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Liturgie - Page 25

  • La Rencontre

    Hier dans le calendrier julien c’était la fête de la Sainte Rencontre du Seigneur (présentation au temple). Sur YouTube on pouvait voir la très solennelle divine liturgie du patriarche Cyrille à la cathédrale de Moscou (avec une ordination épiscopale), la divine liturgie du monastère Sretenski (la Rencontre), avec un archevêque, mais j’ai surtout remarqué celle du monastère de moniales de Minsk, avec le chœur d’enfants.

    La divine liturgie commence à 29’45. Dès la première litanie elle est illuminée par les voix des enfants - et une musique lumineuse, dont l’harmonisation est sans doute de Mère Julienne (Irina Densisova, devenue religieuse après avoir enseigné au conservatoire de Minsk pendant 27 ans, et auteur de quelque 200 partitions liturgiques).

    1h33 : Il est digne et juste d’adorer le Père, le Fils et le Saint-Esprit, Trinité consubstantielle et indivisible.

    1h35 Sanctus.

    1h37 Nous te chantons, nous te bénissons, nous te rendons grâce, Seigneur, et nous te prions, ô notre Dieu.

    1h40 Mégalynaire :

    Богородице Дево,/ упование христианом,// покрый, соблюди и спаси на Тя уповающих. В законе сени и писаний/ образ видим, вернии:/ всяк мужеский пол, ложесна разверзая,/ свят Богу./ Тем перворожденное Слово/ Отца безначальна,/ Сына первородящася Материю неискусомужно,// величаем.

    Vierge Mère de Dieu, espérance des chrétiens, protège, garde et sauve ceux qui espèrent en toi. Dans l’ombre et l’écriture de la Loi, fidèles, nous voyons le mystère préfiguré : Tout enfant mâle qui ouvre le sein doit être consacré à Dieu ! Verbe premier-né, du Père éternel Fils premier-né d’une Mère inépousée, nous te magnifions.

  • Vendredi après les Cendres

    « Eh bien, moi je vous dis : aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent. » Bien des gens soupèsent les préceptes de Dieu au poids de leur propre lâcheté au lieu de les jauger au courage des saints ; aussi les prétendent-ils irréalisables. C’est bien assez de vertu, disent-ils, de ne pas haïr les ennemis. Ordonner de les aimer, voilà qui dépasse la nature humaine ! Il faut toutefois penser que le Christ ne commande pas l’impossible, mais la perfection. David l’a pratiquée à l’égard de Saül et d’Absalon ; le martyr Étienne a prié pour ceux qui le lapidaient ; Paul, de même, a souhaité d’être anathème pour ses persécuteurs. Et Jésus mit en pratique son propre enseignement quand il pria : « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font. »

    « Ainsi serez-vous les fils de votre Père qui est aux cieux. » Si c’est en gardant les préceptes de Dieu qu’on devient fils, c’est donc que cette filiation n’est pas due à la nature, mais à son libre choix.

    « Quand tu fais l’aumône, ne va pas le claironner devant toi ; ainsi font les hypocrites dans les synagogues et les rues afin d’être honorés des hommes. » Celui qui claironne son aumône est un hypocrite. L’est aussi celui qui, durant son jeûne, prend une mine exténuée pour que ses traits fassent deviner qu’il a le ventre vide. Il en est de même de celui qui, pour prier, plastronne dans les synagogues et les carrefours afin d’être vu.

    De tous ces exemples, il ressort une définition de l’hypocrisie : tout faire en vue de s’attirer les louanges des hommes. Voici un autre exemple d’hypocrite, c’est celui qui dit à son frère : « Attends que j’enlève la paille de ton œil. » C’est pour se mettre en valeur, semble-t-il, qu’il en agit de la sorte et pour se faire passer lui-même pour juste. Aussi, le Seigneur lui dit-il : « Hypocrite, enlève d’abord la poutre de ton œil. » Ce n’est donc pas la vertu, mais le motif qui l’inspire que Dieu récompense. Peu importe que ce soit à droite ou à gauche que l’on dévie en glissant hors de la voie droite ; ce qui est grave, c’est de quitter le chemin de la vérité.

