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Religion - Page 51

  • Chrétienté-Solidarité au Liban

    (Communiqué de Chrétienté-Solidarité)

    Bernard Antony a conduit au Liban, du 3 au 10 septembre, un groupe d’une quinzaine d’amis dont deux prêtres, afin de manifester une fois encore l’amitié française et catholique pour ce pays meurtri.

    Ils ont rencontré de nombreux dignitaires religieux, évêques et supérieurs de couvents, maronites ou melchites (rite grec-catholique) et notamment l’archevêque maronite de Beyrouth, Mgr Matar.

    426d17b8383a58ef90494e852a0226b4.jpgA Zahlé, ville importante de la Bekaa , de population entièrement melchite, ils ont été reçus par les dignitaires religieux, les élus locaux et les députés. Ils ont apporté les livres pour la bibliothèque française que l’on met en place dans le plus grand collège de la ville.

    Cela a donné lieu à une très émouvante réunion au cours de laquelle Bernard Antony a pris la parole, devant une grande assistance, rappelant combien l’humanité devait aux Phéniciens d’avoir donné l’alphabet d’où dérivent notamment l’alphabet hébreu, arabe, grec et latin ; de nous avoir donné le livre comme le rappelle le nom de la ville de Byblos.

    En cette occasion, leurs amis de Zahlé, Névine et Carlos Chahine Hajj, grands érudits de la culture orientale, ont évoqué admirablement les liens de leur ville avec le Père Emmanuel du Mesnil-Saint-Loup, inspirateur des frères Henri et André Charlier.

    Dans la région de Beyrouth, ils ont été reçus pour d’émouvants entretiens par les dirigeants des forces politiques nationales et chrétiennes qui refusent la mainmise irano-syrienne sur le Liban et ne plient pas malgré les assassinats du terrorisme.

    ed5261df5f8d5ce8993fdb97d52a9953.jpgIls ont écouté Samir Geagea, l’indomptable chef du Mouvement des Forces libanaises, ami de Bernard Antony depuis 1984, évoquant sans amertume et sans haine ses onze années de détention solitaire, privé de la lumière du soleil, dans une cellule ou plutôt une cage d’un deuxième sous-sol, mais vivant comme un ermite dans la luminosité de Dieu.

    La même émotion les a étreints lors des réceptions dans les demeures des deux branches de la famille Gemayel.

    a185db88aa4c3af3e6fe713fbd89c087.jpgSolange Gemayel, députée au Parlement, les a reçus comme de coutume avec une infinie gentillesse n’ayant d’égale que la détermination et le courage dont elle continue à faire preuve. Elle a, rappelons-le, perdu d’abord dans un attentat le 23 février 1980 sa petite fille âgée de trois ans, Maya, puis, deux ans plus tard son mari, Bechir Gemayel, qui venait d’être élu président de la république. Avec ses deux autres enfants Youmna et Nadim, elle a vigoureusement et longuement exprimé au groupe de Chrétienté-Solidarité leur volonté de continuer la lutte pour leur patrie et pour leur foi, alors que de graves menaces pèsent sur eux.

    Tout près de là, ils ont rencontré ensuite Amine Gemayel qui succéda à son frère Bechir à la présidence de la république et qui, l’an passé, a perdu son fils Pierre, député à la pointe du combat pour l’indépendance du Liban face à la Syrie, lui aussi assassiné. Amine Gemayel, à l’évidence miné par le chagrin, continue cependant à agir. Mais son fils Sami a repris le flambeau de Pierre et a subjugué le groupe par un exposé d’une grande clarté sur la politique qu’il entend impulser dans le parti Kataëb où il œuvre désormais, à son tour, au premier rang. Il a notamment développé sa vision très réaliste d’un Liban uni mais décentralisé en cantons chrétiens, druzes, musulmans bénéficiant d’une large autonomie.

    Dans une conversation particulière qui a suivi, Bernard Antony et Sami Gemayel ont défini les lignes d’une coopération militante.   

