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  • Saint Jean de la Croix

    Deus, qui sanctum Ioánnem Confessórem tuum atque Doctorem perféctæ sui abnegatiónis et Crucis amatórem exímium effecísti : concéde ; ut, eius imitatióni iúgiter inhæréntes, glóriam assequámur ætérnam. Per Dóminum nostrum.

    Dieu, vous avez inspiré à saint Jean, votre Confesseur et Docteur, un amour sublime de la parfaite abnégation de soi et de la Croix : faites que, nous attachant toujours à l’imiter, nous obtenions la gloire éternelle.

    Certes, saint Jean de la Croix avait pris ce nom par amour de la Croix et de la mortification. Toutefois, ce n’est pas ce qu’on retient d’abord de son œuvre de docteur de l’Eglise. Et il est curieux de voir que sa messe propre insiste pourtant lourdement sur cet aspect. Ainsi l’introït extrait de l’épître aux Galates :

    Mihi autem absit gloriári, nisi in cruce Dómini nostri Iesu Christi, per quem mihi mundus crucifíxus est, et ego mundo.

    Je souhaite de ne jamais me glorifier, sinon dans la croix de notre Seigneur Jésus Christ ; par laquelle le monde est crucifié pour moi, et moi pour le monde.

    Le graduel :

    Qui vult post me veníre, ábneget semetípsum, et tollat crucem suam, et sequátur me.

    Celui qui veut marcher à ma suite, qu’il se renonce, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive.

    Et la secrète :

    Offérimus tibi, Dómine, hóstiam laudis in honórem sancti Ioánnis Confessóris tui atque Doctóris, qui assíduam crucis mortificatiónem in semetípso portans, tibi fuit hóstia grata atque iucúnda : Qui vivis et regnas.

    Nous vous offrons, Seigneur, le sacrifice de louange en l’honneur de saint Jean, votre Confesseur et Docteur, lui qui, en portant en lui-même la mortification persévérante de la croix, fut pour vous un sacrifice agréable et plaisant.

    Bref, si l’on veut connaître un peu le docteur du « nada », il faut aller voir ailleurs…

  • Saint Clément Ier

    La « grande prière » de l’épître de saint Clément aux Corinthiens :

    Tu as ouvert les yeux de nos cœurs afin qu’ils te connaissent,
    Toi « le seul Très-haut au plus haut des cieux,
    Le Saint qui reposes au milieu des Saints,
    Toi qui abaisses l’insolence des orgueilleux,
    Qui déroutes les calculs des peuples,
    Qui exaltes les humbles
    Et qui abaisses les grands ;
    Toi qui enrichis et qui appauvris,
    Qui tues, et qui sauves, et qui vivifies,
    Unique Bienfaiteur des esprits,
    Et Dieu de toute chair ;
    Contemplateur des abîmes,
    Scrutateur des œuvres des hommes,
    Secours des hommes dans les dangers
    Et leur Sauveur dans le désespoir,
    Créateur et Surveillant (évêque) de tous les esprits !
    Toi qui multiplies les peuples sur la terre
    Et qui as choisi au milieu d’eux ceux qui t’aiment
    Par Jésus-Christ ton Fils bien-aimé
    Par qui tu nous as instruits, sanctifiés, honorés.
    Nous t’en prions, ô Maître !
    Sois notre secours et notre soutien
    Sois le salut de nos opprimés,
    Prends pitié des humbles,
    Relève ceux qui sont tombés,
    Montre-toi à ceux qui sont dans le besoin,
    Guéris les malades,
    Ramène les égarés de ton peuple,
    Rassasie ceux qui ont faim,
    Délivre nos prisonniers,
    Fais lever ceux qui languissent,
    Console les pusillanimes,
    Que tous les peuples reconnaissent que tu es le seul Dieu,
    Que Jésus-Christ est ton fils,
    Que nous sommes ton peuple et les brebis de tes pâturages.

    Toi qui par tes œuvres as manifesté l’immortelle ordonnance du monde,
    Toi, Seigneur, qui as créé la terre,
    Toi qui demeures fidèle dans toutes les générations,
    Juste dans tes jugements,
    Admirable dans ta force et ta magnificence,
    Sage dans la création,
    Avisé à affermir les choses créées,
    Bon dans les choses visibles,
    Fidèle envers ceux qui ont confiance en toi,
    Miséricordieux et compatissant,
    Remets-nous nos fautes et nos injustices,
    Nos chutes et nos aberrations.
    Ne compte pas les péchés de tes serviteurs et de tes servantes,
    Mais purifie-nous par ta vérité
    Et dirige nos pas
    Pour que nous marchions dans la sainteté du cœur
    Et que nous fassions ce qui est bon et agréable
    A tes yeux et aux yeux de nos princes.

