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  • Saint Pascal Baylon

    Læta devote celebret Minorum
    Turba Paschalem recolens fréquenter
    Quam pio, sanctam venerans Synaxim,
    Arsit amore.

    Dum puer pascit pecus iste seque
    Pane jam pasci cupit Angelorum,
    Hunc in excelsis meruit patente
    Cernere cælo.

    Jugiter sacras inhians ad aras
    Dum cibum vitæ meditatur, haeret
    Totus et sancto liquefactus igne
    Lucet et ardet.

    Increpans hostes Fidei fidelis :
    Pane, ait, Christum recipi sacrato,
    Matryrem non dat gladius, sed ipsum
    Prompta voluntas.

    Qui quoad vixit coluit supernum
    Tam pie Panem reserat beatos
    Morte jam clausos oculos velutque
    Vivus adorat.

    Christe, Paschalis meritis, ut omnes
    Corde nos mundo facias precamur,
    Cælica ut digne mereamur esca
    Saepe cibari. Amen.

    Que l’Ordre des Mineurs célèbre joyeusement Pascal et se rappelle de quel tendre amour il était embrasé quand il adorait le très Saint Sacrement.

    Alors qu’encore enfant il gardait son troupeau, il était plein de désir de recevoir le pain des anges, il vit les cieux s’ouvrir et lui présenter à découvert l’Hostie Sainte.

    Toujours soupirant au pied de l’autel, pendant qu’il médite sur le Pain de vie, il est ravi en extase et des rayons lumineux trahissent le feu dont il brûle.

    S’adressant aux ennemis de notre Foi : « C’est Jésus-Christ, dit-il, qu’on reçoit sous le pain consacré !» Et si le glaive ne fit pas alors de lui un martyr, du moins sa volonté y était prête.

    Lui qui toute sa vie vénéra si pieusement le Pain céleste, après sa mort il ouvrit encore les yeux et l’adora comme s’il eût été vivant.

    Seigneur Jésus, nous vous en prions par les mérites de Pascal, rendez notre cœur pur afin que nous puissions souvent nous nourrir de l’aliment céleste. Amen.

    Hymne des vêpres, office franciscain.

  • Demain on rase gratis (bis)

    Manuel Valls a annoncé hier une baisse des impôts. Oui, il l’avait déjà fait, mais puisque le soufflé médiatique retombe, il faut le regonfler, à quelques jours des élections européennes.

    Et finalement, mesdames messieurs, ce n’est pas 650.000 foyers qui vont être exonérés, ce n’est pas 800.000, ce n’est pas un million, c’est, tenez-vous bien, 1,8 million !

    Et ce n’est pas tout ! Mes nouvelles mesures fiscales vont en fait bénéficier à, non pas à 1, non pas à 2, mais, regardez bien, hop-hop-hop, à 3 millions, oui, messieurs-dames, 3 millions de Français…

    Une fois c’était marrant.

    Deux fois c’est obscène.

  • L’intolérance envers les chrétiens en Europe

    L’Observatoire sur l’intolérance et la discrimination à l’encontre des chrétiens en Europe a publié hier son rapport annuel. Il a enregistré 241 cas d’intolérance en 2013, tant au niveau institutionnel qu’individuel. Ces cas sont répartis en trois catégories : faits de haine (dont les actions des Femen en France), intolérance dans la législation et la politique, intolérance dans les arts et les médias.

    L’Observatoire souligne qu’il a enregistré ces dernières années « une terrible quantité de cas de vandalisme contre des sites chrétiens et des lieux de culte », mais qu’il n’y a pas de statistiques sur le vandalisme contre les sites chrétiens parce que les gouvernements ne séparent pas les données selon les religions. Le rapport relate 133 cas dans 11 pays.

    L’intolérance envers les chrétiens dans les domaines du droit et de la politique concernent surtout des limitations du droit à l’objection de conscience (dont celui des pharmaciens en France), des restrictions à la liberté de parole, des politiques d’« égalité » discriminatoires, des limitations des droits des parents en matière d’éducation sexuelle, ainsi que la liberté de réunion. Le rapport 2012 avait recensé 41 lois de 14 pays d’Europe qui font obstacle au libre exercice de la foi pour les chrétiens. Le rapport 2013 souligne les problèmes d’objection de conscience concernant l’avortement et l’euthanasie, ainsi que pour les officiers d’état civil pour le « mariage » homosexuel, ou la légitimité de critiquer des pratiques musulmanes ou l’adoption par des homosexuels, etc. En ce qui concerne la liberté de réunion, l’Observatoire évoque le droit de se réunir pour prier devant les avortoirs.

