscience d’être distinct des autres.

    Et Ann Furedi ne paraît pas avoir conscience de parler comme un médecin nazi, en légitimant par ce propos le meurtre de nombreux malades mentaux ou de grands blessés. Peut-être a-t-elle conscience en revanche que son propos justifie l’infanticide, et que c’est pour aller dans ce sens qu’elle parle ainsi. Son organisation pourrait alors s’appeler « Service de conseils pour la grossesse et la naissance ».

  • Mystérieuse agression

    Le directeur du centre des Restos du Cœur de Montreuil a été agressé par un homme et une femme, celle-ci le frappant au ventre à coups de couteau, tandis que celui-là se jetait sur l’homme avec une hache. Puis le couple s’est enfui en criant « Allahou Akbar ».

    Donc la police appelle à la plus grande prudence sur les motivations de l’agression et souligne qu’aucune piste n’est privilégiée…

  • L’islam saoudien à Nice

    Le Conseil d'Etat a confirmé hier l'injonction faite en référé au maire de Nice d'autoriser l'ouverture d'une mosquée financée par l'Arabie saoudite (le propriétaire est carrément le ministre saoudien des Affaires islamiques).

    Selon le Conseil d’Etat, les lieux de prières existants à Nice ne permettent pas aux musulmans « d'exercer leur culte (?) dans des conditions normales de dignité et de sécurité », et « le refus du maire d'autoriser l'ouverture des locaux portait une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de culte ».

    C’est ainsi que le Conseil d’Etat impose l’islam salafiste, se lavant les mains des conséquences.

    Christian Estrosi et le nouveau maire de Nice en titre ont répondu qu’ils ne se soumettront pas : « C'est désormais au préfet des Alpes-Maritimes de prendre ses responsabilités s'il veut se substituer au maire de Nice. »

    Addendum

    La préfecture a pris un arrêté autorisant l'ouverture de la mosquée, comme "établissement recevant du public", sans aucune indication de sa destination...

  • Ils tombent des nues

    Les autorités de l’enseignement en Flandre ont découvert qu’un très officiel professeur de religion islamique, qui faisait un remplacement à Willebroeck, fait l’éloge de « prêcheurs de haine » sur sa page Facebook. « La direction de l’école et l’inspection tombent des nues, nous dit le journal. Nous n’avions décelé aucun signe de radicalisme. »

    Ils ne veulent toujours pas savoir que le « radicalisme », c’est ce qui se trouve dans le Coran et les Hadiths. Et donc dans les prêches des innombrables prédicateurs salafistes. Ils n’ont pas fini de tomber des nues. Avant de tomber sous les coups.

    « Je vais ouvrir une enquête. Si vos allégations sont exactes, sa carrière d’enseignant est terminée. Ce que vous me racontez est inacceptable. Je ne l’enverrai plus jamais dans une école », déclare l’inspecteur anversois des cours de religion islamique. Qui s’appelle Ahmed Azzouz…

    Ce qui est semble-t-il « inacceptable », c’est d’appeler à tuer les juifs. Ahmed Azzouz ne paraît pas bien connaître la vie du beau modèle…

  • Kafir harbi

    Le grand mufti de l’Etat de Pahang en Malaisie, Abdul Rahman Osman, a déclaré que les que les musulmans qui soutenaient le parti d’action démocratique (DAP) commettaient un péché, et que plus généralement tous ceux qui contestent une loi visant à appliquer la charia sont « kafir harbi », à savoir des mécréants « de la guerre », autrement dit qu’il est licite de tuer. (Le « dar al Harb » est le pays de la guerre, de la guerre de l’islam pour soumettre les infidèles, par opposition au « dar al islam », le pays où règne la charia.)

    Cette déclaration ayant provoqué une certaine émotion, et même des plaintes pour incitation à la haine, Abdul Rahman Osman a déclaré ensuite qu’il n’avait pas du tout prôné le meurtre de ceux qu’il avait appelés « kafir harbi », et qu’il n’avait pas utilisé l’expression de façon littérale. Il a précisé : « En tant que musulmans nous avons la responsabilité de déclarer le jihad contre les kafir harbi. Mais dans ce contexte, le jihad ne signifie pas nécessairement prendre les armes et aller à la guerre. Dans ce cas, le jihad signifie seulement que nous déclarons la guerre à leur idéologie par le débat. »

