La plupart des immigrants arrivant illégalement en Europe aujourd'hui passent par la Grèce et, pour quasiment la moitié d'entre eux, par la frontière terrestre gréco-turque de Thrace. « La police turque, qui ne fait pas son travail », laisse tout le monde passer et, en contradiction avec l'accord signé avec la Grèce en 2002, « refuse de reprendre les immigrés qu'on arrête », déclare le chef de la police locale au Figaro.