    L’audience accordée par Mgr Matar, ayant perdu jadis son frère et des proches dans les terribles massacres de Damour perpétrés par les Palestiniens qui entendaient s’emparer du Liban, a également été un moment de grande écoute. Rayonnant de foi, mais aussi à l’évidence un homme de très grande culture littéraire, historique et politique, l’archevêque de Beyrouth leur a exposé les difficultés de la mission des évêques pour que survive le Liban chrétien.

    f5cbc70b2cbe2ef48be0e7617e153f7b.jpgGrâce à d’influents amis dans l’armée libanaise, le groupe admirablement escorté a pu visiter le sud du pays, longeant longuement la frontière israélienne, autorisé même à accéder au légendaire château de Beaufort, ancienne forteresse des croisés mais toujours haut lieu stratégique majeur et enjeu de maints combats aux confins des frontières du Liban, de la Syrie et d’Israël, dominant la Galilée israélienne et aujourd’hui enfin tenu par l’armée nationale libanaise.

    En cette région dominée par le Hezbollah, Bernard Antony a eu la surprise de découvrir que presque rien ne subsistait des destructions causées par la guerre de 2006 avec Israël. Tout semble avoir été reconstruit.

    Enfin, à la vue des milliers de villas, souvent de véritables palais, que l’on continue à construire au fil des années, éclate la réalité de l’immense richesse financière de la bourgeoisie chiite.

    Ceux qui en cette occasion découvraient pour la première fois le Liban ont pu ainsi à leur tour mesurer l’étendue de la désinformation dans certains médias où l’on continue à perpétrer le mensonge, opposant la richesse chrétienne à la pauvreté musulmane. La vérité est que l’argent du pétrole coule à flots dans l’islam libanais, qu’il soit sunnite ou chiite, et que la misère, certes réelle, de certains quartiers musulmans de Beyrouth  ne s’explique que par l’égoïsme et des carences sociales.

    Le groupe de Bernard Antony a pu au contraire vérifier l’effort social immense en faveur des plus démunis, pour la scolarité des enfants, pour la santé, pour l’emploi, soutenu par les Eglises chrétiennes du Liban et notamment par les Maronites et les Melchites.

    Il a pu encore observer, comme en octobre dernier, la manière admirable dont les soldats français, sous l’égide de la FINUL , n’en œuvrent pas moins dans le cadre d’une mission floue et même quasi impossible, pour l’honneur de la France.

    Au final, Chrétienté-Solidarité, dont une grande partie du voyage a été rendu possible par le R.P. Naoum Atallah, ancien supérieur général des Pères lazaristes au Moyen-Orient, ami depuis très longtemps de Bernard Antony , prêtre débordant d’une extraordinaire vitalité au service de la charité, a conclu avec ce dernier un nouvel accord d’assistance pour des enfants en difficulté.

    Chrétienté-Solidarité entend ainsi, comme par le passé, œuvrer modestement mais concrètement pour le dernier pays d’Orient où les chrétiens n’ont pas été anéantis comme en Turquie, ou réduits en dhimmitude comme en Egypte ou en Syrie.

    Chrétienté-Solidarité obéit ainsi avec ferveur aux appels de Benoît XVI pour que survive en Orient un espace de liberté chrétienne et pour que l’on continue à requérir de l’islam le principe de réciprocité.

    Mgr Matar demande ainsi, comme Chrétienté-Solidarité, des églises en Arabie saoudite pour les centaines de milliers d’immigrés chrétiens qui risquent leur vie pour le port d’une croix ou pour la simple organisation d’une réunion de prière.

  • Provocation blasphématoire

    ab1be306423040a0ff4c74109358fd78.jpg« Pendentif squelette et couronne sur chaîne argent, perle d'eau douce et ruban satin. Fermoir. »

    Cela s’appelle CORPUS CHRISTI, c’est en vente à La Redoute. 90 euros, prix vert.

    (via le Forum catholique et le Salon beige)

  • Ignoble blasphème

    Alain Escada (Belgique et Chrétienté) alerte les chrétiens (et tous ceux qui ont encore un peu de respect pour la religion) : la campagne de rentrée de la chaîne belge Plug TV (RTL Group) destinée aux jeunes est un ignoble blasphème, autour d’un Christ hirsute et ventripotent, dansant et éructant, entouré de jeunes femmes lascives et cornues. C'est intitulé "Une rentrée d'enfer"... Des spots publicitaires sont prévus sur toutes les chaînes du groupe et dans les cinémas. La présentation du site internet de la chaîne est entièrement axée sur cette campagne. C’est à vomir.

