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  • Ingérences

    Des violences ont émaillé les élections législatives, dimanche, en Macédoine, dans 30 bureaux de vote (soit 1,5% du nombre total).

    Dès dimanche soir, alors que la Macédoine ne fait pas partie de l’Union européenne, la Commission européenne a manifesté sa préoccupation, et Javier Solana a demandé au gouvernement macédonien d’organiser un nouveau scrutin là où les incidents ont eu lieu.

    Le Premier ministre a dit que bien entendu il en serait ainsi, car la Macédoine va « montrer qu’elle peut organiser des élections libres, démocratiques et honnêtes dans tous ses bureaux de vote et qu’elle mérite de poursuivre sa voie » vers l’intégration à l’OTAN et à l’Union européenne.

    C’est bien, comme ça, messieurs nos maîtres ?

    Mais non. Le lendemain, l’OSCE donnait de la voix, conjointement avec le chef de la délégation de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, pour stigmatiser la Macédoine qui ne respecte pas les normes internationales...

    Et les Etats-Unis se sont mis de la partie, appelant le gouvernement de Macédoine à organiser de nouvelles élections dans les districts où elles ont été perturbées. Alors que le Premier ministre l’avait annoncé 24 heures plus tôt... Mais il fallait que le gendarme du monde fasse aussi les gros yeux...

  • TVA sur les carburants : Sarkozy essuie une fin de non recevoir

    Les ministres des finances des Etats membres de la zone euro ont rejeté hier, sans surprise, la proposition de Nicolas Sarkozy de plafonner la TVA sur les carburants. « Il ne saurait être question de mettre en place face à la flambée des prix pétroliers des contre-mesures fiscales d’ordre général », a déclaré, à l’issue de la réunion, le président de l’Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, qui a rappelé qu’il s’agissait d’une décision prise en 2005 et qui avait donc valeur de dogme intangible...

    « Ce refus méprisant des européistes, l'impossibilité pour la France de manœuvrer seule pour son propre bien, constituent un signal d'alarme supplémentaire pour nos concitoyens afin qu'ils comprennent dans quelle voie cette Europe-là nous mène », commente Jean-Marie Le Pen dans un communiqué. « Seul le Front National a su dénoncer cette Europe antidémocratique. Il est urgent que les Etats retrouvent leur souveraineté au sein d'une Europe des nations libres afin de jouer au mieux dans l'intérêt de leurs peuples face aux terribles excès de la mondialisation ultralibérale. »

  • Le bain de foule impossible

    Lors de la conférence de presse qu’il a tenue à l’issue du conseil national du Front national, samedi à Rueil-Malmaison, Jean-Marie Le Pen a illustré le fait que l’illusion Sarkozy a disparu en faisant remarquer que, compte tenu de l’évolution du climat social, il allait être désormais quasiment impossible au président de la République de se livrer au « bain de foule » qui est une caractéristique de sa fonction.

    En attendant, il se trouve que, dès lundi, François Fillon a expérimenté ce que Jean-Marie Le Pen annonçait. La visite du Premier ministre et du ministre de l’Education dans un lycée parisien a été l’occasion d’une violente manifestation. C’était une première...

  • Rachida mange son chapeau

    Rachida Dati a mangé son chapeau (on ne sait pas si c’est un Dior, ou un YSL en hommage au cher disparu). Après avoir justifié le jugement de Lille, voilà qu’elle demande au parquet d’interjeter appel. Il est vrai qu’elle était quelque peu isolée face à la meute des bonnes consciences droits-de-l’hommesques, qui n’ont pas compris sa bienveillance islamique.

    Rachida Dati n’avait pas craint de dire que la justice est là pour protéger les plus vulnérables, à savoir la jeune femme. C’était une inversion patente du rôle de la justice : la justice est là pour protéger le plaignant face à celui qui lui a fait du tort. Elle protège le volé, pas le voleur. Or, ici, la personne qui se dit lésée est le mari, et la personne qui lui a fait du tort est la femme. Si le jugement de Lille a été rendu, contrairement à la mission de la justice, pour protéger celle qui est dans son tort, c’est parce qu’en donnant raison au mari la justice empêche celui-ci (voire la famille de la jeune femme) d’exercer des représailles, de commettre un « crime d’honneur ». Ce qui est une preuve flagrante que le jugement a été rendu selon la loi islamique et non selon la loi française.

