Non seulement Hashim Thaçi est toujours l’homme fort du Kosovo, mais l’ex-premier Premier ministre est même devenu « président » du pays, hier, à l’issue d’un vote houleux du Parlement.
L'Union européenne a jugé « extrêmement préoccupantes » les scènes de violence observées au Parlement kosovar.
Mais elle ne se préoccupe en aucune manière de voir un tel personnage devenir président d’un plus ou moins Etat européen, où règne la corruption après le trafic d’organes prélevés sur les ennemis. Il est vrai qu'un certain nombre de fonctionnaires européens ont bien profité de cette corruption et de leur silence sur les activités passées de Hashim Thaçi…