Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 9

  • Toujours les graffiti du « Prix à payer »

    L’ambassade d’Israël près le Saint-Siège « exprime sa plus ferme condamnation des actes de vandalisme qui ont violé le monastère de la Croix, dans la vallée de la Croix, le 11 décembre, à Jérusalem », ajoutant : « Nous déplorons ce type de comportement qui est en opposition totale avec les valeurs et les traditions d’Israël ».

    L’ambassade diffuse la déclaration du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahou qui se dit « révulsé » devant les « actes violents » qui ont eu lieu dans la nuit du 11 au 12 décembre, à Jérusalem, et à Choukba près de Ramallah.

    « Les valeurs juives, dans lesquelles nous avons été élevés et que nous enseignons à nos enfants pour qu’ils les suivent, rejettent totalement ce type de comportement », dit le Premier ministre. (Une phrase qui paraît répondre à ce que disaient les évêques de Terre Sainte lors d’une précédente profanation : « l’Assemblée des Ordinaires demande à ce que le système éducatif change radicalement, sans quoi les mêmes causes produiront les mêmes effets ».)

    Benjamin Netanyahou affirme encore que « la liberté de culte pour toutes les religions sera sauvegardée en Israël », et assure que les personnes « méprisables » qui ont commis « ce crime » seront déférées devant la justice.

    Des réactions que l’on accueille avec satisfaction mais qui paraissent quand même un peu excessives, car il ne s’agit que de quelques graffiti, sur le mur d’un monastère orthodoxe (pour la septième fois), la porte d’un cimetière arménien, et en un endroit non précisé. Des graffiti qui certes insultent le Christ et les chrétiens, mais on a l’impression que la vive réaction des autorités cherche à masquer le fait que la police israélienne n’a encore jamais interpellé le moindre suspect, ni établi si peu que ce soit qui sont les colons fanatiques qui signent toujours « le prix à payer ».

  • La profanation occultée

    On a appris hier par un communiqué du diocèse de Lyon la profanation de l’église Saint-Rambert. Mais il faut lire le communiqué pour savoir qu’il s’agit d’une profanation. Car le titre est : « Célébration pénitentielle à Saint-Rambert ». Et lorsqu’on lit un tel titre, on pense d’abord à une de ces célébrations pénitentielles qui ont illégitimement remplacé la confession, et qui aurait lieu à Saint-Rambert sans doute pour préparer à Noël.

    Mais il ne s’agit pas de cela. Il s’agit d’une veillée de prière suivie d’une messe de réparation, suite à la profanation de l’église et du tabernacle, donc du Saint Sacrement.

    Profanation qui a eu lieu dans la nuit du 27 au 28 novembre, mais qui a donc été occultée jusqu’au 12 décembre, et qui est restée occulte dans le titre du communiqué (que personne ne lira s’il n’est pas intéressé par une célébration pénitentielle).

    Il se trouve que les profanations d’églises se multiplient, comme je le soulignais dans mon dernier article de La Griffe. Plus elles se multiplient, plus les autorités catholiques minimisent ou occultent les faits. Comme en témoigne aussi l’ahurissant article de La Croix qu’évoque Perepiscopus.

    C’est pourquoi la réaction de Mgr Ravel à la profanation de Toulon méritait d’être remarquée.

