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  • La démocratie européenne

    Le blog du Hudson Institute publie un remarquable texte d’Alexandra Colen, député du Vlaams Belang au Parlement fédéral belge, expliquant aux Américains comment fonctionne la « démocratie » européenne.

    Elle cite notamment le politologue anglais John Laughland qui a appelé l’UE « un cartel de gouvernements, occupés à un complot permanent contre leurs propres électeurs et parlements ».

    Elle cite aussi l’ancien Président allemand Roman Herzog : « A rebours du principe fondamental de la séparation des pouvoirs, les fonctions législatives européennes essentielles résident dans les membres de l’exécutif. Ainsi la question se pose de savoir si l’Allemagne peut toujours être considérée comme une démocratie parlementaire, puisque la séparation des pouvoirs comme principe constitutif de l’ordre constitutionnel allemand a été neutralisée pour de larges pans de la législation applicable à ce pays. » Roman Herzog citait un rapport du ministère allemand de la Justice, qui avait établi qu’ente 1999 et 2004, 84% des actes législatifs en Allemagne provenaient des institutions européennes, contre 16% du Parlement de Berlin.

    (via Bruges-Europe)

  • Sondages sur l’UE

    En Norvège, 55,6% des personnes interrogées se déclarent opposées à l’adhésion de leur pays à l’Union européenne. Les jeunes sont 65% à dire non.

    L’adhésion de la Croatie à l’UE sera bénéfique à leur pays pour… 28% des Croates, selon un sondage Gallup.

    Le même sondage effectué au Kosovo et en Albanie indique que l’adhésion de leur pays à l’UE serait bénéfique pour 83% des Albanais, et 89% des Kosovars…

    (Merci à Bruges-Europe)

  • Le prix Nobel interdit aux catholiques ?

    La remise du Nobel de physique aux Japonais Makoto Kobayashi et Toshihide Maskawa a suscité une grande stupeur en Italie. Les scientifiques italiens sont en révolte parce que le prix a été remis pour la découverte indiquée génériquement, dans le milieu scientifique et universitaire, sous le nom de matrice Cabibbo-Kobayachi-Maskawa (ou matrice CKM des initiales des trois chercheurs). Or le vrai père de la découverte, le Pr. Nicola Cabibbo, n’a pas même été mentionné.

    Roberto Petronzio, président de l’Institut national de Physique nucléaire d’Italie, Luciano Maiani, président du Conseil national de la Recherche, Enzo Boschi, président de l’Institut national de Géophysique et de Volcanologie, figurent parmi les sommités qui ont souligné que le Nobel aurait dû revenir d’abord, voire exclusivement, à Nicola Cabibbo.

    Celui-ci, ancien professeur de physique des particules élémentaires à l’Université de Rome, a été président de l’Institut national de Physique nucléaire et de l’Agence de recherche et de développement (ENEA).

    Il est aussi, depuis 1993, président de… l’Académie pontificale des Sciences.

    Fabio Malaspina, enseignant en physique à l’Université européenne de Rome, se demande si l’exclusion de Cabibbo n’est pas due au fait qu’il est catholique : « Nous espérons qu’à l’avenir, le Comité rendra publiques les motivations de ce choix surprenant, autrement il amplifierait les rumeurs qui voient, après l’attribution du prix à Mère Teresa de Calcutta, les catholiques exclus a priori de la compétition ».

    A la question de savoir pourquoi les catholiques seraient victimes de discrimination, Malaspina a répondu : « L’attribution du prix à Cabibbo aurait peut-être mis sous un jour nouveau le fait que de nombreux croyants ont été de grands scientifiques et que la science et la foi ne s’opposent pas comme certains mathématiciens qui jouissent d’amples espaces dans les médias tentent de nous le faire croire. Peut-être et malheureusement sont-ce les mêmes attitudes mentales, les mêmes incrustations culturelles qui ont maintenu le Pape hors de “La Sapienza” et le physicien Cabibbo loin du prix Nobel. »

  • Nouvelle provocation anticatholique à Hanoï

    Contre la paroisse de Thai Ha. Récit complet sur Zenit.

  • Le vrai problème du « créationnisme »

    « "Cette influence croissante des idées créationnistes ne serait pas si grave si elle n'avait pas de répercussions politiques, remarque Olivier Boisseau. Mais dès lors qu'on fait accepter, d'une façon prétendument scientifique, l'existence d'un concepteur à l'origine du monde, il devient facile d'appuyer des positions législatives très conservatrices, et de faire admettre certains comportements - l'homosexualité, la contraception, l'avortement - comme déviants." Sous ses aspects théoriques, le créationnisme constitue bel et bien un enjeu de société. Et plus encore lorsque celle-ci est en mal de repères. »

    Extrait de l’article Le créationnisme étend son influence en Europe, dans Le Monde du 18 novembre.

  • Le mois du cochon

     

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    Photo volée à François Desouche, qui montre qu’au mois de novembre on tue le cochon (portail de la collégiale Saint-Ursin à Bourges).

    « Tue ton cochon à la Saint-Martin, et invite ton voisin », dit le dicton.

    Mais la « fête du cochon » peut avoir lieu jusqu’au carême.

  • L'Église n'oublie pas les plus petits de ses enfants

    Extrait du discours de Benoît XVI aux participants au congrès organisé par le Conseil pontifical pour la pastorale des services de la santé, sur le thème: "La pastorale dans le soin des enfants malades", le 15 novembre.