    Face au tollé, et sans aucun doute sous la pression de Nicolas Sarkozy, Rachida Dati effectue donc un virage à 180 degrés.

    Nombre de juristes doutent que cet appel soit recevable en une telle matière, et compte tenu que le jugement était définitif. Ce qui aurait été à coup sûr recevable eût été une demande de pourvoi en cassation dans l’intérêt de la justice (qui a été suggéré hier par François Fillon) et qui aurait donné l’occasion à la Cour de cassation de préciser la jurisprudence. Mais ce pourvoi est impossible parce que le délai est d’un mois après la notification du jugement aux parties (qui a eu lieu le 1er avril). En revanche, pour l’appel, il n’y a en fait pas de délai : le délai est d’un mois à partir de la notification du jugement au parquet par les parties, et les parties n’ont certainement pas fait cette démarche jusqu’à ce jour.

    Maintenant, si l’appel est recevable, la suite ne va pas être triste. Compte tenu de la pression politico-médiatique, les magistrats n’auront pas d’autre choix que d’annuler le jugement de première instance. Ce leur sera d’autant plus facile qu’ils jugeront ainsi selon la tradition du droit français. Ainsi le musulman et sa femme répudiée seront de nouveau mariés. Le musulman se pourvoira-t-il en cassation, grâce à l’aide généreuse des lobbies laïcistes droits-de-l’hommesques? Ou bien décidera-t-il de divorcer ? Mais que va dire la jeune femme qui, renvoyée chez ses parents comme un traînée, était prétendument d’accord avec la procédure de nullité ? Le suspense est insoutenable...

  • Miserere mei, Deus

    Miserere mei, Deus, miserere mei, quoniam in te confidit anima mea.
    Et in umbra alarum tuarum sperabo, donec transeat iniquitas.
    Clamabo ad Deum altissimum, Deum qui benefecit mihi.
    Misit de cælo, et liberavit me ; dedit in opprobrium conculcantes me.
    Misit Deus misericordiam suam et veritatem suam, et eripuit animam meam de medio catulorum leonum. Dormivi conturbatus.
    Filii hominum dentes eorum arma et sagittæ, et lingua eorum gladius acutus.
    Exaltare super cælos, Deus, et in omnem terram gloria tua.
    Laqueum paraverunt pedibus meis, et incurvaverunt animam meam.
    Foderunt ante faciem meam foveam, et inciderunt in eam.
    Paratum cor meum, Deus, paratum cor meum ; cantabo, et psalmum dicam.
    Exsurge, gloria mea ; exsurge, psalterium et cithara : exsurgam diluculo.
    Confitebor tibi in populis, Domine, et psalmum dicam tibi in gentibus :
    Quoniam magnificata est usque ad cælos misericordia tua, et usque ad nubes veritas tua.
    Exaltare super cælos, Deus, et super omnem terram gloria tua.

    Aie pitié de moi, ô Dieu, aie pitié de moi, car mon âme a confiance en toi. Et j'espérerai à l'ombre de tes ailes, jusqu'à ce que l'iniquité ait passé.  Je crierai vers le Dieu très haut, le Dieu qui m'a fait du bien. Il a envoyé du Ciel son secours, et Il m'a délivré; Il a couvert d'opprobre ceux qui me foulaient aux pieds. Dieu a envoyé sa miséricorde et sa vérité, et il a arraché mon âme du milieu des petits des lions; j'ai dormi plein de trouble. Les enfants des hommes ont pour dents des armes et des flèches, et leur langue est un glaive acéré. Sois exalté au-dessus des cieux, ô Dieu, et que ta gloire brille par toute la terre. Ils ont préparé un filet pour mes pieds, et prêt, ô Dieu, mon cœur est prêt ; je chanterai, et je psalmodierai. Lève-toi, ma gloire ; levez-vous, mon luth et ma harpe; je me lèverai dès l'aurore. Je te célébrerai, Seigneur, au milieu des peuples, et je te chanterai parmi les nations. Car ta miséricorde s'est élevée jusqu'aux cieux, et ta vérité jusqu'aux nues. Sois exalté, ô Dieu, au-dessus des cieux, et que ta gloire brille par toute la terre.