    L’Observatoire remarque : « Au lieu de s’attaquer au très grand nombre d’actes de vandalisme antichrétien, le président Hollande a annoncé la création d’un Observatoire national de la laïcité, chargé de surveiller les organisations religieuses quant à de potentiels “excès”. Le ministre français de l’Intérieur Manuel Valls mettait l’accent sur diverses organisations catholiques, déclarant que “tout excès sera minutieusement enregistré au cas où nous devrions à avoir à les dissoudre”. »

    Enfin, le domaine des arts et des médias « devient un nouveau terrain de jeu de l’intolérance envers les chrétiens ». Le rapport relate 15 cas dans 6 pays. Et reproduit cette affichette trouvée à Caen, mais qu’on a vue en d’autres endroits en France (éditée sous cette forme ou comme autocollant par le syndicat anarchiste CNT) :

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    (Le texte dit: "Dégage ! Mon corps m'appartient".)

  • Un « Niçois » parle du jihad

    Après des jihadistes « toulousains », des jihadistes « strasbourgeois » (ce n’est pourtant pas la guerre des saucisses) ont été interpellés. Et dans Var Matin, c’est un jihadiste « niçois », Hakim, qui s’exprime :

    « Nous, musulmans, nous ne formons qu’un seul corps. La terre de Syrie fait partie du Sham*. Notre prophète bien aimé Mahomet évoque souvent cette terre d’islam bénite entre toutes. Partir, c’était aller combattre les ennemis d’Allah pour que la parole de Dieu soit encore plus haute, plus grande… »

    « On n’arrête pas de raconter qu’on a été manipulés par des méchants islamistes, qu’on a été envoûtés. C’est faux. Moi j’ai toujours été pour le djihad. »

    (via FDesouche)

    * Bilad al-Sham : « terre de la (main) gauche », quand on est en Arabie et qu’on regarde vers l’est : autrement dit ce que nous appelons le Levant : Palestine, Liban, Syrie (« grande Syrie »).

  • Une « Norvégienne » et son « amant britannique »

    Les gazettes nous apprennent qu’une « Norvégienne » et son « amant britannique » ont été condamnés à huit et neuf ans de prison pour « homicide involontaire » sur la fille de 21 mois de la « Norvégienne ».

    Une nuit d’octobre 2010, la fillette avait interrompu la conversation par webcam entre sa mère et son amant. Pour la punir, la mère, sur instruction de son amant, avait plongé la tête de la fillette dans un seau, filmant la scène. La fillette était morte le lendemain sans avoir repris connaissance. On apprit par la suite que la petite était en fait victime de tortures incessantes pour la « discipliner », toujours en concertation avec l’amant, et vérifiées par celui-ci par webcam.

    La Norvégienne s’appelle Yasmin Chaudhry. Le Britannique Ammaz Omer Qureshi.

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  • Des chrétiens esclaves au Pakistan

    Cinq familles chrétiennes séquestrées et réduites en esclavage par leurs employeurs musulmans, propriétaires de fabriques de briques, ont été libérées grâce à l’intervention de l’ONG CLAAS (Centre for Legal Aid Assistance and Settlement) devant la Haute Cour de Lahore.

    Après leur libération, l’une des familles a raconté sa souffrance. Ses membres étaient victimes de travail forcé et traités comme des esclaves depuis plus de 25 ans. L’une des femmes, Safia Bibi, a commencé à travailler à la fabrique avec son mari, Anwar Masih, immédiatement après leur mariage. Elle a neuf enfants, tous nés à la fabrique. Lorsque ceux-ci ont grandi, eux aussi ont commencé à travailler sur place. Ils vivaient dans un logement modeste privé de toilettes, à l’intérieur de la fabrique. Souvent, ils n’ont reçu aucune rétribution et, s’ils cherchaient à abandonner leur travail, ils étaient frappés et torturés, privés de nourriture pendant des jours. En 2013, le mari de Safia est mort de maladie et de faiblesse sans qu’un médecin soit appelé à son chevet. Ses enfants n’ont pu participer à ses obsèques parce que contraints à travailler. Ils n’étaient pas même autorisés à participer à des réunions de prière à l’église par plus qu’à fêter Noël et d’autres fêtes chrétiennes.

