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Islam - Page 102

  • Ce que dit Geert Wilders au Parlement (néerlandais)

    Je ne sais pas si un jour on entendra cela au Parlement français. Je ne le crois pas, car l’élu qui oserait dire cela se ferait couper la parole et ne pourrait pas continuer. Alors qu’au Parlement néerlandais, on laisse Geert Wilders dire ce qu’il a à dire sans l’interrompre, sans le moindre murmure. Cela vaut la peine d’être souligné avant de le lire et de le voir. C’était le 2 octobre dernier, lors du débat, suivi le lendemain du vote, sur l’envoi de F16 en Irak contre l’Etat islamique (parce que dans une démocratie, non seulement on laisse s’exprimer l’opposition, mais on vote sur l’entrée en guerre).

    Madame le Président,

    L’Etat islamique est un cancer islamique ; c’est un serpent venimeux basé sur le Coran et sur la vie de Mahomet, un criminel qui, il y a 14 siècles, assassinait et décapitait, de Médine à La Mecque. Son successeur autoproclamé calife de Bagdad est maintenant aux portes de Bagdad et de Damas. Il a des fidèles partout dans le monde, y compris dans notre pays, nos villes et nos rues.

    Je le répète, Madame le Président, des gens sont décapités selon les commandements du Coran, sourate 47, verset 4 : « Quand tu rencontre les infidèles, frappe-les au cou et cause un bain de sang parmi eux. » (1)

    Et oui, Madame le Président, même les musulmans modérés ne peuvent échapper à cette violence parce que, selon le Coran et la Charia, ce sont des apostats qui doivent donc mourir.

    Madame le Président, tous les esprits naïfs qui disent que l’Etat islamique n’a rien à voir avec l’islam commettent une sérieuse erreur politiquement correcte, qu’il s’agisse d’Obama, de Cameron, de Rutte (2), de Samsom (3).

    Madame le Président, c’est une guerre qui a été déclarée contre l’Occident libre. Notre liberté, notre culture, l’avenir de notre pays et de nos enfants sont en jeu. Nous devons riposter durement, tant aux Pays-Bas que dans tout le monde occidental, et bien sûr aussi en Irak et en Syrie. C’est pourquoi mon parti soutient la décision du gouvernement d’envoyer des F16 néerlandais contre l’Etat islamique. Nous disons ; Bombardons-les ! Mais nous ne comprenons pas, Madame le Président, pourquoi nous allons bombarder en Irak et pas en Syrie. Est-ce que le gouvernement est d’accord pour que des gens soient décapités en Syrie, des femmes violées, et qu’un génocide soit commis, seulement parce qu’il n’y a pas de mandat sous droit international ? Quelle lâcheté, Madame le Président. Le gouvernement dit qu’il comprend les Etats-Unis quand ils bombardent l’Etat islamique en Syrie, mais il n’y participe pas lui-même. Compréhension, mais pas participation : quelle lâche timidité.

    Encore plus important que de combattre l’Etat islamique en Irak et en Syrie est de combattre le terrorisme islamique ici, aux Pays-Bas, dans notre pays. La sécurité des Pays-Bas doit être notre priorité numéro un. Nos concitoyens doivent être en sécurité dans les trains, pouvoir marcher tranquillement dans la rue, doivent pouvoir conduire tranquillement leurs enfants à l’école, pouvoir faire leurs courses en toute sécurité. Voilà l’enjeu. Et dans l’article 100 de sa lettre au Parlement, le gouvernement ne consacre que deux paragraphes à la sécurité nationale. Il y a même davantage d’attention aux questions d’égalité de genre et à la situation des femmes dans le monde arabe. C’est une parodie.

