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  • Le centre parisien officiel de propagande islamique a été inauguré

    Le bâtiment intitulé « Institut des cultures d’islam » (ICI) a été inauguré hier par Bertrand Delanoé et Dalil Boubakeur.

    On ne nous parle plus « que » de 1.400 m2, alors qu’étaient prévus 4.000 m2.

    Mais la chose reste la même : une grande mosquée municipale camouflée en centre culturel. Un centre culturel, donc financé par la Ville de Paris en conformité avec la loi de 1905, mais exclusivement dédié à la promotion de l’islam, et dont tout le rez-de-chaussée est une « salle de prière ». Etant entendu qu’en cas de besoin l’ami Boubakeur pourra louer d’autres « espaces » du centre culturel…

  • La Russie interdit la promotion de l’avortement

    Vladimir Poutine a signé lundi une loi apportant des amendements à plusieurs lois sur la protection de la santé.

    On note surtout que les « services » d’avortement ont été ajoutés à la liste des services dont la publicité est interdite par la loi fédérale sur la publicité.

  • Younis Masih a été libéré

    Younis Masih était en prison depuis 8 ans pour « blasphème ». Il avait été arrêté le 10 septembre 2005, après la mise à sac de son quartier par quelque 400 musulmans qui hurlaient au « blasphème ». Le 30 mai 2007 il avait été condamné à mort. Le 3 avril dernier il a été acquitté par la cour d’appel de Lahore. Mais c’est seulement le 10 novembre qu’il a été, et c'est seulement hier qu'on l'a appris. On ne nous dit pas pourquoi sa libération a tant tardé. Peut-être pour attendre que les musulmans oublient le verdict et son bénéficiaire. Parce que l’acquittement par la justice ne signifie pas qu’il puisse vivre en paix...

    Asia Bibi, condamnée à mort en 2010, attend toujours son procès en appel dans le couloir de la mort de la prison féminine de Multan.

    (Fides, Eglises d'Asie)

    Addendum

    L'avocat de Younis Masih, Me Mushtaq Gill, a reçu des menaces de mort par SMS, et des coups de feu ont été tirés à plusieurs reprises sur sa maison.

  • Ce n’est pas vrai

    Lors de sa dernière audience, mercredi, le pape, à sa façon de bateleur de foire, a fait répéter deux fois à la foule : « Qui fait preuve de miséricorde ne craint pas la mort ».

    Je ne voulais pas commenter cette phrase, mais, la voyant partout recopiée comme si c’était une révélation du Saint-Esprit, je ne peux plus m’empêcher de réagir.

    Le propos est évidemment faux. On aimerait que ce soit vrai, mais il ne sert à rien de se cacher la réalité. La réalité est que la vie est tragique – il ne sert à rien non plus de jouer les ravis en permanence quand on est en représentation – parce que la mort est tragique. Elle est tragique aussi pour le chrétien, malgré la foi et l’espérance. Parce qu’elle est CONTRE NATURE. L’homme n’a pas été créé pour la mort, mais pour la vie. La mort détruit le composé humain. Et quelle que soit la foi et l’espérance du mourant, elle est un saut dans l’inconnu.

    La mort est, en outre, la dernière épreuve. Donc la dernière tentation. Le moment où le diable va essayer une dernière fois, avec l’énergie du désespoir, de récupérer l’âme du fidèle, au moment où celui-ci est terriblement affaibli par la maladie, par la vieillesse, par la douleur…

    Voir la scène saisissante de la mort de la prieure dans le Dialogue des carmélites. Et l’entendre dans la musique de Poulenc. Et comprendre que la mort terrifiante et terrifiée de la prieure est ce qui permet, dans la communion des saints, aux autres religieuses de subir le martyre dans la paix.

    Ce n’est pas pour rien, ce n’est pas pour rire, que la Salutation mariale nous faire dire « Priez pour nous (…) à l’heure de notre mort ». Ce n’est pas pour rien, ce n’est pas pour rire, que le chapelet nous fait demander 50 fois, et même 53 fois, à Notre Dame, de prier pour nous à l’heure de notre mort.

    « Ma Mère, est-ce l'agonie?... Comment vais-je faire pour mourir? Jamais je ne vais savoir mourir!... » (sainte Thérèse de l’Enfant Jésus)

    Et cet homme qui était Dieu, qui était la Miséricorde en personne, n'a-t-il pas eu peur de la mort ?

    Cor Jesu in agonia factum, miserere morientium.