    Addendum 12 septembre. Suite à la protestation de Belgique et Chrétienté, le jury d'éthique publicitaire a réagi (mollement): "Le Jury a estimé que la manière dont les symboles religieux (personnage de Jésus, signe de croix….) sont utilisés et ce à des fins commerciales ne témoigne pas de bon goût. Pareille forme de communication pouvant provoquer des réactions négatives auprès d’une partie du public, il a estimé devoir formuler un avis de réserve, conformément à l’article 4 de son règlement."

    Belgique et Chrétienté continue naturellement de réclamer la suppression de cette campagne.

  • Les chrétiens en Erythrée

    Selon La Voix des martyrs, l’organisation qui fut créée par le pasteur Wurmbrand, une femme érythréenne de 33 ans, Migsti Haile, a été torturée à mort pour avoir refusé de renier sa foi chrétienne, après avoir passé 18 mois en prison. Elle est la quatrième personne tuée pour sa foi cette année en Erythrée.

    En mai 2002, le gouvernement communiste a interdit toute manifestation publique aux églises évangéliques. Seules les « religions historiques » sont autorisées à avoir un culte public : l’Eglise orthodoxe d’Erythrée, l’Eglise catholique, l’Eglise évangélique luthérienne d’Erythrée, et l’islam.

    Plus de 2.000 chrétiens seraient emprisonnés, sans inculpation ni procès.

    Les protestants évangéliques sont souvent mis hors la loi (le cas du Laos a été récemment évoqué) non pas parce qu’ils sont chrétiens mais parce qu’ils se livrent à un prosélytisme agressif (éventuellement mâtiné de propagande américaine...) et à des manifestations intempestives. Cela dit, lorsqu’ils sont persécutés, les autres chrétiens ne sont pas non plus en paix. Les Eglises « approuvées » sont étroitement surveillées et soumises aux pressions des autorités, qui décident du nombre de prêtres autorisés à exercer le ministère. Depuis décembre dernier, les dîmes des fidèles doivent être versées sur un compte gouvernemental. En janvier 2006, le gouvernement a destitué le patriarche orthodoxe et en a imposé un autre à sa solde...

    L’Erythrée est gouvernée par le Front populaire pour la démocratie et la justice (sic), parti unique marxiste-léniniste issu du Front populaire de libération de l’Erythrée, qui a obtenu l’indépendance en 1993.

  • On en est là…

    Lu dans Le Figaro de ce jour, à propos d’un match de rugby :

    « Il faut maintenant prier pour que les Français se remettent de cette abominable défaite. »

  • L’humilité

    (Extrait de l’homélie de Benoît XVI, dimanche à Lorette, devant 500.000 jeunes)

    Mais qu'est-ce qui rend vraiment « jeune » au sens évangélique ? Notre rencontre, qui se déroule à l'ombre d'un sanctuaire marial, nous invite à tourner notre regard vers la Vierge. Nous nous demandons donc : comment Marie a-t-elle vécu sa jeunesse ? Pourquoi, en elle, l'impossible est-il devenu possible ? Elle nous le révèle elle-même dans le chant du Magnificat : Dieu « s'est penché sur son humble servante ». L'humilité de Marie est ce que Dieu apprécie plus que tout autre chose en elle. Et c'est précisément de l'humilité que nous parlent les deux autres lectures de la liturgie d'aujourd'hui. N'est-ce pas une heureuse coïncidence que ce message nous soit adressé précisément ici, à Lorette ? Ici, notre pensée se tourne naturellement vers la Sainte Maison de Nazareth qui est le sanctuaire de l'humilité : l'humilité de Dieu qui s'est fait chair, qui s'est fait petit, et l'humilité de Marie qui l'a accueilli dans son sein ; l'humilité du Créateur et l'humilité de la créature. De cette rencontre d'humilité est né Jésus, Fils de Dieu et Fils de l'homme : « Plus tu es grand, plus il faut t'abaisser pour trouver grâce devant le Seigneur ; car grande est la puissance du Seigneur, mais il est honoré par les humbles », nous dit le passage de l’Ecclésiastique ; et dans l'Evangile, Jésus, après la parabole des invités aux noces, conclut : « Qui s'élève sera abaissé ; qui s'abaisse sera élevé ». Cette perspective indiquée par les Ecritures apparaît aujourd'hui plus que jamais provocante pour la culture et la sensibilité de l'homme contemporain. L'humble est perçu comme une personne qui renonce, un vaincu, quelqu'un qui n'a rien à dire au monde. C'est en revanche la voie maîtresse, et non seulement parce que l'humilité est une grande vertu humaine, mais parce qu’elle représente en premier lieu la façon d'agir de Dieu lui-même. Elle est la voie choisie par le Christ, le Médiateur de la Nouvelle Alliance , qui, « reconnu comme un homme à son comportement, s'est abaissé lui-même, en devenant obéissant jusqu'à mourir, et à mourir sur une croix ».