    Madame le Président, nous devons protéger les Pays-Bas. C’est pour cela que nous avons été élus. Pour protéger nos concitoyens. Pas seulement les citoyens d’Irak et de Syrie, mais aussi et spécifiquement notre propre peuple ici aux Pays-Bas. Pourquoi est-ce que l’armée n’est pas déployée pour protéger nos gares – en uniforme naturellement et lourdement armés, évidemment. Et pourquoi est-ce que nous essayons d’arrêter les jihadistes quand ils veulent quitter notre pays ? Dimanche dernier, le ministre de la Sécurité et de la Justice annonçait fièrement que les passeports de 41 jihadistes avaient été confisqués pour qu’ils ne puissent pas se rendre en Syrie ou en Irak. Que c’est stupide ! Maintenant ils se baladent, ici, dans nos rues. Ceux qui veulent faire le jihad ailleurs, qui veulent décapiter des gens, commettre des attaques, se baladent dans nos rues à cause de la décision du ministre, aux Pays-Bas. Je le dis depuis dix ans et je le répète une nouvelle fois : fermez la frontière aux immigrants des pays islamiques. Trop c’est trop. La culture islamique de la haine n’a rien à faire ici aux Pays-Bas, et 65% des Néerlandais sont d’accord avec cela. Laissez les jihadistes quitter le pays, et ne les laissez jamais revenir. Telle est la solution. Rétablissez les contrôles aux frontières, expulsez quiconque exprime la moindre sympathie envers l’Etat islamique, enlevez-leur leur passeport néerlandais, exigez que tous ceux qui ont un passeport d’un pays islamique signent une déclaration anti-charia.

    Je dis au gouvernement : réveillez-vous ! ne vous contentez pas de discuter de l’Etat islamique, assurez-vous que les Néerlandais soient en sécurité dans nos rues et en sécurité dans les trains, et puissent faire leurs courses en sécurité. Ne protégez pas seulement les Irakiens contre l’Etat islamique, protégez les Néerlandais contre la menace terroriste islamique. Telle est votre mission, tel est votre boulot, telle est votre responsabilité. Assumez cette responsabilité, faites votre devoir.

    (1) Le verset ne parle pas littéralement d’un bain de sang. Il se poursuit ainsi : « Puis, quand vous les avez dominés… » Mais là il y a une note des autorités sunnites : « Vous les avez dominés : quand vous les aurez affaiblis par un grand nombre de morts et de blessés. » Il s’agit donc effectivement d’un bain de sang…

    (2) Marc Rutte, Premier ministre néerlandais.

    (3) Diederik Samsom, chef du parti du travail.

  • Le Rassemblement Bleu Marine ne connaît toujours pas l’islam

    Dans un long communiqué (évidemment laïciste) de Bertrand Dutheil de La Rochère, « conseiller République et laïcité de Marine Le Pen » :

    « Avec Marine Le Pen, le Rassemblement Bleu Marine condamne tous ceux qui veulent confondre l’islam, qui est une religion, avec l’islamisme, qui est un totalitarisme. »

    Dommage que M. Dutheil de La Rochère ne nous explique pas si la charia ressortit à l’islam religion ou à l’islamisme totalitarisme… Ni même si le Allah du Coran est celui de l’islam religion ou celui de l’islamisme totalitarisme.

    Une petite citation, peut-être ?

    « L’islam est une organisation complète qui englobe tous les aspects de la vie. C’est à la fois un état et une nation, ou encore un gouvernement et une communauté. C’est également une morale et une force, ou encore le pardon et la justice. C’est également une culture et une juridiction, ou encore une science et une magistrature. C’est également une matière et une ressource, ou encore un gain et une richesse. C’est également une lutte dans la voie de Dieu [jihad] et un appel, ou encore une armée et une pensée. C’est enfin une croyance sincère et une saine adoration. L’islam, c’est tout cela de la même façon. » Premier des Vingt principes pour comprendre l’islam, de Tariq Ramadan.

    D’autre part, M. Dutheil de La Rochère paraît ne pas connaître les lois antiracistes. C’est moins grave que de ne rien savoir de l’islam, mais quand on est « conseiller » d’une personnalité politique de premier plan c’est embêtant.