    Psaume 56

  • La visite d’Yves Jégo en Nouvelle Calédonie

    Communiqué de Bernard Antony, président du Mouvement du Pays Libre

    Le secrétaire d’Etat préposé à l’Outre-Mer, Yves Jégo, est allé en Nouvelle Calédonie confirmer que les accords de Matignon (1988) et de Nouméa (1998) seraient appliqués. Ces accords, faut-il le rappeler, font la part belle au FLNKS fondé par Jean-Marie Tjibaou lui-même assassiné par un de ses rivaux indépendantistes.

    En revanche, il n’est pas allé se recueillir à la grotte d’Ouvéa où furent impitoyablement massacrés par les sbires de Tjibaou quatorze gendarmes français.

    On mesure ainsi le mépris de mémoire dans lequel un membre du gouvernement tient le sacrifice des militaires envoyés dans une mission impossible par un gouvernement irresponsable.

  • Profanations de tombes chrétiennes : l’insupportable silence des autorités

    Communiqué de Louis Aliot, secrétaire général du FN

    246 tombes du cimetière d’Elne dans les Pyrénées-Orientales ont été profanées dans la nuit du 31 mai. Ces nouvelles violations de sépultures font suite à la profanation quelques jours plus tôt de croix et de stèles des cimetières catholiques d’Ottange en Moselle et de Marville dans la Meuse.

    Ces multiplications de dégradations de lieux de culte chrétiens se font dans l’indifférence des autorités et de la classe politique, qui ne manquent pourtant jamais de marquer, à juste titre, leur indignation quand les cibles des profanateurs sont des cimetières juifs ou musulmans.

    Louis Aliot, Secrétaire général du Front National et conseiller municipal de Perpignan, dénonce l’insupportable silence des autorités et des professionnels de l’indignation sélective et enjoint le gouvernement à faire preuve de la plus extrême fermeté face aux profanations de cimetières chrétiens.

  • Les profanations d’Elne

    Communiqué de Bernard Antony, président de l’AGRIF

    L’immense profanation de 250 tombes au cimetière d’Elne dans les Pyrénées-Orientales marque un degré supplémentaire dans le développement de l’hystérie satanique antichrétienne encouragée par toute une culture de mort développée notamment dans des expositions de ce que l’on appelle « l’art contemporain ».

    L’AGRIF s’est naturellement d’ores et déjà portée partie civile dans cette affaire et l’a confiée à son avocat régional, Maître Bonneau.

  • Saints Marcellin et Pierre

    Pierre, exorciste, fut emprisonné à Rome, sous l'empire de Dioclétien, par le juge Sérénus, pour avoir professé la foi chrétienne. Il délivra des convulsions que lui donnait le démon Pauline, fille d'Artémius, geôlier de la prison. Les parents de la jeune fille, la famille tout entière et les voisins qui s'étaient rassemblés sur la nouveauté du fait, ayant embrassé le service de Jésus-Christ, Pierre les amena au prêtre Marcellin, qui leur donna le baptême à tous. Sérénus en ayant eu connaissance, fit comparaître devant lui Pierre et Marcellin, les reprit durement, et, pour les faire renoncer au Christ, il joignit à ses reproches la menace des supplices. Marcellin lui répondit avec une liberté chrétienne ; ce qui n'ayant pas convenu au juge, il fut accablé de coups de poings, séparé de Pierre, et enfermé nu, sans nourriture et sans lumière, dans un cachot jonché de fragments de verre. Quant à Pierre , ordre fut donné également de resserrer ses chaînes étroitement. Mais ces tourments ne faisant qu'accroître en tous deux la foi et le courage, ils persévérèrent dans leur confession ; condamnés à avoir la tête tranchée, ils rendirent ainsi à Jésus-Christ un illustre témoignage.

    (Légende du bréviaire)

  • 3e dimanche après la Pentecôte

    Protector in te sperantium, Deus, sine quo nihil est validum, nihil sanctum : multiplica super nos misericordiam tuam, ut te rectore, te duce, sic transeamus per bona temporalia ut non amittamus æterna. Per Dominum notrum Jesum Christum...

    Protecteur de ceux qui espèrent en vous, ô Dieu, sans qui rien n’est fort, rien n’est saint : multipliez envers nous votre miséricorde, afin que sous votre direction, sous votre conduite, nous puissions passer parmi les biens temporels sans perdre ceux de l’éternité. Par Notre Seigneur Jésus-Christ...