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Le blog d'Yves Daoudal - Page 775

  • Notre Dame de la Merci

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    C’était au temps où la plus vaste et la plus belle partie de l’Espagne était soumise au joug barbare des Sarrasins. D’innombrables fidèles, retenus dans une captivité douloureuse, étaient grandement exposés à renier la foi chrétienne et à compromettre leur salut éternel.

    La bienheureuse Reine du ciel, voulant apporter remède à des maux si grands et si nombreux, manifesta sa très ardente charité pour leur délivrance. Saint Pierre Nolasque, renommé par sa piété autant que par ses richesses, se livrait à de saintes méditations, et s’ingéniait sans cesse à découvrir comment il adoucirait les épreuves d’un si grand nombre de Chrétiens, soumis à la domination des Maures. La bienheureuse Vierge lui apparut elle-même avec un visage bienveillant et lui fit connaître combien il serait agréable à son Fils unique et à elle-même, s’il fondait en son honneur un Ordre religieux ayant pour but d’arracher les captifs à la tyrannie des Turcs. Encouragé par cette vision céleste, l’homme de Dieu sentit son cœur s’embraser d’une ardente charité ; il n’eut plus qu’un seul désir, celui de se livrer lui-même, et de consacrer l’Ordre qu’il instituerait, à la pratique de cet amour généreux par lequel chacun donnerait sa vie pour ses amis et son prochain.

    La même nuit, la très sainte Vierge apparut aussi au bienheureux Raymond de Peñafort et à Jacques, roi d’Aragon, leur donnant avis d’instituer un Ordre religieux, et leur persuadant de concourir par leur fortune à la fondation d’une si belle œuvre. Pierre accourut aussitôt se jeter aux genoux de Raymond, son confesseur, et lui fit tout connaître ; l’ayant trouvé instruit lui-même de toutes ces choses par la révélation céleste, il se soumit très humblement à sa direction. Le roi Jacques survenant, décida de mettre à exécution ce que la bienheureuse Vierge Marie lui avait également révélé.

    Après en avoir conféré entre eux, tous tombèrent d’accord, et entreprirent de fonder un institut en l’honneur de la Vierge Mère, sous le vocable de sainte Marie de la Merci ou de la rédemption des captifs. En conséquence, le dix du mois d’août, l’an du Seigneur mil deux cent dix-huit, le roi Jacques décréta l’établissement de cet institut, dont ces saints hommes avaient conçu le projet. Ceux qui voulaient en faire partie devaient s’engager, par un quatrième vœu. à rester comme otage au pouvoir des païens, si la délivrance des Chrétiens l’exigeait. Le roi leur concéda le privilège de porter sur la poitrine ses propres armes, et s’occupa de faire approuver par Grégoire IX un institut et des vœux de religion, inspirés par une si sublime charité envers le prochain.

    Dieu lui-même, par l’intermédiaire de la Vierge Mère, donna l’accroissement à cette œuvre, car elle se répandit avec beaucoup de rapidité et de succès sur toute la surface de la terre, et vit fleurir des héros de sainteté, des hommes d’une charité et d’une piété incomparables, se dévouant à recueillir les aumônes des Chrétiens pour racheter leurs frères, et à se donner souvent eux-mêmes comme rançon pour délivrer un grand nombre de captifs. Afin de rendre à Dieu et à la Vierge Mère de dignes actions de grâces pour un si grand bienfait et pour une institution si secourable, le Siège apostolique a permis de célébrer cette Fête particulière et de réciter cet Office, après avoir accordé à l’Ordre lui-même des privilèges presque sans nombre.

    (Bréviaire)

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    (Illustration: l'un des trois tableaux de Notre Dame de la Merci avec saint Pierre Nolasque et saint Raymond Nonnat, par José Gil de Castro, dit El Mulato Gil, et peintre des libertadores, Afro-péruvien ayant surtout vécu au Chili, vers 1814.)

  • 18e dimanche après la Pentecôte

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    Allelúia, allelúia. Timébunt gentes nomen tuum, Dómine, et omnes reges terræ glóriam tuam. Allelúia.

    Alléluia, alleluia. Les nations craindront votre nom, Seigneur, et tous les rois de la terre votre gloire. Alléluia.

    Ce bel alléluia qui célèbre le Christ Roi Pantocrator, avec de majestueux développements sur « nomen tuum » (qui reprend la fin du jubilus), « omnes reges terrae » et « gloriam tuam », est un exemple des modulations auxquelles se livre volontiers le plain chant. Cette pièce est indiquée du premier mode, mais tout le début et une partie de la suite est manifestement en sixième mode (qui a la même dominante en la). Et on passe en deuxième mode (relatif du premier), ce qui explique que la mélodie puisse descendre jusqu’au si, puis jusqu’au la, soit une quarte en dessous de la tonique théorique… qui s’impose à la fin.