    Voici en effet ce qu’il écrit ensuite :

    « En revanche, l’islam est une religion et non une race : critiquer l’islam, comme critiquer le christianisme, ne peut être considéré comme une forme de racisme. »

    Ce n’est pas du racisme, en effet, au vrai sens du mot, mais c’est du racisme au sens des lois antiracistes, et c’est ce qui importe pour la liberté d’expression. Les lois antiracistes condamnent la stigmatisation de personnes en raison de leur race, leur ethnie, leur nationalité, leur « religion ou absence de religion », leur sexe, leur orientation sexuelle… Les critiques de l’islam relèvent donc bien des lois antiracistes, comme les critiques du christianisme, et c’est même pour cela qu’il y a l’Agrif. Il est curieux de devoir le rappeler à quelqu’un qui est diplômé en droit public et en sciences politiques…

  • Déjà qu’ils n’étaient pas nombreux…

    Mais selon Farid Louali, lors du rassemblement anti-jihad devant la Mosquée de Paris, « la moitié était français, même pas musulmans ».

    Farid Louali, co-fondateur de l’Union musulmane pour la dignité, est de ceux qui considèrent que les musulmans n’ont pas à manifester contre l’Etat islamique. Donc il se félicite (c’était sur BFM, relayé par FDesouche) de l’échec d’une manifestation où la moitié des gens étaient « français, même pas musulmans »…

  • Où ça, un « Dieu d’amour » ?

    Les imams se succèdent devant les micros et les caméras pour marteler que le Dieu de l’islam est un Dieu d’amour. Hier on voyait sur BFM l’imam de Montpellier (me semble-t-il) qui disait cela en tenant un Coran ouvert. Je me demandais bien quel verset il allait pouvoir trouver pour justifier son affirmation. Mais il ne cita aucun verset… Puisqu’il n’y en a pas. Mais la mise en scène islamique était bonne, car dans la mémoire du téléspectateur il y a un imam disant que le Dieu de l’islam est un Dieu d’amour et prenant le Coran à témoin…

    Rappelons quand même que le musulman pieux connaît les 99 noms d’Allah, et qu’aucun de ces 99 noms ne parle d’amour…

    Il y a une expérience facile à faire : en arabe, « Dieu est amour » se dit الله محبة (Allah mahabbat). Si l’on demande à Google des sites qui y font référence, on ne trouve que des sites chrétiens (soit des sites de chrétiens arabes, soit des sites évangéliques destinés à convertir les musulmans).

  • Petit rappel sur l’islam (par un archevêque)

    Intervention écrite de Mgr Raboula Antoine Beylouni, archevêque titulaire de Mardin des Syriens, évêque de curie d’Antioche des Syriens, au synode des évêques du Proche Orient en octobre 2010.

    Nous avons au Liban un comité national de dialogue islamo-chrétien et cela depuis plusieurs années. Il y avait aussi une commission épiscopale issue de l'Assemblée des Patriarches et Évêques Catholiques au Liban chargée du dialogue islamo-chrétien. Elle a été supprimée pour donner plus d'importance à l'autre comité, d'autant plus qu'il n'y avait pas de résultat sensible.

    Il y a parfois des dialogues ici ou là, dans des pays arabes, comme au Qatar, où l'Émir lui-même invite à ses frais, des personnalités de différents pays et des trois religions: chrétienne, musulmane et juive. Au Liban, sur la chaîne Télé-lumière et Noursat, et sur d'autres chaînes de télévision, on donne parfois des programmes de dialogue islamo-chrétien. Souvent on choisit un thème, et chaque parti l'explique ou l'interprète selon sa religion. Ces programmes sont d'ordinaire très instructifs.

    J’ai voulu par cette intervention, attirer l'attention sur les points qui rendent ces rencontres ou dialogues difficiles et souvent privés d’effectivité. Il est clair qu'on ne discute pas sur les dogmes. Mais même les autres sujets d'ordre pratique et social sont difficilement abordables lorsque le Coran ou la Sunna les a abordés. Voici quelques difficultés que l’on doit affronter.

