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  • Un maire BZÖ à Klagenfurt

    Au second tour des élections municipales en Carinthie, le candidat du BZÖ, Christian Scheider, l'a emporté avec 64% des voix face à la candidate du Parti social-démocrate (SPÖ) qui obtient 36%.

    C'est la première fois depuis 36 ans que Klagenfurt n'est pas dirigée par un maire conservateur de l'ÖVP, et c'est la première fois qu'un maire du parti de Jörg Haider (mort en octobre dernier) est élu dans la capitale d'une des provinces autrichiennes.

    (via altermedia)

  • « Côtes de Bordeaux »…

    L'Union des Côtes de Bordeaux a annoncé vendredi la naissance de l'appellation d'origine contrôlée Côtes de Bordeaux, qui remplacera dès le millésime 2008 les AOC Premières Côtes de Blaye, Premières Côtes de Bordeaux, Côtes de Castillon et Côtes de Francs.

    La seule raison est qu’apparaisse clairement le mot Bordeaux sur les étiquettes, pour faciliter les exportations.

    Il est curieux que les producteurs de Premières Côtes de Blaye acceptent de voir leur vin disparaître ainsi dans des « côtes de Bordeaux »…

    Et quid des Côtes de Bourg ?

  • Discriminations à la serbe

    Le gouvernement serbe a approuvé vendredi le projet de loi contre les discriminations, qu'il avait retiré la veille du débat au Parlement en raison de l'opposition de l'Eglise orthodoxe.

    Le ministre serbe pour les questions sociales, Rasim Ljajic, a déclaré que certaines suggestions ont été acceptées.
    Aucune date n'a été fixée pour l'ouverture des débats au Parlement.

  • Climat : Vaclav Klaus poursuit le combat

    Vaclav Klaus lance une association internationale intitulée The Prague Network, destinée à dénoncer l'alarmisme autour du « réchauffement global ».

    L'idée lui en est venue lors de son récent voyage aux Etats-Unis. Lors d'une conférence à Santa Barbara, il a notamment déclaré que « depuis 1998 la température globale n'accuse pas une hausse, mais une baisse », et que « l'alarmisme porte atteinte à la liberté et à la prospérité de l'humanité ».

    Il y a lieu, a-t-il dit, de séparer soigneusement la protection de l'environnement et la « panique climatique ».

  • La déchéance européenne

    Extrait du discours de Jean-Marie Le Pen à la convention européenne du Font national à Arras

    La politique étrangère de l'Union européenne consistera à faire un outil militaire commun, flanc occidental de la grande armée mondiale que dirigera demain Washington, au service d'ailleurs de ses intérêts exclusifs.

    La médiation de la France, sa capacité diplomatique de règlement des conflits est ainsi peu à peu anéantie au profit du super Etat européen, vassal des Etats-Unis d'Amérique.

    Est-ce cette Europe-là que nous voulons ?

    Est-ce que nous acceptons cette déchéance militaire et internationale ?

    Et au-delà de la Défense, est-ce que nous acceptons la décadence morale que l'on nous impose ?

    Il suffit de lire les titres des rapports déposés par la commission culture du Parlement européen pour mesurer leur grande pauvreté et ainsi se rendre compte du mépris abyssal que les eurocrates portent au génie de la culture européenne et sa richesse infinie.

    Bruxelles se soucie plus d'endoctriner la population par l'antiracisme militant.

    La moitié au moins de la politique sociale européenne est consacrée à la lutte contre les discriminations raciales ou sexuelles.

    Je vous le disais, tout est fait pour favoriser les immigrés, pour lutter contre les discriminations que subiraient les homosexuels ou les femmes, sans oublier les programmes d'éducation sexuelle, dès le primaire si possible.

    L'Europe d'aujourd'hui, c'est la dictature des minorités, la discrimination de la majorité, la promotion d'une société de consommation permissive dans tous ces excès, jusqu'à vouloir punir ceux qui manifesteraient leur opposition au mariage homosexuel.

    D'ailleurs, dans le vocabulaire européiste, on ne parle plus de parents, mais, je cite, « d'adultes civilement responsables d'un enfant mineur », ce qui ouvre évidemment la voie à l'adoption d'enfants par des adultes du même sexe.

    Dès lors, mes chers compatriotes, les choses sont claires : l'Europe de Bruxelles est sans âme, sans identité et sans valeurs autres que celles d'un mondialisme uniformisateur et dégénéré.