  • Mère Teresa sainte du monde athée et de l’ère médiatique

    La « révélation » de la nuit mystique de Mère Teresa n’en était pas une. Une fois de plus, on nous annonce comme une nouvelle ce qui n’est pas nouveau, même si le livre dont on parle tant contient des lettres inédites. J’avoue que je ne m’étais jamais intéressé de près à Mère Teresa. Dans Présent de samedi dernier, Olivier Figueras fait remarquer que Jean-Paul II avait évoqué cet aspect dans son homélie de béatification. Et comme l’homélie était très brève, cela n’en prenait que plus d’importance : « Mère Teresa a partagé la passion du Crucifié, de manière particulière au cours de longues années d'"obscurité intérieure". Ce fut une épreuve parfois lancinante, accueillie comme un "don et un privilège" singuliers. Lors des heures les plus sombres, elle s'accrochait avec plus de ténacité à la prière devant le Saint-Sacrement. Ce dur travail spirituel l'a conduite à s'identifier toujours plus avec ceux qu'elle servait chaque jour, faisant l'expérience de leur peine et parfois même du rejet. Elle aimait répéter que la plus grande pauvreté est celle d'être indésirables, de n'avoir personne qui prenne soin de soi. »

    A Radio Vatican, le P. Cantalamessa, prédicateur de la Maison pontificale, a cité ce propos tiré d’une des lettres : « Il y a tant de contradiction dans mon âme, un profond désir de Dieu, si profond qu’il fait mal ; une souffrance permanente, et avec cela le sentiment de ne pas être voulue par Dieu, rejetée, vide, sans foi, sans amour, sans zèle… Le ciel n’a aucun sens pour moi : il m’apparaît comme un lieu vide ! ». Il a commenté : « Le fait que Mère Teresa ait pu rester des heures devant le Très Saint Sacrement, comme rapportent les témoins qui l’ont vue, presque enlevée… si l’on pense dans quelles conditions elle se trouvait là, cela est un martyre ! Cela est un véritable martyre, parce que pour celui qui ne sent pas Dieu et sent ce vide, demeurer des heures immobile devant le Très Saint Sacrement, c’est vraiment se retrouver au milieu des flammes. Les athées ‘normaux’, communs, ne souffrent pas de l’absence de Dieu ; pour Mère Teresa, c’était l’épreuve la plus terrible qu’elle pouvait vivre. Je crois que Mère Teresa a vraiment la stature des ‘géants’ dans la sainteté chrétienne, justement aussi à cause de cette capacité de cacher ces phénomènes, de les vivre personnellement au plus profond de son cœur, peut-être, précisément en expiation de cet athéisme diffus qui existe dans le monde d’aujourd’hui, parce qu’au fond, Mère Teresa a vécu de manière positive, avec foi, du côté de Dieu, cette existence comme si Dieu n’existait pas. »

    Le P. Cantalamessa a ajouté que la « nuit obscure » est très connue dans la tradition chrétienne, mais qu’elle a été vécue de façon nouvelle, inédite, par Mère Teresa : « Tandis que ‘la nuit obscure de l’esprit’ de saint Jean de la Croix est un temps préparatoire à celui définitif appelé ‘unitif’, pour Mère Teresa il semble qu’il s’agisse d’un état stable, à un certain moment de sa vie, lorsqu’elle a lancé cette grande œuvre de charité, jusqu’à la fin. Selon moi, ce prolongement de la ‘nuit’ a également un sens pour nous, aujourd’hui. Je crois que Mère Teresa est la sainte de l’ère médiatique, parce que cette ‘nuit de l’esprit’ l’a protégée en l’empêchant de devenir la victime des médias, c’est-à-dire de s’élever. En effet, elle même disait que face aux plus grands honneurs et aux acclamations de la presse, elle ne ressentait rien parce qu’elle vivait ce vide intérieur. Ainsi, c’était une sorte de ‘combinaison d’amiante’, pour traverser l’ère des médias... »

  • Le patriarcat turc...