    Le Coran inculque au musulman la fierté d'avoir la seule religion vraie et complète, religion enseignée par le plus grand prophète, car il est le dernier venu. Le musulman fait partie de la nation privilégiée, et parle la langue de Dieu, la langue du paradis, la langue arabe. C'est pourquoi, il vient au dialogue avec cette supériorité et avec l'assurance d'être victorieux.

    Le Coran, supposé écrit par Dieu lui-même d'un bout à l'autre, donne la même valeur à tout ce qui y est écrit : le dogme comme n'importe quelle loi ou pratique.

    Dans le Coran, il n'y a pas d'égalité entre l'homme et la femme, ni dans le mariage lui-même où l’homme peut prendre plusieurs femmes et peut en divorcer à sa guise; ni en matière d’héritage où l’homme a une double part; ni dans le témoignage devant les juges où la voix de l’homme égale la voix de deux femmes, etc ...

    Le Coran permet au musulman de cacher la vérité au chrétien et de parler et agir contrairement à ce qu'il pense et croit.

    Dans le Coran, il y a des versets contradictoires et des versets annulés par d'autres, ce qui donne au musulman la possibilité d'utiliser l’un ou l’autre selon son avantage et ainsi il peut dire du chrétien qu’il est humble et pieux et croyant en Dieu, comme il peut le traiter d'impie, d'apostat et d'idolâtre.

    Le Coran donne au musulman le droit de juger les chrétiens et de les tuer par le jihad. Il ordonne d'imposer la religion par la force, par l’épée. L’histoire des invasions en est témoin. C’est pourquoi les musulmans ne reconnaissent pas la liberté religieuse, ni pour eux ni pour les autres. Et il n’est pas étonnant de voir tous les pays arabes et musulmans refuser d’appliquer en entier les “Droits de l'homme” institués par les Nations Unies.

    Devant tous ces interdits et d’autres semblables faut-il supprimer les dialogue? Non, certainement pas. Mais il faut choisir les thèmes abordables et des interlocuteurs chrétiens capables et bien formés, courageux et pieux, sages et prudents ... qui disent la vérité avec clarté et conviction ...

    On déplore parfois certains dialogues à la télévision où l’interlocuteur chrétien n'est pas à la hauteur de la tâche et n'arrive pas à donner de la religion chrétienne toute sa beauté et sa spiritualité, ce qui scandalise les auditeurs. Pire encore, il y a parfois des interlocuteurs clercs, qui, dans le dialogue, pour gagner la sympathie du musulman, appellent Mahomet prophète et ajoutent l'invocation musulmane connue et toujours répétée “Salla lahou alayhi wa sallam” (Que la Paix et les Bénédictions de Dieu soient sur lui).

    Pour finir je suggère ce qui suit :

    Comme le Coran a bien parlé de la Vierge Marie, en insistant sur sa virginité perpétuelle et sa conception miraculeuse et unique en nous donnant le Christ; comme les musulmans la considèrent beaucoup et demandent son intercession, nous devons recourir à elle dans tout dialogue et dans toute rencontre avec les musulmans. Étant la Mère de tous, elle nous guidera dans nos rapports avec les musulmans pour leur montrer le vrai visage de son Fils Jésus, Rédempteur du genre humain.

    Qu’il plaise à Dieu que la fête de l’Annonciation déclarée au Liban fête nationale pour les chrétiens et les musulmans, devienne aussi fête nationale dans d'autres pays arabes.

  • Désinformation plein pot

    Titres :

    Hervé Gourdel: les musulmans rassemblés à Paris pour dire "halte à la barbarie"

    Les musulmans de France manifestent pour dire "halte à la barbarie"

    Les musulmans de France disent "Non à la barbarie"

    LES musulmans ? Non. « Plusieurs centaines », nous disent les médias qui avaient martelé l’annonce de cette « grande manifestation » « des » musulmans à Paris. Si LES musulmans étaient si désireux de montrer qu’ils n’ont « rien à voir » avec les jihadistes, ils auraient été des dizaines de milliers (car il y a des centaines de milliers de musulmans pratiquants dans la région parisienne, et des millions « en France »).