    Soulignant qu’il ne s’excuserait pas d’avoir utilisé cette expression (qui veut bel et bien dire que quiconque est en droit de tuer la personne ainsi désignée), il a ajouté que les non-musulmans n’ont pas à s’inquiéter des amendements visant à renforcer les tribunaux de la charia, puisque ces tribunaux ne concernent que les musulmans. « Cela ne les concerne pas et ils feraient mieux de ne pas interférer dans nos affaires religieuses… » Ce qui ressemble quand même à une nouvelle menace… Et l’on sait que non loin de là, dans la province indonésienne d’Aceh, la charia est aujourd’hui appliquée aux non-musulmans…

  • Sissi insiste

    A l’occasion de la « nuit du destin », le président égyptien Abdel Fattah al Sissi a demandé de nouveau à l’université d’al-Azhar, dans un discours télévisé, de « repenser le discours religieux » afin que l’islam ne puisse pas être une source d’inspiration pour le terrorisme.

    Répétant que l’extrémisme islamiste fait courir un danger majeur au monde musulman, il a souligné l’urgence de « corriger » le discours sur l’islam, rappelant qu’au début de l’ère musulmane les savants s’étaient élevés contre des paroles faussement attribuées au Prophète. « Je dis aux religieux d’Al-Azhar de poursuivre leurs efforts dignes d’éloges pour corriger les discours religieux et clarifier la véritable essence de l’islam qui prône la tolérance et la compassion. »

  • Au Japon

    La Cour suprême du Japon a définitivement rejeté la plainte de musulmans, qui reprochaient aux autorités de leur pays d'avoir violé leur vie privée en mettant en place une surveillance ciblée.

    Suite à des révélations concernant l’étendue des mesures de surveillance des musulmans mises en œuvre par les autorités, 17 musulmans japonais avaient porté plainte contre le gouvernement pour violation du respect de la vie privée et de la liberté religieuse, réclamant 90 millions de yens (800.000 €) de compensation.

    D'après l'avocat des plaignants, les magistrats ont estimé que le gouvernement n'avait en aucune manière enfreint la Constitution. La Cour suprême a également validé l'arrêt d'une cour de justice qui avait décrit les mesures de surveillance prises par les autorités comme «nécessaires et inévitables» afin de protéger le pays contre la menace du terrorisme international.

    Il n’y aurait que 10.000 musulmans dans l’archipel.

  • Le cardinal Rivera et la messe

    Le cardinal Norberto Rivera Carrera, archevêque de Mexico, a célébré la messe de la fête des saints Pierre et Paul, dans la « forme extraordinaire », à la chapelle de l’Immaculée Conception qu’il a confiée à la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre.

    L’événement a été répercuté par le service de communication du diocèse, qui souligne que la chapelle est dédiée à la célébration permanente de la messe selon la forme extraordinaire du rite latin, « avec l’idée de former autour d’elle une communauté de vie catholique intégrale basée sur ce rite ».

    Il est précisé également que lors de la messe ont été exposées à la vénération des fidèles des reliques de deux groupes de Cristeros, saint Cristobal Magallanes et ses compagnons martyrs, et le bienheureux Anacleto Gonzales Flores et ses 12 compagnons martyrs.

    Voilà encore un « grand cardinal », comme dirait Benoît XVI...

  • Pakistan : condamnés à mort pour “blasphème”

    Un chrétien et un musulman faisaient chanter le directeur catholique d’un complexe d’établissements scolaires (2.000 élèves) à Gujranwala, dans le nord du Pendjab. Ils lui réclamaient toujours plus d’argent pour ne pas divulguer un enregistrement audio où selon eux il tenait des propos « blasphématoires ». Le directeur a fini par porter plainte. Résultat : la police a arrêté les maîtres chanteurs, a mis la main sur l’argent extorqué et sur le fichier audio, et tous les trois se sont retrouvés devant le tribunal militaire antiterroriste (sic) qui vient de les condamner à mort : le directeur d’écoles pour blasphème, les deux autres pour détention de blasphème (ceux-ci sont aussi condamnés à 35 ans de prison et une forte amende pour extorsion de fonds).

    Alors que les propos supposés « blasphématoires » avaient été tenus en public, le tribunal a refusé d’entendre les témoins pour corroborer l’accusation. L’avocat du directeur d’écoles a souligné en vain les failles de l’enquête, et il ajoute que personne n’a écouté l’enregistrement audio pour vérifier qu’il s’agissait bien d’une affaire de blasphème, puisque l’Islam interdit l’écoute de propos blasphématoires…