Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Au Japon

La Cour suprême du Japon a définitivement rejeté la plainte de musulmans, qui reprochaient aux autorités de leur pays d'avoir violé leur vie privée en mettant en place une surveillance ciblée.

Suite à des révélations concernant l’étendue des mesures de surveillance des musulmans mises en œuvre par les autorités, 17 musulmans japonais avaient porté plainte contre le gouvernement pour violation du respect de la vie privée et de la liberté religieuse, réclamant 90 millions de yens (800.000 €) de compensation.

D'après l'avocat des plaignants, les magistrats ont estimé que le gouvernement n'avait en aucune manière enfreint la Constitution. La Cour suprême a également validé l'arrêt d'une cour de justice qui avait décrit les mesures de surveillance prises par les autorités comme «nécessaires et inévitables» afin de protéger le pays contre la menace du terrorisme international.

Il n’y aurait que 10.000 musulmans dans l’archipel.

Les commentaires sont fermés.