    Le matraquage islamophile est devenu islamomaniaque. Comment peut-on continuer de prétendre, sans rire, que le jihad n’a rien à voir avec l’islam, alors que le Coran fait du jihad une obligation, que tout traité d’islam a un chapitre sur le jihad, et que le seul recueil de hadiths de Boukhari (qui fait partie de la Sunna) a 308 hadiths spécifiquement sur le jihad, dans le livre 56 qui commence par les hadiths sur la supériorité du jihad par rapport aux autres « bonnes actions »…

    Quant à la « barbarie » de la décapitation (par égorgement), elle a son modèle dans Mahomet, qui est pour tout musulman « le beau modèle » à imiter, et qui fit égorger (en y participant activement lui-même) plusieurs centaines de juifs en une seule journée :

    « Puis l'Envoyé d'Allâh alla au marché d'al-Madînah qui est encore aujourd'hui son marché, et a fait creuser des fossés. Il les fit venir, et les fit décapiter dans ces fossés, on les fit venir à lui par groupes. Parmi eux se trouvèrent l'ennemi de Dieu Huyayy Ibn 'Akhtab, et Ka'b b. 'Asad leur chef. Ils étaient au nombre de six cents, ou de sept cents ; celui qui multiplie leur nombre dit qu'ils étaient entre huit cents et neuf cents. Pendant qu'on les amenait à l'Envoyé d'Allâh par groupes, ils dirent à Ka'b b. Asad : « Ô Ka'b! Qu'est-ce qu'on fera de nous? » Il répondit : « Est-ce que vous êtes incapables de réfléchir?! Ne voyez-vous pas que le crieur ne cesse pas de crier8, et que celui d'entre nous qu'on envoie ne retourne pas?! C'est bien sûr le massacre. »
    Cela continua jusqu'à ce que l'Envoyé de Dieu en finît avec eux. » (Sira d’Ibn Ishaq)

    « Sa'd avait été blessé à la main par une flèche, et son sang ne cessait de couler. Les juifs allèrent le chercher, le firent monter sur un cheval et l'amenèrent. Étant en présence du Prophète, Sa'd dit : Il faut les égorger tous, partager leurs biens et réduire en esclavage leurs femmes et leurs enfants. Le Prophète, satisfait de cette sentence, dit à Sa'd : Tu as prononcé selon la volonté de Dieu. En entendant ces paroles, ceux d'entre les juifs qui pouvaient s'enfuir gagnèrent le désert ; les autres restèrent ; ils étaient huit cents hommes. Le Prophète leur fit lier les mains et fit saisir leurs biens. On rentra à Médine à la fin du mois de dsou'l-qa'da. Les juifs restèrent dans les liens pendant trois jours, jusqu'à ce que tous leurs biens fussent transportés à Médine. Ensuite, le Prophète fit creuser une fosse sur la place du marché, s'assit au bord, fit appeler 'Ali fils d'Abou-Tâlib, et Zobaïr fils d'Al-'Awwâm, et leur ordonna de prendre leurs sabres et d'égorger successivement tous les juifs, et de les jeter dans la fosse. Il fit grâce aux femmes et aux enfants ; mais il fit tuer également les jeunes garçons qui portaient les signes de la puberté. » (Chronique de Tabari)

  • Quand les savants musulmans réfutent l’idéologie de l’Etat islamique…

    L’agence Asianews nous apprend cette grande nouvelle que plus de 120 savants de l’islamont signé une lettre ouverte par laquelle ils réfutent « point par point » l’idéologie de l’Etat islamique. Parmi eux le grand mufti d’Egypte et le grand mufti de Jérusalem.

    La lettre est en arabe, et un résumé en anglais a été diffusé, en 24 points. Tout ce que Asianews a réussi à trouver d’intéressant, c’est ceci :

    - Il est interdit en islam de torturer.

    - Il est interdit en islam d’attribuer des actes mauvais à Allah.

    - Il est interdit en islam de déclarer des gens non musulmans tant qu’ils n’ont pas déclaré ouvertement leur mécréance.