    Le synode du patriarcat œcuménique de Constantinople se tient actuellement au Phanar. L’un des points à l’ordre du jour est le titre du patriarcat auquel le procureur d’Istanbul demande de justifier le qualificatif « œcuménique ». Sic. Car une sentence de la cour de Cassation turque émise en juin dernier nie au patriarcat de Constantinople le droit de s’appeler « œcuménique », le considérant tout simplement comme « turc ». Sic.

    D’autre part, le synode doit confirmer l’intention de Bartholomaios Ier de rendre visite au premier ministre turc Erdogan, « pour le prier de donner une réponse sincère sur la réouverture de l’école de théologie de Halki ». Ce séminaire, sur l’île de Halki, près d’Istanbul, a été fermé par le gouvernement turc en 1971. Les Grecs de la diaspora ont déjà demandé aux Nations unies, à l’Union européenne, au Congrès des Etats-Unis d’intervenir auprès de la Turquie pour qu’elle soit ré-ouverte « de façon à ce qu’elle puisse former les futurs prêtres pour consentir au patriarcat œcuménique de continuer à fonctionner ». En vain, bien sûr.

  • Le rosaire mondial du 7 octobre

    Le 7 octobre prochain aura lieu de nouveau la récitation simultanée du Rosaire sur le plan mondial.

    En 2007 « nous célébrons déjà les onze ans de cette œuvre et, avec la bénédiction de notre Mère, la Très Sainte Vierge Marie, année après année, les fidèles sont toujours plus nombreux, tout comme les pays qui s’unissent à la récitation du Rosaire », explique un des organisateurs, le laïc mexicain Guillermo Estevez Alverde.

    Guillermo Estevez a lancé cette initiative avec d’autres laïcs mexicains : « L’idée est née en octobre 1996, lorsque a eu lieu le Rosaire simultané pour le 50e anniversaire de l’ordination sacerdotale de sa sainteté Jean-Paul II. L’événement s’est déroulé dans vingt pays. Au Mexique plus de trois millions de personnes ont prié dans 2.600 localités. Au cours de la Journée mondiale du rosaire du mois d’octobre 2000, plus de 140 pays se sont unis, dans lesquels ont été organisés de nombreux rosaires collectifs dans des églises, des stades, des cathédrales, sur des places, dans des prisons, des hôpitaux, des écoles… et nombre d’entre eux ont été retransmis à la radio ou la télévision. Des millions de personnes y ont participé à travers le monde. »

    Cette année le siège principal de l’événement sera la basilique Notre-Dame de Guadalupe à Mexico. Le groupe « Union de Volontades », chargé de l’organisation, invite chacun à s’unir à l’initiative. Renseignements complémentaires ici.

  • Ce n’est pas non plus de l’info

    Une nouvelle émission d’actualité intitulée « C’est aussi de l’info », sera lancée dimanche prochain, dans le cadre de l’émission « Le Jour du Seigneur » sur France 2. Ce seront 9 minutes, après la messe, pour faire le point sur l’actualité de l’Eglise, avec un ou plusieurs petits reportages et en présence d’un invité.
    Pour le premier numéro, « C’est aussi de l’info » a choisi comme sujet : « Mère Teresa avait-elle perdu la foi ou a-t-elle connu une vraie nuit mystique ? »

    On comprend bien que l’intention (du moins on l’espère) est de partir d’une fausse interprétation médiatique pour établir la vérité. Mais il est indigne de poser la question comme si on pouvait en discuter.

    En outre, il est indigne de prétendre traiter d’un tel sujet en moins de 5 minutes (car il y a au moins un autre sujet, sur une « session œcuménique » pour les jeunes.. .).

    Mais il est vrai que l’émission est faite en partenariat avec La Croix , avec un journaliste de La Croix jouant le rôle d’expert...