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  • Joyeusetés européennes

    La commission constitutionnelle du Parlement européen a approuvé un rapport demandant que le président du Conseil européenne (celui qui sera en poste pour cinq ans selon le traité de Lisbonne) ait un rôle restreint : il ne devrait pas s'exprimer au nom de l'UE sur les sujets politiques. Son rôle devrait être seulement de représenter l'UE dans les affaires étrangères et de sécurité commune, sujets qui seraient réellement traités par le haut représentant (qui était qualifié de ministre des affaires étrangères dans le projet de Constitution européenne). En revanche, le rapport demande que le président de la Commission européenne ait un rôle plus important, afin qu'il assure « la représentation de l'Union au plus haut niveau quant à l'ensemble des relations extérieures de l'Union », y compris en matière de commerce international.

    La Commission européenne avait acheté 21 machines à café, d'un coût de 5.000 euros chaque. La révélation de cette opération a fait jaser, mais ce fut pire encore quand les fonctionnaires ont découvert que ces machines faisaient un café médiocre. La Commission s'est plaint auprès du constructeur, et un arrangement a été trouvé. D'une part, les machines vont être programmées pour s'auto-nettoyer, d'autre part des sessions de formation seront organisées pour des représentants de chaque bureau de la Commission afin de leur apprendre comment faire fonctionner correctement les machines. Un avocat de la firme a précisé que les conditions de l'arrangement étaient « strictement confidentielles ».

    Une liste secrète d'articles interdits sur les avions a été déclarée illégale par la Cour de justice européenne, parce que les passagers ne peuvent pas savoir ce qu'elle contient...

    (via Open Europe)

  • Le logo du Pôle Emploi : 500.000 €

    36891138_p.jpgLe logo du Pôle Emploi, qui regroupe désormais l'ANPE et les Assedic, a coûté 500.000 €, a révélé hier matin sur Europe 1 le président de l'Unedic, Geoffroy Roux de Bézieux, en ajoutant : « Dans la vitesse de la fusion, on a payé un peu cher. »

    Il s'agit seulement du "nom" et du dessin.

    Il y a cinq ans, le nouveau logo de l'ANPE avait coûté 100.000 euros. Tout augmente...

  • Le droit d’asile comme filière d’immigration

    Explication de vote de Jean-Marie Le Pen sur le rapport Catania sur l'avenir du système d'asile européen commun, hier au Parlement européen

    Le rapport du communiste Catania sur le système d'asile européen commun favorise la mise en œuvre d'une politique européenne immigrationniste.

    En effet, sous couvert de défense des droits de l'homme, il veut faire de l'Europe une communauté ouverte, prête à accueillir toute la misère du monde.

    Pour ce faire, il propose une harmonisation du droit d'asile par le haut, le principe de non refoulement, l'absence de rétention ou bien encore l'extension aux réfugiés de la directive sur le statut des ressortissants de pays tiers résidents de longue durée.

    M. Catania feint d'oublier que la plupart des immigrés clandestins qui arrivent en Europe - 75.000 en 2008 rien que pour la façade méditerranéenne - ne sont pas des réfugiés politiques mais des réfugiés économiques qui fuient la misère qui règne dans leur pays.

    Ce détournement du droit d'asile, contraire à la Convention de Genève, n'est jamais mentionné dans le rapport, et pour cause. Il convient de donner mauvaise conscience à "l'homme blanc" en lui rappelant qu'il fut un affreux colonialiste et que, maintenant, il doit payer dans toutes les acceptions du terme. Les légendes ont la vie dure.

    M. Catania, en voulant transformer le droit d'asile en filière normale de l'immigration, ouvre la voie à de nombreux abus et place les immigrés clandestins en position de bouc-émissaire.

  • L’Australie va aussi financer les avortements dans le monde

    Le gouvernement australien a décidé mardi de lever les restrictions qui interdisaient toute utilisation d'aide internationale australienne dans le planning familial à l'étranger.

    Il s'aligne ainsi sur Barack Obama, qui avait pris une décision similaire le 23 janvier.