    "Maxima debetur puero reverentia" (Juvénal, Satire xiv, v. 479) : les anciens reconnaissaient déjà l'importance de respecter l'enfant, don et bien précieux pour la société, auquel doit être reconnue la dignité humaine, qu'il possède déjà pleinement depuis que, non encore né, il se trouve dans le sein maternel. Tout être humain a une valeur en soi parce que créé à l'image de Dieu, aux yeux de qui il est d'autant plus précieux qu'il apparaît plus faible au regard de l'homme. Que d'amour doit-on mettre alors dans l'accueil d'un enfant non encore né et déjà affecté de pathologies médicales! "Sinite parvulos venire ad me", dit Jésus dans l'Evangile (cf. Mc 10, 14), en nous montrant quelle devrait être l'attitude de respect et d'accueil avec lequel prendre soin de tout enfant, en particulier quand il est faible et en difficulté, quand il souffre et qu'il est sans défense. Je pense en particulier aux petits orphelins ou aux enfants abandonnés à cause de la pauvreté et de la désagrégation familiale; je pense aux enfants victimes innocentes du sida ou de la guerre et de si nombreux conflits armés en cours dans diverses parties du monde; je pense à l'enfance qui meurt à cause de la misère, de la sécheresse et de la faim. L'Église n'oublie pas les plus petits de ses enfants et si, d'un côté, elle se félicite des initiatives des nations les plus riches pour améliorer les conditions de leur développement, de l'autre, elle ressent avec force le devoir d'inviter à prêter une plus grande attention à nos frères, pour que, grâce à notre solidarité concertée, ils puissent regarder la vie avec confiance et espérance.

  • Sainte Elisabeth de Hongrie

    Sainte "européenne", Elisabeth naquit dans un contexte social de récente évangélisation. André et Gertrude, les parents de cet authentique joyau de la nouvelle Hongrie chrétienne, se soucièrent de la former à la conscience de sa dignité de fille adoptive de Dieu. Elisabeth fit sien le programme de Jésus Christ, Fils de Dieu, qui, en se faisant homme, "s'anéantit lui-même, prenant condition d'esclave" (Ph 2, 7). Grâce à l'aide de maîtres excellents, elle se plaça sur les traces de saint François d'Assise, en se proposant comme finalité personnelle et ultime de conformer son existence à celle du Christ, unique Rédempteur de l'homme.

    Appelée à être l'épouse du Landgrave de Thuringe, elle ne cessa de se consacrer au soin des pauvres, dans lesquels elle reconnaissait les traits du Maître divin. Elle sut unir les dons d'épouse et de mère exemplaire à l'exercice des vertus évangéliques, apprises à l'école du saint d'Assise. Elle se révéla une véritable fille de l'Eglise, en offrant un témoignage concret, visible et significatif de la charité du Christ. D'innombrables personnes, au cours des siècles, ont suivi son exemple, en la considérant comme un modèle du reflet des vertus chrétiennes, vécues de manière radicale dans le mariage, dans la famille et même dans le veuvage. C'est à elle que se sont inspirées également des personnalités politiques, en y puisant une incitation à œuvrer à la réconciliation entre les peuples.

    L'année internationale d'Elisabeth, qui a commencé à Rome le 17 novembre dernier, suscite de nouveaux élans pour mieux comprendre la spiritualité de cette fille de la Pannonie, qui rappelle aujourd'hui encore à ses concitoyens et aux habitants du Continent européen l'importance des valeurs impérissables de l'Evangile.

    Monsieur le Cardinal, je forme des vœux fervents afin que la connaissance approfondie de la personnalité et de l'œuvre d'Elisabeth de Thuringe puisse aider à redécouvrir avec une conscience toujours plus vive les racines chrétiennes de la Hongrie et de l'Europe elle-même, en invitant les responsables à développer de manière harmonieuse et respectueuse le dialogue entre l'Eglise et les sociétés civiles, pour construire un monde réellement libre et solidaire. Puisse l'année internationale d'Elisabeth constituer pour les Hongrois, les Allemands et pour tous les Européens, une occasion plus que jamais propice pour souligner l'héritage chrétien reçu par les pères, afin de continuer de puiser à ces racines la sève nécessaire pour une abondante fructification du nouveau millénaire qui vient de commencer.

    Lettre de Benoît XVI au cardinal Erdö, primat de Hongrie, pour le septième centenaire de la naissance de sainte Elisabeth, le 27 mai 2007.

  • Les chiffres de la délinquance

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Une fois de plus, l’Observatoire national de la délinquance contredit les chiffres optimistes du gouvernement.

    Non seulement il n’y a pas eu en 2007 la « première baisse de la délinquance depuis dix ans », mais il y a eu plus de 200.000 faits de délinquance en plus.

    En outre, l’Observatoire constate que l’INSEE a recensé 1,4 million de faits de violence, alors que seulement 273.000 sont entrés dans les statistiques.

    Quant au nombre des cambriolages, l’Observatoire en a recensé 240.000, et non 150.000.

    M. Alain Bauer, qui a été nommé à la tête de cet organisme par M. Sarkozy, peut toujours souligner que ses enquêtes sont « complémentaires » des statistiques officielles, chacun voit qu’elles en sont un cinglant démenti.

  • Comique ?

    Benoît Poelvoorde a été admis lundi soir dans une unité psychiatrique d'un hôpital de Namur. La police a précisé sur RTL-Télévision mardi que l'acteur belge âgé de 45 ans a été impliqué dans un accident de la circulation dimanche impliquant trois autres véhicules avant de demander à être interné pour recevoir des soins. Selon plusieurs médias belges, Poelvoorde souffre d'une profonde dépression. (AP)

    Les comiques ne sont pas toujours drôles. Surtout ceux qui le sont vraiment.