    Oui, Maître, fais luire sur nous ton visage,
    Pour (nous faire jouir) des biens en paix,
    Nous protéger de ta main puissante,
    Nous libérer de tout péché par ton bras très fort,
    Nous sauver de ceux qui nous haïssent injustement.
    Donne la concorde et la paix,
    A nous et à tous les habitants de la terre,
    Comme tu l’as donnée à nos pères
    Lorsqu’ils t’invoquaient saintement dans la foi et la vérité,
    Rends-nous soumis
    A ton Nom très puissant et très excellent,
    A nos princes et à ceux qui nous gouvernent sur la terre.

    C’est toi, maître, qui leur as donné le pouvoir de la royauté,
    Par ta magnifique et indicible puissance,
    Afin que, connaissant la gloire et l’honneur que tu leur as départis,
    Nous leur soyons soumis
    Et ne contredisions pas ta volonté.
    Accorde-leur, Seigneur, la santé, la paix, la concorde, la stabilité,
    Pour qu’ils exercent sans heurt la souveraineté que tu leur as remise.
    Car c’est toi, Maître, céleste roi des siècles,
    Qui donnes aux fils des hommes
    Gloire, honneur, pouvoir sur les choses de la terre.

    Dirige, Seigneur, leur conseil, suivant ce qui est bien,
    Suivant ce qui est agréable à tes yeux,
    Afin qu’en exerçant avec piété
    Dans la paix et la mansuétude,
    Le pouvoir que tu leur as donné,
    Ils te trouvent propice.
    Toi seul as la puissance de faire cela
    Et de nous procurer de plus grands biens encore.
    Nous te remercions par le grand-prêtre
    Et le patron de nos âmes, Jésus-Christ,
    Par qui soit à toi la gloire et la grandeur,
    Et maintenant et de génération en génération
    Et dans les siècles des siècles. Amen.

  • 26e dimanche après la Pentecôte

    Dernier dimanche de l’année liturgique. La fin de l’année liturgique est liturgiquement la fin du monde. Avec le terrible évangile de saint Matthieu. Mais qui annonce aussi le retour du Christ « avec puissance et majesté » pour « rassembler les élus ».

    Pour chacun de nous la fin du monde c’est d’abord notre mort. Mais si le monde s’écroule, si notre corps s’effondre, nous sommes fixés dans la foi et l’espérance, vivants en Dieu. Et saint Paul nous le dit de façon hardie dans l’épître : « rendant grâces à Dieu le Père, qui nous a rendus dignes d’avoir part à l’héritage des saints dans la lumière, qui nous a arrachés à la puissance des ténèbres, et nous a fait passer dans le royaume de son Fils bien-aimé, en qui nous avons la rédemption par son sang, et la rémission des péchés ».

    Transtulit : il nous a déjà transférés dans son royaume, car il nous a arrachés, par sa croix, à la puissance des ténèbres. C’était précisément la mission que Jésus avait donnée à saint Paul : « Je t’envoie aux païens pour leur ouvrir les yeux, afin qu'ils se convertissent des ténèbres à la lumière, et de la puissance de satan à Dieu, et que, par la foi en Moi, ils reçoivent la rémission des péchés et une part avec les saints. » (Actes 26, 18)

    Le dernier dimanche de l’année liturgique ouvre la porte du royaume où nous sommes déjà si nous avons accepté la rédemption offerte par le Christ, contemplée et vécue au long de l’année écoulée.

  • Présentation de la Sainte Vierge

    Le meurtre du roi de Chypre ayant fait passer l'influence administrative à ses assassins, Philippe de Maizières ne put se résoudre à demeurer dans l'île; il partit peu de jours après la mort de son maître, et se présenta devant le nouveau pape d'Avignon Grégoire XI, vers le mois de février 1371, revêtu du titre honorifique d'ambassadeur du jeune roi Pierre II.

    Une nouvelle carrière s'ouvre alors devant lui. Bien différent de la plupart des pèlerins d'outre-mer, qui revenaient en Occident plus orgueilleux et plus incrédules, Philippe rapportait en France une foi sincère et surtout une passion naïve pour les cérémonies extérieures de l'Église. La liturgie chrétienne de Syrie admettait depuis longtemps la célébration d'une fête de la Sainte Vierge que la piété des Français, chose singulière, n'avait pas encore recueillie : c'était la présentation de Marie au temple. Philippe, ne gardant plus l'espoir de ranimer les croisades, voulut au moins doter sa patrie de cette nouvelle solennité. Dès la première audience qui lui fut accordée par le pape, il plaida la cause de la Vierge, il demanda l'admission d'un nouvel acte de dévotion envers elle, et il soumit à l'approbation du saint-père l'office complet de la présentation, écrit de sa propre main avec la musique notée. (…) Grégoire XI reçut la proposition de notre chancelier de Chypre avec une froideur inattendue ; il allégua le danger des innovations, la crainte du scandale. Philippe, surpris et peut-être humilié des objections, réduisit enfin ses prétentions, non plus à la sanction formelle mais à la tolérance de la fête ; et ce dernier point, il ne l'obtint qu'après une nouvelle résistance et de nouvelles importunités. En racontant sincèrement tous ces ennuis, Philippe justifie les scrupules du pape par le peu de confiance que méritait d'inspirer le solliciteur ; mais, dans le récit de tous les événements auxquels il avait pris part, on sait qu'il avait pour constante habitude de dissimuler ce qui pouvait intéresser sa propre gloire; voilà pourquoi nous sommes disposés à penser que, sans l'autorité de son nom, sans le secours de son éloquence, la présentation de la Vierge au temple n'eût jamais été célébrée en Occident.