    Magnifique, n’est-ce pas… De ces « haram » il résulte bien évidemment qu’il est « halal » de décapiter un Occidental…

  • Pakistan : un chrétien tué en prison

    Zafar Bhatti, un chrétien connu pour sa défense des droits des minorités, a été assassiné dans sa prison par ses gardiens.

    Zafar Bhatti s’était installé le 10 juillet 2012 à Islamabad. Le lendemain, un chef islamiste, Ahmed Khan, portait plainte contre lui parce qu’il lui avait envoyé, prétendait-il, un SMS insultant la mère du Prophète. Zafar Bhatti fut mis en prison dans l’attente de son procès pour « blasphème ».

    Sa famille avait alerté les autorités parce que ses co-détenus musulmans modérés menaçaient de le tuer s’il ne se convertissait pas à l’islam.

    Il a été abattu ce matin par ceux-là mêmes qui devaient assurer sa protection.

    Addendum 30 septembre

    En fait le gardien n'a pas tiré sur Zafar Bhatti (qui va bien jusqu'à présent) mais sur un autre homme détenu et condamné à mort pour blasphème, un "ressortissant écossais" du nom de Muhammad Ashgar. Lequel est grièvement blessé. Le gardien dit avoir agi par "inspiration divine". La famille de Zafar Bhatti est quant à elle indignée que la fausse information ait fait le tour du monde. Elle fut lancée par une ONG et les agences (y compris Fides) l'ont reprise sans vérifier.

  • Ils ont détruit le mémorial arménien de Deir el-Zor

    Les jihadistes de l’Etat islamique ont détruit l’église arménienne de Deir el-Zor, en Syrie.

    Cette église, construite en 1989-90, a été consacrée par le patriarche arménien Garéguine II (ou Karekin) en 1991 comme Mémorial du génocide arménien. Elle comprenait un musée conservant les restes de victimes arméniennes.

    Deir el-Zor avait été la destination finale d’au moins 150.000 arméniens (certains disent jusqu’à 400.000) qui n’avaient pas été massacrés sur place et qui, au bout d’une longue marche forcée avaient été parqués dans des camps où il manquaient de tout et subissaient la cruauté des gardiens. Quelques-uns réussirent à s’enfuir, la plupart moururent dans ces camps.

    La destruction de ce lieu de mémoire est « une horrible barbarie », comme le dit le ministre arménien des Affaires étrangères, une barbarie supplémentaire et particulièrement ignoble. L’Etat islamique veut sans doute montrer qu’il contrôle désormais toute la zone et qu’il peut donc en supprimer la mémoire.

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  • Ménard islamophobe (mais ils ne le savent pas)

    Rober Ménard, maire de Béziers, a publié un arrêté interdisant de cracher dans la rue. « Cet arrêté vise à dire que cracher dans la rue, c'est dégoûtant », a-t-il dit. Une amende est prévue, mais « il s'agit surtout d'avertir les gens que ça ne se fait pas ».

    En 2006 un lycéen de la banlieue de Lyon avait été condamné pour avoir craché à un arrêt de bus. En 2008 un autre lycéen, Madiale (je n’ai pas trouvé le prénom du premier), avait échappé à la condamnation à cause d’un vice de forme. Car il est interdit de cracher dans la rue partout en France, suite à un décret de 1942 (un décret de Vichy, s’empressent de dire les médias) modifié et donc revalidé en 1992.

    Ce qui m’étonne avec l’arrêté de Robert Ménard, c’est qu’on ne l’accuse pas d’islamophobie. Car le regain de crachats dans la rue, dans les villes où vivent de nombreux Maghrébins comme Béziers, est directement lié à l’islam. Le bon musulman, pendant le ramadan, ne doit pas boire dans la journée, il ne doit même pas avaler sa salive. Donc il crache. Et comme il a l’habitude de cracher pendant un mois, il continue…

    Apparemment les antiracistes patentés ne le savent pas. Ou bien ils ont peur que s’ils dénoncent un arrêté "islamophobe" ça attire l’attention sur ce fait et renforce les préventions contre l’islam…