    Elle refuse même de préciser dans sa propre constitution qu'à la base de son inspiration se trouvent les racines chrétiennes de la civilisation européenne...

    C'est là une lâcheté supplémentaire faite au nom de la tolérance et pour ne pas choquer les athées et les laïcs, mais surtout les populations non chrétiennes présentes sur le sol européen et les Turcs, candidats à l'adhésion.

  • Le visage du Christ à La Réunion

     

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    Des milliers et des milliers de fidèles et du curieux se pressent à l'église de Jésus Miséricordieux, dans le quartier de Cambuston à Saint-André, à La Réunion, pour voir le dossier d'un siège sur lequel est apparu comme un visage, qui est comme une version stylisée de celui du Saint Suaire. Le visage est apparu avant la chemin de croix de vendredi dernier, puis il a disparu, puis il est revenu dimanche. L'évêque de La Réunion, Mgr Gilbert Aubry, a publié un beau texte sur ce phénomène :

    Après m'être rendu en l'église de Jésus Miséricordieux de Cambuston et avoir attentivement examiné le siège de la présidence des célébrations liturgiques, je peux dire qu'il ne s'agit ni d'une apparition ni d'un phantasme mais d'une sorte d'icône formée par les plis et les volumes du tissu du fauteuil réservé au prêtre.

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  • Benoît XVI et saint Joseph en Afrique

    Extrait de l'allocution de Benoît XVI à l'Angélus d'hier:

    Le 19 mars, justement durant la visite pastorale en Afrique, nous célèbrerons la solennité de saint Joseph, patron de l'Eglise universelle, qui est aussi le mien. Saint Joseph, averti par un songe, dû fuir avec Marie en Egypte, dans le nord-ouest de l'Afrique, pour mettre à l'abri Jésus nouveau-né, que le roi Hérode voulait tuer. Les Ecritures s'accomplissent ainsi : Jésus a suivi les traces des anciens patriarches et, comme le peuple d'Israël, il est revenu sur la Terre promise après avoir été en exil en Egypte. Je confie à l'intercession céleste de ce grand saint ce prochain voyage en Afrique et les populations de toute l'Afrique, avec les défis qui les touchent et les espérances qui les animent. Je pense en particulier aux victimes de la faim, de la maladie, des injustices, des conflits fratricides et de toute forme de violence qui continue malheureusement à toucher des adultes et des enfants, sans épargner les missionnaires, les prêtres, les religieux, les religieuses et les volontaires. Frères et sœurs, accompagnez-moi en ce voyage par votre prière, invoquant Marie, Mère et Reine de l'Afrique.

  • Ego sum Joseph

    Dixit Joseph undecim fratribus suis: Ego sum Joseph, quem vendidistis in Ægyptum: adhuc vivit pater noster senior, de quo dixeratis mihi? Ite, adducite eum ad me, ut possit vivere. Biennium enim est, quod cœpit esse fames in terra: et adhuc restant anni quinque, quibus nec arari poterit, nec meti. Ite, adducite eum ad me, ut possit vivere.

    Joseph dit à ses onze frères: Je suis Joseph votre frère, que vous avez vendu en Egypte; vit-il encore notre père, ce vieillard dont vous m'avez parlé? Allez, amenez-le moi afin qu'il ait de quoi vivre. Car il y a deux ans que la famine a commencé sur la terre, et il reste encore cinq ans pendant lesquels on ne pourra ni labourer, ni moissonner. Allez, amenez-le moi afin qu'il ait de quoi vivre.

    (répons des matines)

  • 3e dimanche de carême

    L'Eglise poursuit sa lecture de la Genèse et en arrive aujourd'hui à l'histoire de Joseph.

    Cette histoire est une impressionnante prophétie christique.

    Les frères de Joseph, qui ont juré sa perte, le dépouillent de sa tunique, qu'ils trempent dans le sang d'un bouc pour faire croire à son père qu'il est mort, et le jettent dans une citerne, dont ils le sortent pour le vendre, pour 20 pièces d'argent, à des marchands qui le conduisent en Egypte. Là, il est à l'origine d'une extraordinaire prospérité : on viendra de partout acheter le blé égyptien.

    Richard de Saint-Victor, expliquant chaque aspect de la prophétie, montre qu'elle s'étend jusqu'à la consommation des siècles : « Les frères de Joseph vinrent enfin et le reconnurent ; à la fin des temps, après que la plénitude des nations sera entrée, les restes d'Israël se convertiront au Christ. »