  • Sainte Lucie

    Lucie est une des plus illustres vierges martyres de l’ancienne Église. Un jour, elle se rendait avec sa mère, qui souffrait d’un épanchement de sang, à Catane pour honorer le corps de sainte Agathe. Elle pria à son tombeau. Alors la sainte lui apparut en songe et la consola ainsi : « O vierge Lucie, pourquoi me demandes-tu ce que tu peux toi-même accorder à ta mère : ta foi aussi vient à son secours, c’est pourquoi elle est guérie. Tu as par ta virginité préparé à Dieu une demeure agréable » (Brév.). Elle obtint en effet la guérison de sa mère. Aussitôt, elle lui demanda la permission de rester vierge et de distribuer aux pauvres du Christ la dot qui devait lui revenir. A son retour à Syracuse, elle consacra aux pauvres tout le produit de la vente de ses biens. A cette nouvelle, un jeune homme auquel ses parents avaient, contre son gré, promis sa main, la dénonça comme chrétienne au gouverneur. « Tu parleras moins », lui dit le gouverneur, « quand une grêle de coups tombera sur toi. » « Les serviteurs de Dieu », répondit la vierge, « ne manquent jamais des mots qui conviennent, car c’est le Saint-Esprit qui parle par notre bouche. « Est-ce que le Saint-Esprit est en toi ? » lui demanda Paschasius. « Oui », répondit-elle, « tous ceux qui vivent avec piété et chasteté sont les temples du Saint-Esprit. » « C’est bien », reprit le gouverneur, « je te ferai conduire dans une maison de débauche pour que le Saint-Esprit s’éloigne de toi. » « Si tu me fais déshonorer malgré moi », répondit la vierge, « la couronne victorieuse de ma pureté sera doublée. » Enflammé de colère, le juge ordonna de conduire Lucie dans cette maison, mais Dieu la rendit tellement immobile qu’aucune force ne put la déplacer. Alors on versa sur elle de la poix et de la résine ainsi que de l’huile bouillante, mais comme tout cela ne lui causait aucun mal, on lui trancha la tête avec le glaive. C’est ainsi qu’elle acheva victorieusement son martyre.

    Dom Pius Parsch

    Pour la commémoration de l’Avent

    Aux laudes

    Tu es qui venturus es Domine, quem exspectamus, ut salvum facias populum tuum.

    C’est vous qui devez venir, Seigneur et que nous attendons, pour que vous sauviez votre peuple.

    Aux vêpres

    Qui post me veniet, ante me factus est: cujus non sum dignus calceamenta solvere.

    Celui qui viendra après moi a été fait avant moi, fui de qui je ne suis pas digne de délier les chaussures.

  • Philippe Isnard : le livre

    Image 4.jpg

    LE TABOU DU MAMMOUTH, de Ph. ISNARD

    Le livre-témoignage de Philippe  Isnard, professeur révoqué de l'Education Nationale suite à l'organisation de débats d'éducation civique prévus au programme scolaire, est enfin disponible !

    L'auteur  donne sa version des faits et explique comment le fait d'avoir simplement évoqué parmi les autres opinions  celles des chrétiens sur le sujet de l'avortement lui a valu d'être interdit d'enseignement, de perdre son travail, de voir sa réputation impunément salie dans les médias...alors même qu'il  avait  toujours eu d'excellentes appréciations professionnelles et l'intérêt, le soutien de ses élèves.

    Dans un récit personnel et émouvant, il décrit comment on s'est acharné injustement sur lui et comment il a été "mis à mort" socialement par le système en raison de sa foi chrétienne.

    Philippe Isnard montre combien, loin de former nos enfants à devenir des hommes et des femmes éclairés, responsables, l'Etat leur impose, comme au reste de la société, son idéologie, annihilant ainsi toute possibilité d'esprit critique et de réflexion.

    Son histoire nous montre quel peut être le prix à payer  en France pour celui qui désire vivre et exercer son métier sans renier ses valeurs chrétiennes.

    ----------------------------------------------

    COMMANDES  et RESERVATIONS IMMEDIATES :

    - livre : 10 euros l'exemplaire

    ou        50 euros les 10

    Prix  Frais de port compris (France) - Règlement par chèque.

    - disponible également en version numérique sur clé USB : 5 euros frais de port compris

    Pour l'outre-mer et l'étranger : devis gratuits par mail ou téléphone à votre demande.

    NB :  Tous les bénéfices seront reversés au combat pour le respect de la vie. Vous avez aussi la possibilité de soutenir notre action en envoyant un chèque à l'ordre de Provie France à l'adresse ci dessous. Tous les dons sont les bienvenus, il n'y a pas de "petits" dons, merci de votre générosité.

    Vous avez un peu de temps ? Vous pouvez nous aider bénévolement ? N’hésitez plus ! Contactez nous !