  • Jésus le grand prêtre

    Aujourd’hui c’est, aux matines, le tour du livre de Zacharie, le prophète des Rameaux, des 30 deniers et du coup de lance (notamment). Avec aussi cet étonnant chapitre 3 :

    Le Seigneur me fit voir Jésus, le grand prêtre, debout devant l'Ange du Seigneur; et Satan se tenait à sa droite pour s'opposer à lui. Et le Seigneur dit à Satan: Que le Seigneur te réprime, Satan! que le Seigneur te réprime, Lui qui a élu Jérusalem! Celui-ci n'est-il pas un tison tiré du feu?

    Or, Jésus était couvert de vêtements souillés, et il se tenait debout devant l'Ange.

    Et l'Ange, prenant la parole, dit à ceux qui étaient debout devant Lui: Otez-lui ses vêtements souillés. Et Il dit à Jésus: Voici, Je t'ai enlevé ton iniquité, et Je t'ai revêtu d'habits de rechange.

    Et Il dit: Mettez sur sa tête une tiare pure. Et ils mirent sur sa tête une tiare pure, et ils le revêtirent d'un vêtement; et l'Ange du Seigneur se tenait là.

    Et l'Ange du Seigneur fit à Jésus cette déclaration et dit:

    Ainsi parle le Seigneur des armées: Si tu marches dans Mes voies et si tu observes Mes ordres, toi aussi tu jugeras Ma maison, et tu garderas Mes parvis, et Je te donnerai pour marcher avec toi, quelques-uns de ceux qui sont maintenant ici.

    Ecoute, Jésus, grand prêtre, toi et tes amis qui sont auprès de toi, car ce sont des hommes qui figurent l'avenir; voici, Je vais amener Mon Serviteur l'Orient.

    Car voici la pierre que j'ai mise devant Jésus: il y a sept yeux sur cette seule pierre. Voici, Je graverai Moi-même ce qui doit y être gravé, dit le Seigneur des armées, et J'enlèverai en un jour l'iniquité de ce pays.

    Et ce jour-là, dit le Seigneur des armées, l'ami appellera son ami sous la vigne et sous le figuier.

    (Traduction Fillion)

    [Jésus était effectivement le nom du grand prêtre lors du retour de la captivité de Babylone – de même que Jésus était effectivement le nom du chef qui fit entrer les Hébreux dans la terre promise. Il est dommage de les appeler « Josué » pour les distinguer du Christ, alors qu’ils en sont de remarquables préfigurations. Rappelons que Jésus veut dire: "Dieu sauve".]

  • Comme d’habitude, l’« agression homophobe » ne l’était pas

    Les auteurs de l’une des « agressions homophobes » qui ont émaillé l’épisode de la lutte contre la loi Taubira ont été condamnés à Lille à six mois de prison avec sursis.

    Le parquet avait demandé 12 mois de prison dont six avec sursis contre ces odieux et violents homophobes, qui étaient évidemment passés à l’acte dans le contexte de la Manif pour tous.

    Mais… le tribunal a relaxé les prévenus du chef d’injures à caractère homophobe.

    Non seulement on ne fera pas à ce jugement la publicité qui fut faite à l’agression, mais l’agence Reuters n’hésite pas à titrer : « Six mois avec sursis pour une agression homophobe à Lille », alors que le tribunal a établi qu’il s’agissait d’une simple bagarre à l’entrée d’un bar.

    Inutile donc de demander aux médias de faire un quelconque mea culpa. Comme d’habitude…

    (Ça commence à faire penser aux fausses accusations de "blasphème" portées contre des chrétiens au Pakistan. Là-bas le blasphème concerne la religion islamique. Ici la religion homosexuelle.)

  • Ce qu’ils appellent « islamophobie »…

    Le Collectif contre l’islamophobie en France recense les actes islamophobes commis dans notre pays, et son site permet de « suivre l’intolérable actualité islamophobe au quotidien ».

    Voici quelques exemples intolérables, cités par F.Desouche :

    Un autocollant de L’Oeuvre française a été collé sur la plaque de la mosquée de Brest.

    Une femme inscrite dans un club sportif se voit exclue pour cause de port du voile

    Un élève est renvoyé d’un lycée privé catholique pour port de djellaba

    Une proposition de loi est déposée en vue d’interdire le versement de prestations sociales aux foyers polygames.

    Une femme se voit refuser la carte de gratuité de transport pour cause de port du voile sur la photo.

    La ville de Cannes impose un cahier de charges extrêmement rigoureux relatif à la construction d’une mosquée : pas de minaret, pas de muezzin, pas de fonds étrangers.

    Une jeune femme se voit intimer l’ordre de retirer son voile pour participer à un atelier couture sous prétexte que la MJC est laïque.