    Saint Jérôme, commentaire sur saint Matthieu, leçons des matines.

  • Jeudi après les Cendres

    Voyons, si au sujet du serviteur du centurion, Matthieu et Luc sont d’accord. Car Matthieu dit : « Un centurion s’approcha de lui en disant : ‘Mon serviteur est gisant, paralytique en ma maison.’ » A cela semble s’opposer ce que dit Luc : « Et ayant entendu parler de Jésus, il lui envoya des anciens d’entre les Juifs pour le prier de venir et de guérir son serviteur. Et ceux-ci arrivés à Jésus le priaient avec insistance, lui disant : ‘Il est digne que tu lui accordes cette faveur, car il aime notre nation et il nous a bâti lui-même une synagogue.’ Jésus s’en allait donc avec eux et comme il n’était plus loin de la maison, le centurion lui envoya des amis lui dire : ‘Seigneur, ne vous donnez pas tant de peine, car je ne suis pas digne que vous entriez sous mon toit.’ »

    Si en effet les choses se sont ainsi passées, comment sera-t-il vrai, le récit de Matthieu disant : « Un centurion s’approcha de lui », alors que le centurion n’est pas venu lui-même, mais a envoyé ses amis ? Il ne le sera que si, avec une attention diligente, nous comprenons que Matthieu ne s’est pas tellement écarté de nos façons habituelles de parler. Car non seulement nous avons coutume de dire que quelqu’un s’approche, avant même qu’il soit arrivé au lieu dont nous disons qu’il s’est approché, puisque nous disons qu’il s’est peu ou beaucoup approché du lieu où il désire arriver, mais nous disons même très souvent qu’on est parvenu jusqu’à celui qu’on voulait atteindre, quand on y arrive par un ami, sans même voir celui qui est touché et dont la faveur nous est nécessaire. Cette manière de dire est d’usage si courant, que le vulgaire donne le nom de perventores (ceux qui parviennent) à ceux qui, possédant l’art de l’intrigue, atteignent, par l’intermédiaire de personnes convenablement choisies, les esprits de certains puissants personnages qui paraissent inaccessibles d’autre façon.

    Ce n’est donc pas chose inconcevable que, pour dire le fait du centurion abordant Notre-Seigneur par l’intermédiaire de ses amis, Matthieu ait pu dire sous une forme abrégée que le vulgaire peut comprendre : « Un centurion s’approcha de lui. » Bien plus, il ne faut pas considérer négligemment la profondeur de cette locution mystique du saint Évangile, qui rappelle ce qui est écrit dans le Psaume : « Approchez-vous de lui et soyez illuminés » (Ps 33, 5). La foi du centurion qui l’a fait s’approcher de Jésus a été si hautement louée par le Seigneur qu’il en a dit : « Je n’ai pas encore trouvé si grande foi en Israël. » De là vient que l’’Évangéliste, en son prudent langage, a voulu nous dire que le centurion s’était approché plus près de Jésus, que les amis par lesquels il avait envoyé son message.

    Saint Augustin, Le consensus des évangélistes, livre 2, leçons des matines.

    Le mot « perventores » est précédé d’une répétition du verbe pervenire qui a hélas disparu dans la traduction (c’est ainsi que les traducteurs qui croient qu’il faut éliminer les répétitions pour faire une traduction élégante trahissent les textes) :

    Non solum enim dícere solémus, accessísse áliquem étiam ántequam pervéniat illuc, quo dícitur accessísse : unde étiam dicimus : Parum accéssit, vel multum accéssit eo, quo áppetit perveníre : verum étiam ipsam perventiónem cuius adipiscéndi causa accéditur, dícimus plerúmque factam, etsi eum, ad quem pérvenit, non vídeat ille qui pérvenit, cum per amícum pérvenit ad áliquem, cuius ei favor est necessárius. Quod ita ténuit consuetúdo, ut iam étiam vulgo perventóres appelléntur, qui poténtium quorúmlibet tamquam inaccessíbiles ánimos, per conveniéntium personárum interpositiónem, ambitiónis arte pertíngunt.