    Déterminé par les plus vives instances, Grégoire voulut bien soumettre l'office à l'examen d'un certain nombre de docteurs et de cardinaux : cette espèce de commission supprima dans le manuscrit de Philippe de Maizières plusieurs passages ; mais enfin elle déclara que rien dans la nouvelle liturgie n'était contraire aux dogmes de l'église, et le pape en toléra l'admission dans les paroisses dont les ministres croiraient ainsi mieux honorer la mère du Sauveur. Grâce à cette permission, les frères mineurs d'Avignon, le 21 novembre 1372, célébrèrent pour la première fois dans leur église les nocturnes, vêpres, matines, et enfin la messe de l'office apporté par Philippe de Maizières. On prononça pendant la messe, et ce fait mérite d'être remarqué, un sermon latin pour les clercs, et pendant les vêpres un sermon en langue vulgaire pour le peuple. (…)

    Pour terminer l'histoire de l'introduction en France du nouvel office, nous dirons que longtemps après, en 1385, Philippe de Maizières, qui n'était pas satisfait de la simple tolérance pontificale de Grégoire, quitta son jardin des Célestins et se rendit à Avignon pour y plaider de nouveau la cause de la présentation de la Vierge. Il y fut mieux accueilli cette fois; aussi faut-il avouer que le moment était parfaitement choisi, Clément VII devant au clergé de France et aux conseillers de Charles V la confirmation de son élection longtemps soupçonnée d'être peu canonique. Il suffit de se souvenir des éloges accordés, dans le Salve sancta parens, à l'évêque d'Amiens Rolandi, pour deviner la part que Maizières avait prise à la résolution du roi. Clément VII entra donc parfaitement dans ses pieux sentiments. Il ne se borna plus à tolérer, il créa des indulgences pour ceux qui se montreraient les plus ardents à observer la fête de la présentation ; il ordonna qu'elle fût à jamais célébrée avec toute la pompe réclamée par Philippe.

    Celui-ci tenait aussi beaucoup à la représentation d'une sorte de mystère analogue à la circonstance : le pape consentit à tout avec une bonne grâce qui ne se démentit pas. Ce fut encore dans l'église des frères mineurs d'Avignon que le sacré collège entendit une seconde fois le nouvel office. « Durant la messe, ajoute un témoin anonyme dans lequel il n'est pas difficile de reconnaître l'heureux Philippe de Maizières, il y eut une représentation de quinze petites filles, toutes âgées de trois ans ou de quatre, la plus gracieuse et la plus sage figurant Sainte Marie. Elles étaient toutes vêtues différemment; la Vierge, entourée de personnages bibliques comme Joachim, Anne et plusieurs anges, fut conduite à l'autel. Elle en monta rapidement les degrés, fut présentée au grand prêtre par ses parents, puis ramenée dans le chœur, au concert des voix de Joachim, d'Anne et des anges. Marie prit alors place au milieu des cardinaux, sur le siège le plus élevé, et ce fut là qu'elle attendit la fin de la messe. » L'enfant eut, suivant les apparences, besoin d'une patience assez grande ; car, à l'offertoire, maître Jean de Basle, docteur très-solennel et natif de Germanie, merveille de science et général des augustins, monta en chaire par l'ordre exprès du saint-père, et, bien qu'il n'eût pas eu trois jours entiers pour se préparer, il fut tellement secouru par la grâce de Notre-Dame, qu'au jugement unanime de la docte et vénérable assemblée, jamais, de leur temps, en cour romaine, on n'avait entendu mieux parler en l'honneur de la Sainte-Vierge.

    Nouvelles recherches sur le véritable auteur du “Songe du vergier”, par Paulin Paris, Mémoires de l’Institut royal de France, Académie des inscriptions et belles lettres, tome quinzième, 1842.

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    Une page de l’office de la Présentation au Temple, de la main de Philippe de Maizières, BNF manuscrits latins 14454.