    "C'est un sujet difficile, et le gouvernement reconnaît qu'il y a des positions fortes, fermement soutenues des deux côtés. Eviter les avortements via les services de planning familial restera la priorité des activités financées par l'Australie", a osé dire le ministre des Affaires étrangères, Stephen Smith.

    Mais éviter les avortements via les services de planning familial, c'est comme éviter les meurtres en donnant des armes aux assassins.

    (via avortement-ivg)

  • Une mise au point sur le voyage du pape en Terre Sainte

    « En aucun cas il ne faut voir ce voyage avec des lunettes politiciennes. Ce voyage est un pèlerinage, et les visites officielles sont des visites de courtoisie. Il n'y aura aucune discussion de règlement politique. Il y aura certainement des messages qui pourront être interprétés comme politiques mais la visite est de nature religieuse ! Il vient comme pasteur et non comme chef d'Etat du Vatican », a déclaré le Nonce apostolique en Israël et Délégué apostolique pour Jérusalem et la Palestine, Mgr Antonio Franco, lors d'une conférence de presse.

    Il a souligné que les moments les plus importants seront les trois messes : à Jérusalem, Bethléem et Nazareth.
    Ce pèlerinage, a poursuivi le Nonce, coïncide avec la fin de l'année consacrée, en Terre Sainte, à la famille à l'initiative de l'Assemblée des Ordinaires Catholiques. A cette occasion, le Saint-Père bénira la première pierre du Centre International pour la famille.

    A propos de la visite à Yad vaShem, il a précisé que le pape se rendrait au mémorial de la Shoah, mais pas au musée (où se trouve la photo de Pie XII avec une infâme légende).

    Le Nonce a redit combien le Saint-Père comptait sur le soutien spirituel de tous les chrétiens du monde.

  • Marie et la Parole

    Extrait de la réponse de Benoît XVI à la septième question des curés de Rome :

    Marie est la femme de l'écoute : nous le voyons dans la rencontre avec l'Ange et nous le revoyons dans toutes les scènes de sa vie, des noces de Cana jusqu'au jour de la Pentecôte, lorsqu'elle se tient au milieu des apôtres précisément pour accueillir l'Esprit. C'est le symbole de l'ouverture, de l'Eglise qui attend la venue de l'Esprit Saint.

    Au moment de l'Annonce, nous pouvons déjà entrevoir l'attitude d'écoute - une écoute réelle, une écoute à intérioriser, qui ne dit pas simplement oui, mais qui assimile la Parole, prend la Parole - à laquelle suit la véritable obéissance, comme s'il s'agissait d'une Parole intériorisée, c'est-à-dire devenue Parole en nous et pour nous, presque comme une forme de notre vie. Cela me semble très beau : voir cette écoute active, c'est-à-dire une écoute qui attire la Parole de façon à ce qu'elle entre et devienne en nous Parole, la reflétant et l'acceptant au plus profond du cœur. Ainsi, la Parole devient incarnation.

    Extrait de la réponse de Benoît XVI à la huitième question des curés de Rome, sur les indulgences, les bénédictions, les premiers vendredis du mois, etc. (Sur les indulgences, voir aussi les propos du cardinal Kasper).

    Personne ne devrait mépriser cette richesse, développée au fil des siècles comme un don et comme une multiplication des lumières dans l'Eglise. La lumière du Christ est unique. Elle apparaît dans toutes ses tonalités et offre la connaissance et la richesse de son don, l'interaction entre la tête et le corps, l'interaction entre les membres, afin que nous puissions être véritablement ensemble un organisme vivant, dans lequel chacun donne à tous et tous donnent le Seigneur, qui nous a donné son être tout entier.

  • Voici que nous montons à Jérusalem…

    Commentaire de l'évangile de ce jour par Dom Guéranger :

