Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 16

  • Racisme danois

    Le pasteur Jesper Langballe de l'Eglise évangélique-luthérienne d'Etat, député du Parti du peuple danois, a été condamné pour avoir enfreint la loi antiraciste. Dans une chronique publiée en janvier, il évoquait "les musulmans qui tuent leurs filles (dans les crimes d'honneur) et qui ferment les yeux sur leurs viols par leurs oncles". Il a reconnu devant la Cour avoir enfreint la loi et avoir formulé "des propos sarcastiques", non sans ajouter que l'article de loi sur le racisme était "une honte pour la société de droit", qui "freine toute liberté d'expression".

    Jesper Langballe avait voté la levée de son immunité parlementaire afin de prouver la véracité de ses propos devant la justice...

  • Dernières nouvelles des ordinariats pour les anglicans

    Le primat de la TAC (Traditional anglican communion), John Hepworth, a publié une longue déclaration en la fête de saint André. Il annonce notamment que

    - les trois évêques de la TAC au Canada ont demandé un ordinariat et que 33 prêtres les suivent ;

    - 51 prêtres de la TAC aux Etats-Unis demandent à intégrer un ordinariat* ;

    - la création d’un ordinariat vient d’être annoncée en Australie ;

    - six évêques vont rejoindre l’ordinariat qui va être créé en Angleterre : aux cinq que l’on connaît déjà se joint le Canadien Robert Mercer, ancien évêque au Zimbabwe.

    D’autre part, Andrew Burnham, l’un des six, a prononcé son dernier sermon d’évêque anglican le 27 novembre à Oxford. A l’issue de l’office, il a déposé sa mitre et sa crosse aux pieds de la statue de Notre Dame.

    * L’un de ces prêtres, Louis Berry, a terminé ainsi son allocution lors d’une réunion de prêtres anglicans favorables à l’ordinariat : « Nous avons frappé à la porte de la Sainte Mère Eglise, et cette porte s’est grand ouverte d’un seul coup ; une fête spirituelle attend ; nous entendons les chœurs des anges à l’intérieur ; le Saint-Esprit appelle chacun d’entre nous : “Entre et découvre le vrai sens de ton existence ; entre et trouve la vraie vie ; entre et trouve la paix.” Comment pourrions-nous répondre autrement qu’ainsi : Oui, Seigneur ! Oui, Seigneur ! et encore : Oui, Seigneur !  »

  • Immigration clandestine : les Turcs laissent passer

    La plupart des immigrants arrivant illégalement en Europe aujourd'hui passent par la Grèce et, pour quasiment la moitié d'entre eux, par la frontière terrestre gréco-turque de Thrace. « La police turque, qui ne fait pas son travail », laisse tout le monde passer et, en contradiction avec l'accord signé avec la Grèce en 2002, « refuse de reprendre les immigrés qu'on arrête », déclare le chef de la police locale au Figaro.

  • Droits de l’homme…

    Le prix Kadhafi international des droits de l’homme (mais si, ça existe !) a été remis à… Recep Tayyip Erdogan (mais non, ce n’est pas une blague !).

  • L'Ecosse rejette l'euthanasie

    Le Parlement écossais a rejeté par 85 voix contre 16 une proposition de loi visant à légaliser le suicide assisté, au premier stade des débats.

  • La mosquée flottante de Venise

    moskven.jpg

    Elle est ainsi présentée par son concepteur, Inter National Design (IND) :

    « Le patrimoine architectural vénitien est un héritage de l'architecture islamique. Cela a encouragé l’idée initiale et donné forme à la mosquée flottante comme un point de rencontre interculturel. Le processus de transformation de lieux comme Venise aujourd’hui a la capacité de souligner les changements emblématiques dans la société européenne actuelle. Basé sur la tradition classique des mosquées, avec une cour, le patio, et la structure du dôme sur une empreinte carrée avec son minaret, le projet nécessitait une transformation contemporaine pour souligner les changement de paradigme. Dans ce contexte, une installation culturelle faite de ballons de gymnastique, facilement disponibles sur le marché, qui seront distribués aux résidents de Venise après l’événement, signifie que tout le monde fait partie de l’installation. La réutilisation des ballons, par leur distribution aux gens, répond à l’aspect durable de cette installation. »

    On retrouve ici tout le baratin multiculturel, avec évidemment le volet « durable ». On remarque que pour ce cabinet d’architectes l’islamisation est un changement emblématique de la société actuelle, qu’il faut donc accompagner. On remarque surtout que pour ces architectes, « le patrimoine architectural vénitien est un héritage de l'architecture islamique », ce qui est une évidente contrevérité historique… et architecturale. Ce cabinet néerlandais fait donc ouvertement la promotion de l’islam en mettant en avant un mensonge historique (il s’agit d’un mensonge, et non d’une erreur, car on ne devient pas architecte sans avoir étudié l’histoire de l’architecture).

    Le site d’IND est indiqué comme « page malveillante » par Google, qui la bloque, parce que « sur les 2 pages testées sur ce site au cours des 90 derniers jours, 2 pages ont généré le téléchargement et l'installation de programmes malveillants » (qui ne sont pas du fait d’IND, dont la malveilance est ailleurs).

    On trouvera la présentation de la mosquée flottante sur le site Amush (architecture contemporaine au Maroc), qui avait traduit en français quelques passages de la présentation originale en anglais.

    Après des protestations d’internautes, ce site a modifié la traduction : « Le patrimoine architectural vénitien a le même héritage que l'architecture islamique », et a donné le texte originel anglais, que j’ai traduit, sans avoir donc besoin d’aller sur un site qui « risque d’endommager mon ordinateur ».