  • Mercredi des Cendres

    Le trait de la messe (psaumes 102,10 et 78,8-9), par les moines de Triors. Ce trait est chanté les lundis, mercredis et vendredis de carême. On s’agenouille au deuxième verset.

    Dómine, non secúndum peccáta nostra, quæ fécimus nos : neque secúndum iniquitátes nostras retríbuas nobis.
    . Dómine, ne memíneris iniquitátum nostrarum antiquarum : cito antícipent nos misericórdiæ tuæ, quia páuperes facti sumus nimis.
    . Adjuva nos, Deus, salutáris noster : et propter glóriam nóminis tui, Dómine, libera nos : et propítius esto peccátis nostris, propter nomen tuum.

    Seigneur, ne nous traitez pas selon nos péchés, et ne nous punissez pas selon nos iniquités.
    Seigneur, ne vous souvenez plus de nos anciennes iniquités ; que vos miséricordes viennent en hâte au-devant de nous, car nous sommes réduits à la dernière misère.
    Aidez-nous, ô Dieu notre Sauveur, et pour la gloire de votre nom, Seigneur, délivrez-nous et pardonnez-nous nos péchés, à cause de votre nom.

  • La messe à Austin

    Les centaines de fidèles qui participaient à la messe dominicale traditionnelle à la cathédrale d’Austin (Texas) dimanche ont appris que cette messe serait supprimée à partir du 19 mars. Celle de 7h30, et celle de 15h30. « Apparemment cela vient directement du Vatican », a dit un fidèle. Car on ne sait rien de plus. L’évêque doit être muet…

    Mais il est évident que si François a décrété que la messe traditionnelle était interdite dans les églises paroissiales, à plus forte raison dans les cathédrales…

    La messe la plus proche reste, pour le moment, celle de Dripping Springs, à 40 km, qui est à… 13h30. Il y en a une aussi à Brenham, à 145 km (à 16h), et à Waco, à 160 km (à 11h30).

    En toute charité pastorale.

  • De la férie

    Antiochíæ natális sancti Agábi Prophétæ, de quo beátus Lucas in Actibus Apostólicis scribit.

    A Antioche, la naissance (au ciel) de saint Agabus prophète, mentionné par le bienheureux Luc dans les Actes des Apôtres.

    Le martyrologe romain de ce jour commence par saint Agabus, mais il ne fait pas l’objet d’une mémoire liturgique. En revanche il est fêté deux fois dans le calendrier byzantin, le 8 avril avec d’autres personnages mentionnés par saint Paul, et le 4 janvier dans la « synaxe des 70 apôtres » parce que selon la tradition il faisait partie des 70 disciples choisis par le Seigneur pour le précéder dans sa prédication.

    Saint Luc rapporte dans les Actes des Apôtres (11, 28) qu’Agabus vint de Jérusalem à Antioche pour visiter Paul et Barnabé, et que sous l’inspiration du Saint-Esprit, il prédit la grande famine qui ravagea pendant quatre ans l’Empire romain sous le règne de Claude (44-48).

    Longtemps après, il rendit visite à saint Paul qui se trouvait dans la maison du diacre Philippe à Césarée et, prenant sa ceinture, il s’en lia les pieds et les mains en disant : « Voici ce que dit l’Esprit Saint : L’homme auquel appartient cette ceinture, les Juifs le lieront comme ceci à Jérusalem, et ils le livreront aux mains des païens » (Act 21, 11).

    Selon la tradition, Agabus continua de prêcher l’Evangile en divers endroits et mourut martyr à Antioche.

  • A Iekaterinbourg

    C’était ce matin en l’église Saint Jean Chrysostome de Iekaterinbourg. Par exemple, à 1h20, l’hymne chantée pendant l’épiclèse (et les fidèles se prosternent comme les célébrants). Suivie de l’hymne à la Mère de Dieu. A 1h32, le Notre Père sous la direction des cinq diacres.