    Editions Résistances - P. ISNARD
    23 rue Agassons
    La Pinède
    04100 MANOSQUE

    courriel : defense.vie@gmail.com

    tél : 06 64 84 51 39

  • Il y a un évêque aux Armées

    Un véritable évêque. Qui réagit en véritable évêque à la profanation de Toulon. Le communiqué de Mgr Ravel est sans doute long pour un communiqué, mais il doit rappeler des vérités trop oubliés, y compris dans l'Eglise, et c'est à lire intégralement.

  • Philippines : la loi de « santé reproductive » votée par les députés

    our_lady_of_guadalupe_4x6.jpgMalgré l’opposition résolue et très active des évêques de ce pays catholique, les députés viennent de voter la  loi de « santé reproductive ».

    Les évêques avaient encore adressé aujourd’hui même une lettre ouverte aux députés pour les conjurer de « respecter le droit à la vie, le droit des couples mariés à fonder une famille selon leurs convictions religieuses et morales propres et à être les premiers éducateurs de leurs enfants », invoquant l’intercession particulière de Notre-Dame de Guadalupe, Patronne du mouvement catholique pour la vie « dont la fête est célébrée en ce jour » (dans le nouveau calendrier, et dans l’ancien pour les pays hispanophones). Et les militants pro-vie considèrent que c’est une provocation que d’avoir programmé le vote de la loi en ce jour.

    priests.jpg

    Une ultime manifestation a eu lieu devant le Parlement (au premier rang on voit des prêtres et des séminaristes faisant symboliquement barrage), et il y avait au moins huit évêques dans les tribunes. Mais rien n’y a fait. Les Philippines deviennent un pays au goût de l’ONU en consacrant la « santé reproductive » qui fait de l’espèce humaine une espèce purement animale (car l’homme véritable ne se reproduit pas, il procrée).

    Pour l’heure, la loi ne libéralise pas l’avortement. Mais ce sera forcément la prochaine étape, puisqu’elle installe le planning familial, et que tant le planning familial que la « santé reproductive » impliquent la libéralisation de l’avortement.

  • Les « Sœurs de la Bienheureuse Vierge Marie »

    photo1612.jpg

    Quelque 11 religieuses de la Community of St Mary the Virgin, communauté contemplative anglicane historique de Wantage, dans l’Oxfordshire, vont être reçues dans l’unité catholique et l’ordinariat Notre-Dame de Walsingham le mois prochain. Elles seront rejointes par une religieuse de la société Sainte-Marguerite de Walsingham, qui a intégré l’ordinariat dès le début, et vont constituer la communauté des Sisters of the Blessed Virgin Mary.

    Ces religieuses sont connues notamment pour leur tradition de plain chant anglais.

  • Inculpée pour avoir dénoncé les mariages de fillettes dans un pays qui les interdit…

    L’avocate turque Carine Arin est inculpée pour avoir avili les valeurs religieuses d’une partie de la population (Code pénal turc, article 216/3) et avoir insulté le Président de la République (Code pénal turc, article 299/1). Parce que dans une conférence qu’elle donnait à l’association du barreau d’Antalya, dans le cadre de l’ouverture d’un Centre pour la mise en application des droits des femmes, elle a dénoncé les mariages précoces, donnant deux exemples, celui du Prophète et celui de l’actuel président de la République…

    Or en Turquie l’âge légal du mariage est de 17 ans.

    Mais, selon Carine Arin, il y a 181.000 épouses enfants dans le pays. Outre l’exemple du Prophète, « les fillettes sont forcées de se marier précocement parce que les femmes ne sont pas considérées comme des êtres humains mais comme la propriété de leur famille ».

    Davantage sur Poste de Veille.

    (Via l’Observatoire de l’islamisation)

  • La grossièreté laïcarde d’Erwan Binet dénoncée par un prêtre

    L’abbé Bernard Pellabeuf a envoyé une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur pour dénoncer l’attitude et les propos inadmissibles du rapporteur du projet de loi sur le « mariage » homosexuels.

    Il y souligne aussi que l’argument des promesses de François Hollande ne tient pas, car au second tour il ne s’agit pas d’un vote d’adhésion ; or au premier tour François Hollande a obtenu moins de 29% des voix.