    Il se dirige vers Jérusalem, car c'est là que doit se donner le grand combat. Il avertit ses disciples de tout ce qui va se passer. Il sera livré aux princes des prêtres, qui le déclareront digne de mort ; ceux-ci le mettront au pouvoir du gouverneur et des soldats romains. Il sera couvert d'opprobres, flagellé et crucifié ; mais, le troisième jour, il ressuscitera glorieux. Les Apôtres entendirent tous cette prophétie que Jésus leur fit, les ayant tirés à part ; car l'Evangile nous dit que ce fut aux douze qu'il parla. Judas était présent, et aussi Pierre, Jacques et Jean, que la transfiguration de leur Maître sur le Thabor avait mieux instruits que les autres de la sublime dignité qui résidait en lui. Et cependant tous l'abandonnèrent. Judas le vendit, Pierre le renia, et la terreur dispersa le troupeau tout entier, lorsque le Pasteur fut en butte à la violence de ses ennemis. Nul ne se souvint qu'il avait annoncé sa résurrection pour le troisième jour, si ce n'est peut-être Judas, que cette pensée rassura, quand une basse cupidité lui fit commettre la trahison. Tous les autres ne virent que le scandale de la croix ; et c'en fut assez pour éteindre leur foi et pour les faire rompre avec leur Maître. Quelle leçon pour les chrétiens de tous les siècles ! Combien elle est rare, cette estime de la croix qui la fait considérer, pour soi-même et pour les autres, comme le sceau de la prédilection divine !

    Hommes de peu de foi, nous nous scandalisons des épreuves de nos frères, et nous sommes tentés de croire que Dieu les a abandonnés parce qu'il les afflige ; hommes de peu d'amour, la tribulation de ce monde nous semble un mal, et nous regardons comme une dureté de la part du Seigneur ce qui est pour nous le comble de sa miséricorde. Nous sommes semblables à la mère des fils de Zébédée : il nous faut près du Fils de Dieu une place glorieuse, apparente, et nous oublions que, pour la mériter, il faut boire le calice qu'il a bu lui-même, le calice de la Passion. Nous oublions aussi la parole de l'Apôtre, « que pour entrer en part avec Jésus dans sa gloire, il faut avoir goûté à ses souffrances » ! Le Juste n'est point entré dans son repos par les honneurs et par les délices ; le pécheur ne l'y suivra point sans avoir traversé la voie de l'expiation.

  • Pierre de Charentenay dans le texte

    La Croix publie une tribune de Pierre de Charentenay, jésuite et rédacteur en chef de la revue "Etudes" sur les évêques américains et leur nouveau président, Barack Obama. L'auteur regrette que les évêques américains campent "sur une attitude intransigeante" sur la question de l'avortement, au détriment "d'autres questions devenues prioritaires en cette période de récession, l'effondrement de l'économie, l'augmentation du chômage et la pollution de la planète"...

    (gènéthique)

  • Evidemment

    Selon la circulaire de janvier 2008, les clandestins pouvaient être régularisés à condition qu'ils aient un contrat de travail ou une promesse d'embauche, à durée indéterminée, dans certains secteurs « sous tension ».

    On a vu d'abord que les clandestins pouvaient être régularisés dans des secteurs n'appartenant pas à liste limitative donnée par le gouvernement.

    On voit maintenant que des clandestins sont régularisés alors qu'ils n'ont qu'un CDD.
    En effet, 14 intérimaires clandestins du BTP, pris en charge par Droits devant !, la CGT, le NPA, etc., ont été régularisés le 6 mars.

    "Une brèche est désormais ouverte", se réjouit Jean-Claude Amara, qui parle d'une "victoire majeure", car "la question du principe de la régularisation des intérimaires est désormais acquise".

    « Ce qui n'est pas pour déplaire également au Medef, en phase avec ce gouvernement et la CGT dans ce domaine, commente Bruno Gollnisch dans un communiqué. Les Français demandeurs d'emplois apprécieront, mais il est vrai qu'un clandestin est moins exigeant en termes de salaires qu'un Français. Cette volonté de faire pression à la baisse sur le salaire des travailleurs français est d'ailleurs une des raisons de la politique d'immigration menée depuis des décennies par l'UMPS et un certain patronat... »

  • Sarkozy contre Sarkozy

    En visite d'Etat à Mexico, Nicolas Sarkozy a annoncé que Eurocopter allait ouvrir une usine au Mexique. Cela "permettra, à partir du Mexique, d'avoir une plate-forme de rayonnement à partir de l'Amérique centrale et de l'Amérique latine".

    C'est bien le même Sarkozy qui pestait contre les constructeurs automobiles qui ouvrent des usines « en Tchéquie ou ailleurs »...