  • Les 7 saints fondateurs de l’Ordre des Servites

    Au XIIIe siècle, alors que les parties les plus florissantes de l’Italie étaient déchirées par le schisme funeste de Frédéric II et par de cruelles factions, la Providence miséricordieuse de Dieu suscita, parmi tant d’autres hommes illustres par leur sainteté, sept nobles Florentins qui, unis par la charité, offrirent un exemple remarquable d’amour fraternel. Ces hommes, à savoir Bonfilio Monaldi, Bonajuncta Manetto, Manetto d’Antelles, Amédée de Amidéis, Uguccio Uguccioni, Sostène de Sosteneis et Alexis Falconiéri, au jour de l’Assomption de l’année 1233, priaient avec ferveur dans l’assemblée d’une pieuse confrérie appelée des Laudantes, lorsque la Mère de Dieu, apparaissant à chacun d’eux, les invita à embrasser un genre de vie plus saint et plus parfait. Ayant donc pris conseil de l’Évêque de Florence, et renonçant aux honneurs de leur rang comme à leurs richesses, portant un cilice sous des vêtements pauvres et usés, ils se retirèrent à la campagne dans une humble demeure, le huitième jour de septembre, afin de débuter dans une vie plus sainte au jour même où la Mère de Dieu avait commencé sa vie très sainte parmi les mortels.

    Dieu montra par un miracle combien cette résolution, lui était agréable. Peu de temps après, comme ces sept hommes parcouraient la ville de Florence, en demandant l’aumône aux portes des maisons, il arriva tout à coup qu’ils furent acclamés Serviteurs de la bienheureuse Vierge Marie par la voix de petits enfants, et entre autres de saint Philippe Beniti à peine âgé de quatre mois. Ce nom leur fut désormais toujours conservé. Voulant éviter le concours du peuple et pressés par l’amour de la solitude, ils se retirèrent tous au mont Sénar. Ils y commencèrent un genre de vie vraiment céleste. Habitant des cavernes, vivant d’eau et d’herbes sauvages, ils mortifiaient leur corps par des veilles et d’autres austérités. La passion du Christ et les douleurs de sa Mère affligée étaient l’objet de leurs continuelles méditations. Comme ils s’y livraient avec plus d’ardeur un jour de vendredi saint, la bienheureuse Vierge elle-même leur apparut à deux reprises, leur montrant l’habit sombre qu’ils devaient revêtir, et leur fit connaître qu’elle aurait pour très agréable qu’ils établissent dans l’Église un nouvel Ordre religieux, destiné à garder perpétuellement et à propager parmi les peuples la dévotion aux douleurs qu’elle a souffertes pour nous au pied de la croix du Seigneur. Saint Pierre, illustre Martyr de l’Ordre des Frères Prêcheurs, ayant appris ces choses, par les relations familières qu’il entretenait avec ces saints hommes et par une apparition particulière de la Mère de Dieu, les engagea à instituer un Ordre religieux sous le nom de Serviteurs de la bienheureuse Vierge, Ordre qui fut ensuite approuvé par le pape Innocent IV.

    Ces bienheureux Pères, auxquels de nombreux compagnons vinrent bientôt s’adjoindre, commencèrent alors à parcourir les villes et les bourgades de l’Italie, principalement celles de l’Étrurie ; ils prêchèrent partout Jésus crucifié, apaisant les discordes civiles et rappelant au sentier de la vertu une multitude presque infinie de pauvres égarés. La France, l’Allemagne et la Pologne, aussi bien que l’Italie, eurent part à leurs travaux évangéliques. Enfin, après avoir répandu au loin la bonne odeur du Christ et s’être rendus illustres par des miracles, ils quittèrent cette terre pour s’en aller au Seigneur.

    Comme la religion et la vraie fraternité les avaient réunis dans un seul et même amour pendant leur vie, ainsi, après leur mort, furent-ils ensevelis dans le même tombeau et entourés de la même vénération parmi les peuples. Les souverains Pontifes Clément XI et Benoît XIII confirmèrent de leur autorité suprême le culte qui leur était constamment rendu depuis plusieurs siècles. Léon XIII ayant approuvé les miracles que Dieu avait opérés par leur intercession, après que, déclarés Vénérables, il eut été permis de les invoquer en commun, les inscrivit au catalogue des Saints dans la cinquantième année de son sacerdoce et régla qu’à l’avenir, un Office et une Messe seraient célébrés chaque année en leur honneur dans l’Église universelle.

