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  • Copé lamentable (sans surprise)

    Propos de Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, sur Canal Plus, ce matin, à propos de « l'homoparentalité » :

    "Je n'ai pas encore d'avis sur le sujet. En tous cas, je vous donne mon avis personnel, j'ai besoin d'un débat pour me faire mon avis. C'est un sujet très difficile sur lequel je ne suis pas sûr de pouvoir répondre en 15 secondes. J'ai un peu évolué sur la question..."

  • « Suicide assisté »

    La loi de l'Etat de Washington autorisant le « suicide assisté » entre en vigueur demain. C'est le deuxième Etat à adopter une loi après l'Oregon (où elle est appliquée depuis fin 1997).

    Deux médecins doivent certifier que le patient n'a pas plus de six mois à vivre...

  • La messe tridentine, c’est nul

    « La Messe tridentine fut destinée à ceux qui étaient incapables d'opérer la transition du latin à l'anglais (ou à d'autres langues) après le Concile. Mais on n'y constate aucune participation du peuple, et je ne crois pas qu'elle instille l'esprit du Christ parmi nous. »

    Propos du cardinal Roger Mahony, archevêque de Los Angeles.

  • Vatican II et son interprétation

    Un texte fort intéressant du P. Giovanni Scalese.

  • Benoît XVI : la crédibilité de la Parole

    Extrait de la réponse du pape à la deuxième question des prêtres de Rome :

    Il est absolument indispensable, fondamental, de donner, à travers le témoignage, de la crédibilité à cette Parole, afin qu'elle n'apparaisse pas seulement comme une belle philosophie, une utopie, mais plutôt comme la réalité. Une réalité avec laquelle on peut vivre, mais aussi une réalité qui nous fait vivre. Et en ce sens, il me semble que le témoignage de la communauté des croyants, comme fondement de la Parole, de l'annonce, est de première importance. Avec la Parole, nous devons ouvrir des lieux d'expérience de la foi à ceux qui sont à la recherche de Dieu. C'est ce que l'Eglise primitive a fait avec le catéchuménat, qui ne se bornait pas à une simple catéchèse, quelque chose de doctrinal : il constituait un lieu d'expérience progressive de la vie de la foi, dans laquelle se dévoile ensuite également la Parole, qui ne devient compréhensible que si elle est interprétée dans la vie, réalisée dans la vie.

  • Mercredi des Quatre Temps

    Le commentaire que fait dom Guéranger de l'évangile de ce jour est particulièrement d'actualité :

    Le Sauveur dénonce à Israël les châtiments qui l'attendent pour son aveuglement volontaire et pour la dureté de son cœur. Israël veut des prodiges pour croire ; il en est entouré, et il ne les voit pas. Tels sont les hommes de nos jours. Pour reconnaître le christianisme comme divin, il leur faudrait des preuves ; et cependant l'histoire est ouverte devant eux. Les événements présents rendent aussi leur témoignage ; mais rien ne les réveille. Ils s'en tiennent à leurs systèmes toujours déçus, et ils n'arriveront à comprendre que l'Eglise catholique est le fondement de la société, qu'au jour où la société qu'ils ont isolée eux-mêmes de l'Eglise s'écroulera dans l'abîme creusé par leurs mains. « Génération perverse et adultère », dit le Seigneur, contre laquelle s'élèveront les peuples infidèles qui n'ont point connu les institutions chrétiennes, et qui les eussent peut-être aimées et conservées. Craignons le sort des Juifs, auxquels le siège de Jérusalem, sa ruine même, ne purent ouvrir les yeux, et qui restent encore fidèles aux illusions de leur orgueil après un esclavage de dix-huit siècles. Au milieu des périls de la société, que les enfants de l'Eglise comprennent aussi leur responsabilité. Qu'ils se demandent pourquoi les sages du monde, les politiques de ce monde, ont cessé de compter avec eux ? Pourquoi, aujourd'hui encore, ces hommes ont tant de peine à apercevoir quelque part l'élément catholique ? C'est que les catholiques avaient délaissé l'Eglise et ses saintes pratiques. Chaque jour, une solitude plus grande se faisait remarquer dans nos Eglises, les sacrements n'étaient plus fréquentés, le Carême n'était plus qu'un mot sur le calendrier. Revenons non seulement à la foi de nos pères, mais à l'observation des lois chrétiennes : c'est alors que le Seigneur aura pitié de son peuple infidèle, à cause des justes qui seront dans son sein. L'apostolat de l'exemple produira ses fruits ; et si un faible faisceau de fidèles fut pour les peuples de l'empire romain ce levain dont parle le Sauveur, qui fait fermenter toute la pâte : au milieu d'une société qui conserve encore plus d'éléments catholiques qu'elle ne le pense, notre zèle à confesser et à pratiquer les devoirs de la milice chrétienne ne demeurera point sans résultat.

  • La hausse des « faits antisémites »

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Au dîner du Crif on s'est inquiété de la subite recrudescence des « faits antisémites » en janvier.

    Chacun reconnaît que ces « faits » sont dus à ce qu'on a appelé l'importation du conflit entre Israël et les Palestiniens de Gaza.

    Il n'y aurait pas eu d'importation du conflit s'il n'y avait eu, et s'il n'y a toujours, une importation massive d'immigrés qui, par leur religion et leur culture d'origine, peuvent être enclins à prendre violemment position.

    Le président de la République a déclaré que ces antisémites « n'ont rien à faire sur le territoire de la République française ».

    Alors, que fait-on ?

  • Hallucinant

    Titre du Figaro en page 9, à propos de l'acceptation par le pape de la demande du P. Wagner qu'il ne soit pas évêque auxiliaire de Linz, après le tollé provoqué par cette nomination dans le diocèse rebelle :

    « Benoit XVI sanctionne un prêtre ultraconservateur »

  • Justice turque

    A la mi-décembre, un groupe d'universitaires turcs avait lancé une pétition ainsi libellée :

    « Ma conscience ne peut accepter que l'on reste indifférent à la Grande Catastrophe que les Arméniens ottomans ont subie en 1915, et qu'on la nie. Je rejette cette injustice et, pour ma part, je partage les sentiments et les peines de mes soeurs et frères arméniens et je leur demande pardon. »

    Des plaintes avaient été déposées. Mais, le 26 janvier, le procureur général d'Ankara avait estimé que la pétition s'inscrivait dans les limites de la liberté d'expression (les auteurs s'étant bien gardés d'utiliser le mot de "génocide" qui entraîne automatiquement une condamnation).

    Hier, la première cour d'assises de Sincan, dans la périphérie d'Ankara, a annulé le non-lieu. De ce fait, des poursuites peuvent être engagées contre les auteurs et les signataires de la pétition.