    *

    Introït.

    • Evangile : 1, 2, 3.

    Offertoire.

    Communion.

  • Le Spiegel lâche François

    300.jpgC’est un événement. Der Spiegel est l’un des plus influents magazines de la gauche progressiste libérale. Il avait salué l’élection du « Pape François, le réactionnaire moderne », « le meilleur homme de Dieu ? » avec un point d’interrogation qui était purement rhétorique à l’époque mais qui prend aujourd’hui tout son sens, et le rédacteur en chef doit être fier de l’avoir voulu. Car à la question le magazine répond aujourd’hui par la négative, en 8 pages au vitriol, sous le titre : « Tu ne mentiras pas », sous-titre : « Le Pape et l'Église catholique traversent leur plus grande crise ».

    Il y est surtout question d’Argentins victimes d’abus sexuels de la part de prêtres qui ont été couverts par le cardinal Bergoglio, et qui continuent de l’être par François.

    Un avocat argentin de victimes évoque le cas du P. Julio César Grassi, emprisonné pour avoir violé des garçons âgés de 11 à 17 ans. Selon Gallego, le pape François avait été le confesseur de Grassi et avait commandé une étude juridique de 2.600 pages pour défendre Grassi et « pour criminaliser les victimes », selon les termes du Spiegel. « En 2006, j'ai eu une conversation avec Bergoglio, explique Gallego. Il était renfermé et méfiant, il n’a pas dit un mot sur le fait que l’Eglise avait payé les avocats de Grassi. L'image actuelle d'un Pape François ouvert et sympathique ne correspond pas à l'homme que j'avais assis devant moi. »

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  • Un inédit de Mgr Wojtyła

    a12193f6-kazanie-na-areopagu.jpgUn livre inédit de Karol Wojtyła va être publié en Pologne le 3 octobre, quelques jours avant le 40e anniversaire de son élection au siège de Pierre.

    Le titre : Un sermon à l’Aréopage. Le texte a été récemment découvert dans les archives de l’archevêché de Cracovie, sous deux formes : manuscrite et dactylographiée, présenté de façon à être publié. Mais il ne l’a jamais été.

    Fin 1963, se rendant en pèlerinage en Terre Sainte en compagnie d’autres participants au concile, Mgr Wojtyła, qui était évêque auxiliaire de Cracovie et allait devenir en janvier 1964 le premier archevêque de Cracovie depuis… la mort du cardinal Sapieha en 1951, s’était longuement arrêté à Athènes, sur la colline de l’Aréopage, où saint Paul avait tenu un fameux discours. En 1965, ou au début de 1966, il écrira 13 méditations sur le discours de saint Paul.

    « Sans aucun doute, cette catéchèse sera un outil précieux non seulement pour penser la foi, mais aussi pour la transmettre à un moment où Dieu redevient pour beaucoup “un Dieu inconnu” », écrit le P. Robert Woźniak dans son introduction théologique. C’est « un guide pratique qui nous apprend à parler de Dieu aujourd’hui ».

  • Mgr Chaput élève la voix

    Mgr Charles J. Chaput, archevêque de Philadelphie, membre du conseil permanent du synode des évêques, a demandé publiquement au pape, fin août, qu’il annule le synode sur la jeunesse, qui ne serait pas crédible dans le contexte actuel, et que soit organisé à la place un synode sur l’épiscopat.

    Demande restée évidemment sans réponse, puisque le pape est muet quand on lui pose des questions qui ne lui plaisent pas.

    Alors Mgr Chaput publie sa critique théologique sans concession de l’Instrumentum laboris du synode sur la jeunesse. En cinq points : naturalisme, compréhension inadéquate de l’autorité spirituelle de l’Eglise, anthropologie théologique partielle, conception relativiste de la vocation, compréhension appauvrie de la joie chrétienne. Cela vaut véritablement la peine d’être lu intégralement. Il n’est pas besoin d’être grand clerc pour le comprendre, ni pour voir qu’à chaque paragraphe ce que critique Mgr Chaput se trouve aussi dans tel ou tel discours ou enseignement du pape régnant…

  • Entre gens du monde

    Le cardinal Tobin, archevêque de Newark, invité par son ami François à participer au synode sur les jeunes, a décidé de ne pas y aller, étant retenu dans son diocèse par les scandales sexuels que l’on sait (Newark fut le diocèse de Tonton Ted McCarrick).