  • Reconquête N° 322

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    Reconquête, 70 boulevard Saint-Germain, 75005 Paris

  • Ils sont partout…

    Cinq Syriens ont été arrêtés mardi au Honduras alors qu’ils tentaient de rejoindre les Etats-Unis avec des passeports syriens volés en Grèce. Jeudi, au Costa Rica, une Syrienne a été arrêtée avec un passeport grec.

    On ne peut donc pas s’étonner, après les tueries parisiennes, que les députés américains, beaucoup moins iréniques que les nôtres, aient voté à une écrasante majorité (289 voix contre 137) une proposition de loi présentée par les républicains pour suspendre le programme d'admission de 10.000 « réfugiés » syriens et renforcer les contrôles auxquels ils seront soumis. En fait le texte (qui été voté par 47 démocrates sur 188) rend quasi impossible toute admission de « réfugiés » syriens, puisqu’il stipule que le directeur du FBI, celui de l'agence de renseignement et le ministre de l'Intérieur – en personne - vérifient et garantissent que chaque « réfugié » ne constitue pas une menace pour la sécurité nationale…

    Obama avait averti qu’il opposerait son veto. Le texte doit aller maintenant au Sénat. Si le Sénat l’adopte également, Obama opposera son veto et il faudra alors une majorité des deux tiers dans les deux chambres pour invalider le veto. Ce qui n’est pas du tout exclu, puisqu’elle a été assez nettement atteinte à la chambre des représentants.

  • Un miracle à Bombay

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    Le P. Michael Martires, 81 ans, était très malade depuis deux mois. Un confrère a réussi à le persuader de venir à la messe de clôture du congrès eucharistique. Il a été guéri par la messe célébrée par le cardinal Ranjith.

    Le P. Martires ne dormait plus, il avait mal à la poitrine et un grave problème de tension artérielle, il était allé deux fois à l’hôpital et prenait des médicaments qui n’amélioraient pas son état de santé. Lors du Congrès eucharistique national, un de ses confrères, le P. Lawrence D'Souza, l’avait incité à venir à la messe d’ouverture, le 12 novembre, mais il se disait trop malade pour se déplacer. Le P. D’Souza est allé le voir de nouveau pour lui demander de venir à la messe de clôture, le 15 novembre, et il a accepté, avec son aide.

    Il témoigne :

    « J’ai senti la présence de Jésus à travers le pouvoir de la prière au moment le plus profond de la célébration eucharistique. C’était comme d’être dans la “tente de la gloire”. C’était si bon… J’ai cru, et j’ai demandé à Jésus de me sauver, de me guérir et de me libérer. Une grande sensation de paix m’a submergé, avec un sentiment de calme et de sérénité que je n’avais jamais ressenti avant. J’ai senti Jésus me toucher et me guérir physiquement. Mes docteurs attestent que ma guérison fut miraculeuse. »

    Quant au P. D’Souza, il dit :

    « La messe célébrée par le cardinal Ranjith a été une expérience de rajeunissement pour le P. Michael. Les disciples d’Emmaüs avaient eu la même expérience, qui venait de leur “cœur brûlant” à la flamme du Saint-Esprit. Quand j’ai regardé le P. Michael à la fin de la messe, j’ai vu qu’il avait complètement changé. Il avait une nouvelle énergie et il était rajeuni. Certainement c’est l’eucharistie qui l’a guéri. »

  • Saint Félix de Valois

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    Cette statue de saint Félix de Valois se trouve en… Bohême orientale, à Borovnice. C’est l’une des six statues monumentales qui ornent la Scala santa du sanctuaire marial de Homole.

    Ce sanctuaire fut d’abord une chapelle construite sur une colline par la comtesse Thérèse Eleonore de Ugarte entre 1692 et 1696, dédiée à Notre Dame des douleurs. En 1767 le nouveau propriétaire des lieux, Frantisek Oldrich Kinsky, ajouta au sanctuaire notamment un grand escalier de pierre orné de statues. Cet escalier se compose de 153 marches et de 16 paliers. Le pèlerin le parcourt à genoux, disant un Pater sur les paliers et un Ave Maria sur chaque marche : quand il arrive à la chapelle il a dit un Rosaire.

    A l’entrée de la Scala Santa sont les statues de saint Antoine de Padoue et de saint Vincent de Paul. Puis il y a saint Félix de Valois et saint Jean de Matha, et enfin saint Adalbert (Vojtech) et saint Léonard.

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    Sur cette photo on distingue les trois premières marches (les trois premiers Ave Maria du Rosaire) sur le chemin depuis la route.

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  • "La voie du petit musulman"

    Juste en passant, comme ça, un rappel de ce qu'on apprend aux petits musulmans de France:

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  • Faut au moins ça…

    Vu sur Le Salon Beige :

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