Glanées sur le site de l’Observatoire de l’islamisation.
On se souvient de l’imam Rachid Abou Houdeyfa de Brest, qui enseigne aux enfants que s’ils écoutent de la musique ils iront en enfer et seront transformés en porcs, et qui s’est fait photographié avec deux prêtres qui participaient à son Aïd. L’Observatoire a trouvé un autre de ses enseignements :
« Le hijab, c’est la pudeur de la femme. Et sans pudeur, la femme n’a pas d’honneur. Et si la femme sort sans honneur, qu’elle ne s’étonne pas que les gens, que les frères, que les personnes qui font partie même des hommes, que ça soit des musulmans ou des non musulmans, abusent de cette femme-là. »
L’imam Rachid Abou Houdeyfa avait été présenté comme un marginal, pas du tout représentatif de l’islam de France. Mais sur son site internet on voit que sa mosquée est sous l’égide du « Centre culturel islamique de Brest », qui fait partie lui-même du CFCM.
A Noisy-le-Sec, le conseil municipal, le 18 février, a acté l’achat d’un terrain (430.000€) pour la construction d’une mosquée. Le maire est l’UDI Laurent Rivoire, soutien de Valérie Pécresse.
Le 13 février, l’adjointe au maire (LR) de Courbevoie est allée à la présentation du projet de grande mosquée (sur trois niveaux pouvant accueillir 1800 fidèles, d’un coût de 6 millions d’euros, avec salles de classe pour apprendre l’arabe aux enfants dès 4 ans). La municipalité dirigée par Jacques Kossowski a voté le 29 juin 2015 un bail emphytéotique de 80 ans pour un terrain communal. Seuls les deux élus FN ont voté contre. Le site de la mosquée annonce la visite du cofondateur de l’UOIF Abdallah Ben Mansour, qui déclarait au Bourget en 2013 :
« Quand les musulmans auront mis en place la charia partout dans le monde, tout le monde sera heureux. »
Extrait d’une conférence de Makhlouf Mameche, directeur adjoint du Lycée Averroès (financé par l’Etat), vice-président de l’UOIF en charge de l’enseignement privé, à la mosquée de Lille :
« Voilà comment le Prophète a planifié, dans un secret total, son plan d’action, son projet, son programme. On doit travailler secrètement, jusqu’à ce qu’on mette en place le projet entier. Quand on est en état de faiblesse, il faut attendre un peu. Il faut acquérir la force pour pouvoir réagir. En tant que communauté musulmane de France, nous devrons travailler en douceur, sans crier au loup. Nous devons multiplier nos actions sans faire trop de bruit. »