    Il a écrit à ses ouailles une lettre empreinte de l’exquise délicatesse et onction ecclésiastique :

    Après les révélations de l'été passé, je ne me vois pas être absent pendant un mois de notre archidiocèse et de vous, les personnes qui m'ont été confiées. Après prière et consultation, j'ai écrit au pape François pour lui demander de me dispenser d'y assister mais en l'assurant que je soutiens fermement les objectifs du synode et que j'obéirai à tout ce qu'il décidera. Le Saint-Père a répondu le lendemain avec un beau message pastoral et compatissant. Il m'a dit comprendre pourquoi je devais rester près de chez moi et il m'a libéré de l'obligation d'assister au Synode le mois prochain.

  • Mariage TGV

    François a béni un nouveau mariage à très grande vitesse. Cette fois ce n’était pas dans l’avion, mais à Sainte-Marthe. Les heureux époux sont un couple d’Uruguayens mariés civilement depuis 24 ans mais qui, comme ceux de l’avion, n’avaient pas encore trouvé le temps de réaliser leur « rêve » d’un mariage à l’église...

    Après une absolution collective sans confession a été célébré le mariage proprement dit, qui a duré une minute trente.

    Il convient de remarquer que ce mariage vient à la suite d’une pluie de miracles réalisés par François. L’une des cinq filles du couple a été guérie par de l’eau bénite par François. La mère décide alors d’aller à Rome remercier le pape, et elle revient avec un nouveau flacon. Elle distribue l’eau bénite, et toutes les personnes qui en ont reçu ont également bénéficié d’un miracle éclatant. D’où le nouveau voyage à Rome, et le miracle du mariage express…

    Non, hélas, ce n’est pas une blague.

  • L’accord secret

    Un communiqué du Saint-Siège nous apprend que Mgr Antoine Camilleri, sous-secrétaire pour les Rapports du Saint-Siège avec les États, et Wang Chao, vice-ministre des Affaires étrangères de la République populaire de Chine, respectivement chefs des délégations vaticane et chinoise, se sont rencontrés ce 22 septembre 2018 à Pékin, et ont signé un « accord provisoire sur la nomination des évêques ».

    On n’en saura pas plus. Le communiqué ne donne aucune indication, même vague, sur ce contient cet accord.

    A quoi sert de claironner qu’il y a un accord si l’on tient secrètes les dispositions de cet accord ?

    La première réaction est évidemment de se dire que les dispositions sont tellement honteuses qu’on ne veut pas les divulguer.

    Or il est vraisemblable que l’accord dispose que la Chine communiste reconnaît le pape comme le chef de l’Eglise même en Chine, mais que l’Eglise reconnaît au gouvernement communiste chinois le droit de nommer les évêques. Autrement dit l’Eglise catholique véritable doit disparaître au profit de l’Eglise officielle, l’Association patriotique des catholiques de Chine pilotée par le parti communiste.

    Dès jeudi le cardinal Zen, dans une interview à l’agence Reuters, a souligné que l’accord qui allait être conclu était un « arrangement secret » et que lui-même était « complètement dans le noir ». Toutefois il affirme que l’accord est bien celui que l’on prévoyait. Il ajoute que le Vatican a accepté de reconnaître sept évêques schismatiques de l’Eglise officielle, et de retirer deux évêques légitimes au profit de deux évêques du régime (comme cela se profilait il y a déjà un an).

    « Ils jettent le troupeau dans la gueule des loups. C’est une trahison incroyable, dit le cardinal Zen. Les conséquences seront tragiques et durables, non seulement pour l'Eglise en Chine, mais pour toute l'Eglise, car cela nuit à sa crédibilité. C’est peut-être pourquoi il est possible qu’ils gardent cet accord secret. »

    L’accord a été conclu sous la houlette du cardinal Parolin, le secrétaire d’Etat. « Il doit démissionner », dit le cardinal Zen, pour qui le cardinal Parolin méprise les héros de la foi. « Je ne pense pas qu’il ait la foi, ajoute-t-il. C’est juste un bon diplomate dans un sens très laïque, mondain. »

    Addendum

    Nouveau communiqué: “Afin de soutenir l’annonce de l’Evangile en Chine, le Saint-Père François a décidé de réadmettre dans la pleine communion ecclésiale les derniers évêques ‘officiels’ ordonnés sans mandat pontifical.”

    Bref, les sept évêques schismatiques dépendant du parti communiste deviennent des évêques catholiques sans aucun geste de leur part. Ce qui est un énorme scandale.

  • Samedi des quatre temps de septembre

    A l’attention de ceux qui inventent des jours de jeûne, voici les oraisons qu'ils ont supprimées de ce jour qu’ils ont supprimé :

    Omnípotens sempitérne Deus, qui per continéntiam salutárem corpóribus medéris et méntibus : majestátem tuam súpplices exorámus ; ut, pia jejunántium deprecatióne placátus, et præséntia nobis subsídia tríbuas et futúra. Per Dóminum.