    Bréviaire

  • Quinquagésime

    Notre Rédempteur, prévoyant que sa Passion troublerait les cœurs de ses disciples, leur prédit longtemps d’avance la peine de cette passion et la gloire de sa résurrection, pour qu’en le voyant mourir comme il l’avait prédit, ils ne doutassent pas qu’il ressusciterait. Mais comme les disciples encore charnels ne pouvaient pas comprendre les paroles de cette annonce mystérieuse, il en vient à un miracle. Sous leurs yeux, un aveugle recouvra la lumière, pour que ceux qui ne comprenaient pas les paroles du mystère céleste fussent confirmés dans leur foi par des faits célestes.

    Mais il faut recevoir les miracles de notre Seigneur et Sauveur, frères bien-aimés, de telle façon qu’en étant crus quant à la vérité du fait, ils nous apprennent quelque chose par leur signification. Car les œuvres du Seigneur, tout en instruisant par la puissance qui s’y déploie, nous disent encore autre chose, par leur signification mystique. En effet, ce qu’était historiquement cet aveugle, nous l’ignorons ; mais ce qu’il représente mystiquement, nous le savons. Cet aveugle, en vérité, c’est le genre humain expulsé des joies du paradis, avec notre premier père, ignorant les clartés de la lumière d’en haut et souffrant des ténèbres de sa damnation. Mais voici que, par la présence de son Rédempteur, il est illuminé, pour que déjà par le désir, il voie les joies de la lumière intérieure et que, dans la voie de la vie, il marche par les bonnes œuvres.

    Il est à noter que l’aveugle est illuminé quand on dit que Jésus approche de Jéricho, Or Jéricho signifie lune ; mais dans le langage de la Sainte Écriture, la lune représente la déficience de la chair, car en décroissant chaque mois, elle indique la vie défaillante de notre corps mortel. Ainsi donc, quand notre Créateur approche de Jéricho, l'aveugle revient à la lumière, parce qu'au jour où la divinité a pris avec elle notre chair défaillante, le genre humain a reçu la lumière qu’il avait perdue. Car, du fait que Dieu accepte de souffrir l’humain, l’homme est élevé jusqu’au divin. C’est à bon droit que l’aveugle nous est représenté assis le long du chemin et mendiant, car la Vérité nous dit elle-même : Je suis la voie.

    Saint Grégoire le Grand, homélie 2, leçons des matines.

    On remarquera qu’il n’y a pas le mot « lumière » ni le mot « illuminer » dans le texte de l’évangile. Mais ils se trouvent bel et bien dans la liturgie grégorienne de ce jour. J’en parlais en 2015, et aussi l’an dernier.

  • Sainte Scholastique

    Répons des matines, par les bénédictines de Petersham, Massachussetts.

    podcast

    ℟. Alma Scholástica, sanctíssimi patris Benedícti soror, * Ab ipso infántiæ témpore, omnipoténti Dómino consecráta, † viam justítiæ non deséruit.
    ℣. Laudáte púeri Dóminum, laudáte nomen Dómini.
    ℟. Ab ipso infántiæ témpore, omnipoténti Dómino consecráta, † viam justítiæ non deséruit.
    ℣. Glória Patri, et Fílio, * et Spirítui Sancto.
    ℟. Ab ipso infántiæ témpore, omnipoténti Dómino consecráta, † viam justítiæ non deséruit.

    L’illustre Scholastique fut la sœur du très saint Père Benoît : consacrée dès l’enfance au Seigneur tout-puissant, elle ne quitta jamais la voie de la justice.
    Louez le Seigneur, enfants, louez le Nom du Seigneur. * Consacrée dès l’enfance…
    Gloire au Père…
    Consacrée dès l’enfance…