    L’école nationale d’ingénieurs de Metz affiche sur ses murs une note d’interdiction du port du voile en son sein.

    Une agence bancaire refuse l’entrée à une cliente voilée sous prétexte de sécurité

    Une directrice d’école ayant invité les parents à accompagner les enfant aux cours de piscine, refuse à une mère de famille voilée d’y participer.

    Un site internet appelle ses lecteurs à envoyer aux élus une coupure de presse sur une femme ayant lancé son entreprise de vente de vêtements islamiques avec ses coordonnées

    Plusieurs femmes se voient obligées de retirer leur voile lors des examens de conduite.

    Un homme prononce des propos tendancieux à l’encontre d’une femme voilée conduisant une voiture.

     

  • Chrétiens à Qara, en Syrie

    Le 16 novembre, plus de 3.000 jihadistes sont arrivés du village sunnite d’Arsal, plateforme des groupes armés provenant du Liban, et ont envahi le village, le transformant en champ de bataille. Les miliciens de l’armée libre syrienne, en minorité, se sont retirés. La population a commencé à fuir. Environ 6.000 personnes ont fui immédiatement en direction des villes et villages voisins ». Mais la communauté chrétienne de Qara, rassemblée au centre ville, ne voulait pas bouger. Le curé grec-catholique de Saint-Michel  raconte à Fides : « Des tirs de roquette ont commencé contre les maisons et dans les rues. Avec environ 35 familles chrétiennes, nous nous sommes réfugiés dans l’église pour prier. La grille de l’église a été touchée et a sauté. Des combattants armés au visage masqué sont entrés. Ils avaient les cheveux longs, n’étaient pas syriens même si on n’arrivait pas à comprendre quelle était leur nationalité. Ils ont déclaré vouloir nous tuer tous, car nous étions des chiens chrétiens. Ils ont également menacé de brûler ce « lieu idolâtre ». A ce moment-là, l’un des paroissiens, Emile, parlant en arabe, a commencé avec courage à parlementer avec le chef du groupe en citant des versets du coran, disant que l’islam respecte les chrétiens et les autres minorités. « L’homme a répondu qu’il aurait demandé à son chef afin de décider de notre sort et a conduit ses hommes hors de l’édifice » poursuit le Père Louis. Entre temps, le prêtre et les fidèles sont sortis de l’église par une porte secondaire et tous se sont enfuis dans les ruelles du centre ville. Ils se sont dirigés vers l’autoroute et se sont unis à d’autres évacués, atteignant le village de Der Atieh... qui venait lui-même d'être pris par les jihadistes...

    Lire la suite de ce témoignage sur le site de Fides.

  • Les « crypto-arméniens »

    La municipalité de Dyiarbakir, dans le sud-est de la Turquie, nous dit l’agence Fides, organise des cours de langue arménienne, en collaboration avec une fondation arménienne et une association kurde, pour les personnes de nationalité turque qui découvrent que leurs ancêtres étaient arméniens – ils s’étaient fondus dans la masse turco-musulmane pour échapper au génocide. Quelque 67 diplômes ont déjà été délivrés.

    On parle de plus en plus, en Turquie, des « crypto-arméniens », dans des livres, des conférences, des colloques, parce que de plus en plus de Turcs découvrent leurs origines arméniennes et sont de moins en moins « crypto »…

    Mais, s’ils découvrent la langue et la culture de leurs ancêtres, ils ne peuvent que découvrir aussi leur foi…

    L’agence Fides ne fait pas le rapprochement, mais il se trouve que c’est aussi à Dyiarbakir qu’une grande église arménienne (la plus grande du Proche Orient) a été récemment restaurée, en partie grâce à des fonds municipaux, et confiée à l’Eglise arménienne. Aujourd’hui la cloche sonne et la liturgie y est célébrée. Il est vrai que Dyiarbakir est une ville kurde, et non une ville turque…

  • Le destin du monastère des Studites

    Le monastère Saint-Jean en Studion, à Istanbul, fondé en 463, et qui fut le siège des fameux moines Studites, va être transformé en mosquée une fois que les travaux de restauration seront terminés.

    Dit comme cela, c’est très choquant. En fait, il ne reste du monastère que quelques ruines. Quant à la grande chapelle, elle fut transformée en mosquée vers 1500 par Bayezid II. Elle-même est une ruine.

    Il est évidemment regrettable que cet important lieu chrétien… redevienne musulman. Mais, en dehors de la parenthèse « laïque » qui en a fait un « musée », il l’est de fait depuis cinq siècles…

    On rappellera aussi, pour notre plus grande honte, que le monastère fut détruit une première fois… par les croisés, en 1204.