    Dieu tout-puissant et éternel, qui guérissez les corps et les âmes par le remède salutaire de l’abstinence, nous supplions humblement votre majesté, afin qu’apaisé par la prière pieuse de ceux qui jeûnent, vous nous donniez des secours pour le présent et pour l’avenir.

    Da nobis, quǽsumus, omnípotens Deus : ut, jejunándo, tua grátia satiémur ; et, abstinéndo, cunctis efficiámur hóstibus fortióres. Per Dóminum.

    Donnez-nous, s’il vous plaît, Dieu tout-puissant, qu’en jeûnant nous soyons soutenus de votre grâce et qu’en pratiquant l’abstinence nous devenions plus forts que tous nos ennemis.

    Tuére, quǽsumus, Dómine, fámiliam tuam : ut salútis ætérnæ remédia, quæ te inspiránte requírimus, te largiénte consequámur. Per Dóminum nostrum.

    Nous vous en supplions, Seigneur, protégez votre famille en sorte que les remèdes disposant du salut éternel, que nous recherchons sous votre inspiration, nous les obtenions grâce à votre libéralité.

    Præsta, quǽsumus, Dómine, sic nos ab épulis abstinére carnálibus : ut a vítiis irruéntibus páriter jejunémus. Per Dóminum.

    Faites, nous vous en supplions, Seigneur, que comme nous nous abstenons de prendre des viandes en nos repas, nous nous abstenions également de consentir aux assauts des vices.

    Ut nobis, Dómine, tríbuis sollémne tibi deférre jejúnium : sic nobis, quǽsumus, indulgéntiæ præsta subsídium. Per Dóminum.

    Comme vous nous donnez de vous faire l’hommage d’un jeûne solennel, ainsi accordez-nous, nous vous en supplions, Seigneur, le secours de votre indulgence.

    Deus, qui tribus púeris mitigásti flammas ígnium : concéde propítius ; ut nos fámulos tuos non exúrat flamma vitiórum. Per Dóminum.

    Dieu, qui pour les trois jeunes gens avez adouci les flammes du brasier, nous vous en prions : ne laissez pas le feu des passions dévorer vos serviteurs.

  • Une conversion qui ne passe pas inaperçue

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    Bill Hayden fut le président du parti travailliste australien de 1977 à 1983, puis ministre des Affaires étrangères et du commerce entre 1983 et 1988, date à laquelle il devint gouverneur général, c’est-à-dire représentant de la reine d’Angleterre.

    Il était connu comme athée, et en 1996 il reçut le titre de « humaniste australien de l’année », décerné par le Conseil des associations humanistes australiennes, qui « n’est pas théiste ».

    Bill Hayden, qui a aujourd’hui 85 ans, s’est fait baptiser le 9 septembre dernier en l’église Notre-Dame d’Ipswich, près de Brisbane.

    « Il y avait une douleur qui me rongeait l’âme et le cœur à propos du sens de la vie, dit-il. Quel était mon rôle dans tout cela ? Je ne pouvais pas accepter que l’existence humaine soit autosuffisante et isolée. »

    En 2014 il eut une attaque cardiaque qui le fit réfléchir davantage encore. Il se souvenait des ursulines de son école primaire, qui étaient des religieuses exemplaires. Le déclic s’est finalement produit lorsqu’il a rendu visite à sœur Angela-Marie, une religieuse qu’il connaissait depuis longtemps. Elle avait été 22 ans administratrice de l’hôpital Mater (misericordiae) de Brisbane, et Bill Hayden avait la plus grande admiration pour son action. Sœur Angela-Marie, 93 ans, était hospitalisée. Bill Hayden lui rendit visite et, le lendemain, il se réveilla « avec le clair sentiment d’avoir été en présence d’une sainte ». Après avoir retourné toute cela dans son esprit il a « trouvé le chemin vers le cœur de ces croyances : l’Eglise ». Sœur Angela-Marie était présente au baptême.

    Il dit qu’il veut servir l’Eglise, « mieux comprendre la théologie en lisant la Bible » et prendre part aux activités de la Société Saint Vincent de Paul.

    Il souhaite que son baptême, manifestation de sa foi, aide ceux qui sont attristés par la crise actuelle à voir l’importance de l’Eglise avec des yeux neufs : « Les problèmes sont causés par des agents humains de l’Eglise, et nous ne devons pas laisser notre foi être minée par l’action d’agents qui ne sont pas aussi bons qu’ils devraient l’être. »

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