    Nasir Saeed, Directeur de CLAAS, déclare dans une note à Fides : « Il est triste de constater qu’au XXI° siècle, l’esclavage continue à exister au Pakistan. Les propriétaires de fabriques de briques sont souvent riches et influents et ils sont difficilement inquiétés. Les ouvriers, souvent chrétiens, travaillent dans des conditions d’esclavage pendant toute une vie pour rembourser les dettes contractées avec leurs patrons, dettes qui durent pendant des générations. Parfois, ils sont vendus par une fabrique à une autre. Le gouvernement est conscient de la situation mais n’a jamais pris de mesures sérieuses en la matière ».

    (Fides)

  • Saint Ubald

    Pendant qu'on réparait les murailles de Gubbio, il arriva que les ouvriers empiétèrent sur la vigne du Saint. Il leur représenta doucement le tort qu'ils lui faisaient, et les pria de cesser. L'inspecteur des travaux ne lui répondit que par des insultes ; puis, le poussant avec brutalité, il le fit tomber dans un monceau de mortier. Le bon évêque se releva en silence, et se retira sans faire la moindre plainte ; mais le peuple demanda qu'on lui fît justice, en bannissant le coupable, et en confisquant ses biens. Il était si animé qu'Ubald, pour tirer l'inspecteur des mains des magistrats, fut obligé de dire que la connaissance de cette affaire lui appartenait, et que lui seul devait en être le juge. Les esprits se calmèrent alors un peu. Le coupable, touché de repentir, déclara lui-même qu'il se soumettait à toutes les peines qu'on lui infligerait, dût-il lui en coûter la vie. Toute la vengeance du Saint se termina à lui donner un baiser de paix, et à prier Dieu de lui pardonner la faute dont il s'agissait, ainsi que toutes celles qu'il pouvait avoir commises.

    Ubald oubliait le soin de sa propre vie, dès que quelques-uns de ses diocésains se trouvaient en danger. Ayant appris un jour qu'il s'était élevé une sédition dans la ville, que l'on avait pris les armes avec fureur, et que déjà il y avait eu beaucoup de sang répandu, il courut à l'endroit où étaient les combattants ; il se jeta entre eux, et tomba au milieu des épées nues. Les mutins, le croyant mort, quittèrent aussitôt les armes s'abandonnèrent à une vive douleur, et s'accusèrent tous d'être les meurtriers de leur évêque. Le Saint, après avoir remercié Dieu de la cessation du tumulte, calma les frayeurs du peuple, en assurant qu'il était non seulement plein de vie, mais qu'il n'avait pas même reçu de blessure.

    L'Empereur Frédéric Barberousse venait de prendre et de saccager Spolette ; il menaçait Gubbio d'un semblable traitement. Le Saint, qui avait une tendresse de père pour son troupeau, alla au devant du vainqueur, désarma sa colère, et obtint de lui la grâce de son peuple.

    Les deux dernières années de sa vie ne furent qu'un tissu de maladies cruelles qu'il supporta avec une patience héroïque. Le jour de Pâques de l'année 1160, il fit un effort pour se lever et pour dire la Messe ; il prononça même un discours sur la vie éternelle. Au sortir de sa cathédrale, on le transporta dans un appartement qu'il avait auprès de l'église de Saint-Laurent. Il y resta jusqu'à la fête de l'Ascension, pour se préparer à la mort ; il se fit ensuite reporter à l'évêché, où il continua d'instruire son clergé et son peuple, qui venaient le visiter et lui demander sa bénédiction. Enfin, ayant reçu les sacrements de l'Eglise, il mourut le 16 mai 1160.

    Les habitants des provinces voisines assistèrent à ses funérailles, et furent témoins de plusieurs prodiges qui s'opérèrent à son tombeau. Ce spectacle remplit tous les cœurs d'une tendre dévotion, et y ranima les plus vifs sentiments du christianisme. L'esprit de charité étouffa les divisions et les animosités ; on oublia les injures reçues, et l'union fut rétablie entre les villes que de longs différends avaient aigries les unes contre les autres.

    (Extrait des Vies des pères, des martyrs, et des autres principaux saints, d’Alban Butler, traduction par l’abbé Godescard.)

  • Sous la jupe, le mensonge officiel

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    A propos de l’opération « Ce que soulève la jupe ».

    Les mensonges du gouvernement (repris à leur compte par tous les médias de la pensée unique) deviennent vraiment surréalistes.

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    Ceci n’est pas l’Académie de Nantes.

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    Ceci n’est pas le ministère de l’Education nationale.

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    Et l’on est censé croire que ceci est un ministre ???

    Heureusement les réactions sont à hauteur de l’immondice.