    (Via F. Desouche)

  • La mémoire

    Extrait de la sublime homélie de Benoît XVI (un grand merci à Benoît et moi pour la traduction) à la messe de Requiem pour Manuela Camagni :

    Saint Bonaventure dit que dans les profondeurs de notre être, il y a la mémoire du Créateur. Et justement parce que cette mémoire est inscrite dans notre être, nous pouvons reconnaître le Créateur dans sa création, nous pouvons nous le rappeler, voir ses traces dans cet univers créé par Lui. Saint Bonaventure dit aussi que cette mémoire du Créateur n'est pas seulement mémoire du passé, parce que l'origine est présente, c'est la mémoire de la présence du Seigneur, c'est aussi la mémoire du futur, parce qu'il est certain que nous venons de la bonté de Dieu et que nous sommes appelés à atteindre la bonté de Dieu. C'est pourquoi dans cette mémoire, l'élément de la joie est présent, notre origine dans la joie qui est Dieu et notre appel à atteindre la grande joie.

    Mais saint Bonaventure ajoute que notre mémoire, comme toute notre existence, est blessée par le péché; ainsi, la mémoire est obscurcie, elle est recouverte par d'autres mémoires superficielles, et nous ne pouvons pas aller au-delà de toutes ces autres mémoires superficielles, aller jusqu'au fond, jusqu'à la vraie mémoire qui soutient notre être. Et ainsi, à cause de cet oubli de Dieu, de cet oubli de la mémoire fondamentale, la joie elle aussi est recouverte, obscurcie. Oui, nous savons que nous sommes créés pour la joie, mais nous ne savons plus où est la joie, et nous la cherchons à différents endroits. Nous voyons aujourd'hui cette recherche désespérée de la joie qui s'éloigne de plus en plus de sa vraie source, de la vraie joie. Oubli de Dieu, oubli de notre vraie mémoire.

    Les Memores Domini savent que le Christ, à la veille de sa passion, a renouvelé, et même a élevé notre mémoire. "Faites ceci en mémoire de moi", a-t-il dit, et ainsi il nous a donné la mémoire de sa présence, la mémoire du don de soi, du don de son Corps et de son Sang, et dans ce don de son Corps et de son Sang, dans ce don de son amour infini, nous touchons de nouveau avec notre mémoire la présence plus forte de Dieu, son don de lui-même.

  • Saint François Xavier

    Le grand missionnaire naquit en 1506 au château de Xavier en Navarre ; en 1525 il fit la connaissance de saint Ignace et fut son second compagnon ; en 1542, il fut envoyé aux Indes ; de 1549 à 1551 son champ d’action fut le Japon. Il parcourut un nombre incalculable de régions, toujours à pied et souvent pieds nus. Il porta la foi au japon et dans six autres royaumes. Il convertit des centaines de mille d’infidèles au Christ ; dans l’Inde seule, il régénéra dans les eaux du baptême des princes puissants, des rois mêmes. Et malgré toutes les grandes œuvres qu’il avait accomplies pour Dieu, il était si humble, qu’il n’écrivait jamais qu’à genoux à son Supérieur saint Ignace. Dieu confirma son ardeur à répandre l’Évangile par des miracles nombreux et magnifiques. Il ressuscita quelques morts, entre autres quelqu’un qui avait été enterré la veille et qu’il ordonna de retirer du tombeau. Son unique passion était de gagner des âmes pour le ciel. “Donnez-moi des âmes, ô mon Dieu”, telle était sa prière continuelle.

    Dom Pius Parsch

  • La plainte contre Nadine Morano classée sans suite

    La Cour de Justice de la République a classé sans suite la plainte en diffamation déposée par le Mrap contre Nadine Morano.

    Le 14 décembre 2009, lors d'un débat sur l'identité nationale, elle avait dit: "On ne fait pas le procès d'un jeune musulman. Sa situation, moi je la respecte. Ce que je veux, c'est qu'il se sente Français lorsqu'il est Français. Ce que je veux, c'est qu'il aime la France quand il vit dans ce pays, c'est qu'il trouve un travail, et qu'il ne parle pas le verlan. C'est qu'il ne mette pas sa casquette à l'envers. C'est qu'il essaie de trouver un boulot, et qu'on l'accompagne dans sa formation. C'est tout ça. Et je crois que si on veut être porteur de paix, on doit accepter l'autre dès lors qu'il respecte les lois."

    Le Mrap avait déposé plainte auprès du doyen des juges d'instruction d'Epinal, mais celui-ci s'était déclaré incompétent car il avait estimé que les propos avaient été tenus dans l'exercice des fonctions gouvernementales de Nadine Morano.

    Il fallait donc saisir la Cour de Justice de la République, qui vient de mettre la plainte au panier.

    Le même jour (voir ma note précédente), le tribunal correctionnel de Paris rejette les plaintes de la Licra et de SOS Racisme contre Jean-Marie Le Pen pour l’affiche contre l’islamisation.

    Les magistrats commenceraient-ils à se démarquer de la dictature antiraciste ?

  • Le procès qui tourne court

    Dans l’affaire de l’affiche du FNJ « non à l’islamisme », le tribunal correctionnel de Paris a débouté la Licra et SOS Racisme, et relaxé Jean-Marie Le Pen, au motif que celui-ci n’était "ni l'auteur de l'affiche en cause, ni le responsable des sites sur lesquels elle avait été diffusée".

    Le procureur avait requis un an d'inéligibilité, deux mois de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende.

    Le parquet a dix jours pour faire appel. SOS Racisme attend de connaître la décision du parquet avant d'interjeter ou non appel.