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Islam - Page 101

  • Des actes « barbares » en Basse-Bretagne

    Les égorgements de ressortissants occidentaux par l’Etat islamique sont qualifiés d’actes barbares par nos politiques et notre presse. Mais il n’y a pas qu’en Irak ou en Syrie qu’on ait à déplorer des actes barbares. Il vient de s’en commettre un à Saint-Martin-des-Champs, à côté de Morlaix (Finistère).

    En effet, on a découvert des saucisses accrochées à des fenêtres. Or ces fenêtres sont celles d’un bâtiment qui est censé être bientôt transformé en mosquée.

    Le Conseil régional du culte musulman a exprimé son« indignation devant ces actes racistes et barbares visant la sacralité d’un lieu de culte ».

    Il n’y a pas de lieu de culte. Il n’y aucune sacralité.

    Le préfet de région Patrick Strzoda, qu’on n’entend jamais quand il y a de vraies profanations de vrais lieux de culte (catholiques), a adressé un vibrant message de soutien à la communauté musulmane : « Je partage votre indignation et je condamne fermement cet acte inacceptable et inqualifiable. Je rappelle à l’ensemble des forces de l’ordre les consignes pour prévenir de tels actes et pour en retrouver les auteurs et les mettre à la disposition de la justice. »

    Il est en effet inacceptable de gaspiller des saucisses. Ma mère m’a appris à respecter la nourriture.

  • A Knayeh, Syrie

    Les cinq chrétiens de Knayeh encore détenus par le Front al-Nosrah ont été libérés hier matin.

    Le Père Hanna Jallouf, assigné à domicile par le tribunal islamique, attend quant à lui son procès pour « collaboration avec le régime baas ».

    A Knayeh sont encore présents 300 chrétiens et le Père Hanna Jallouf poursuit l’exercice de son ministère pastoral à leur profit malgré les conditions de liberté limitée dans lesquelles il se trouve. Dans le village, fonctionne un centre d’aide paroissial qui constitue la seule source d’aide matérielle pour la population de la vallée de l’Oronte, chrétienne et non. Le centre en question constitue l’une des activités soutenues en Syrie depuis 2011 par ATS- Pro Terra Sancta, l’ONG de la Custodie de Terre Sainte.

  • Knayeh sous la botte islamiste, suite

    On apprend que, parmi la vingtaine de personnes enlevées par les miliciens du Front al-Nosrah à Knayeh en Syrie, cinq hommes, dont un oncle du curé, restent détenus par les islamistes. Ces cinq hommes sont des employés des couvents franciscains de Knayeh et de Yacoubieh.

    On sait maintenant qu’il ne s’agissait pas à proprement parler d’un enlèvement, mais d’une arrestation, décidée par le tribunal islamique de Darkush, devant lequel le P. Hanna Jallouf s’était plaint des vexations que subissait son couvent.

    Le P. Hanna Jallouf est « assigné à résidence » dans le couvent dans l’attente de la décision du tribunal islamique dans le cadre d’un procès où il est inculpé de collaborationnisme avec le régime syrien…

  • Pressées de vivre sous la charia...

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    Les Australiennes, dont des « célébrités », se bousculent sur Facebook pour publier leurs « selfies en hijab ». C’est le mouvement WISH : Women In Solidarity with Hijabs (contre le gouvernement qui veut interdire le port du hijab dans l'espace public). En quelques jours, la page Facebook des « femmes solidaires avec le hijab » a récolté plus de 27.000 « J’aime ».

    Comme le dit avec un bel élan de lyrisme ému le site oumma, elles « vont, à terme, composer une belle mosaïque de visages radieux sous les voiles de la tolérance religieuse et du respect des différences »…

  • Syrie : le franciscain « assigné à résidence »

    Le père franciscain Hanna Jallouf, enlevé dans la nuit du 5 au 6 octobre par des miliciens du Front al-Nosrah, a été « assigné à résidence » dans son couvent de Knayeh par un « tribunal islamique ».

    Les quatre femmes enlevées avec lui avaient été relâchées hier.

    Mais on n’a pas de nouvelles des hommes également enlevés. Le groupe comprenait une vingtaine de personnes en tout.

  • Deux chrétiens tués dans le sud musulman des Philippines

    Deux chrétiens ont été tués et trois autres blessés lors d’une attaque à la grenade d’une église protestante à Pikit, dans la province de Cotabato, au centre de l’île de Mindanao.

    « Ces dernières années, dit Asianews, la province de Cotabato a été le théâtre de nombreuses attaques de la part de gangs criminels liés à des dirigeants politiques locaux ou aux extrémistes islamiques Abou Sayyaf et le Front Moro de libération islamique (Milf). Souvent, ces actes restent impunis en raison du climat d’impunité qui caractérise la région majoritairement musulmane de Mindanao, qui a souffert de plus de 40 ans de guerre entre les rebelles musulmans et l’armée. Pikit, en particulier, est une base bien connue pour les criminels et les combattants liés aux mouvements islamiques extrémistes. L’accord de paix entre le Milf et manille aurait dû mettre fin à la violence, mais les groupes extrémistes, comme les Combattants islamiques pour la liberté de Bangsamoro et le Front Moro de libération nationale, ont cherché plusieurs fois à entraver sa mise en œuvre. »

  • La méchante blague du couple islamo-chrétien

    Grande trouvaille de la cinquième congrégation du synode, le témoignage de Jeannette Touré, présidente de l’Association des femmes catholiques de Côte d’Ivoire, mariée à un musulman, Mohammed : 52 ans de vie commune dans la plus parfaite tolérance, les enfants baptisés catholiques avec l’accord de l’époux musulman, etc. Bref, le paradis islamo-chrétien.

    C’était tellement gros que le P. Lombardi – oui, le père Lombardi !, comme quoi il ne faut jamais désespérer de rien – a jugé nécessaire de revenir sur cette intervention pour dire aux journalistes que ce cas personnel était hélas très éloigné de ce qui se vit dans la plupart des pays musulmans, et qu’il vaudrait mieux se demander comment on peut aider les chrétiennes converties de force à l’islam (car la charia impose que la femme d’un musulman soit musulmane, et même si le musulman tolère que sa femme reste provisoirement chrétienne, les enfants sont forcément musulmans).

  • Jihad à Hambourg

    A Hambourg, des Kurdes manifestaient contre l’Etat Islamique. Des musulmans favorables à l’Etat islamique les ont attaqués à coups de machettes et de couteaux.

  • La vie des chrétiens dans les villes tenues par les islamistes

    Les circonstances de l’enlèvement du P. Hanna Jallouf illustrent les conditions dans lesquelles vivent les chrétiens soumis à la dictature des jihadistes. Synthèse des témoignages recueillis par l’agence Fides :

    Au cours de ces trois dernières années, le Père Hanna Jallouf était parvenu à conduire et protéger la communauté catholique locale, même lorsque le territoire était tombé sous le contrôle des rebelles. Avec le temps, les djihadistes du prétendu « Etat islamique » ont pris des positions de force dans cette zone sise au nord de la Syrie suivis par la suite par les qaedistes de Jabhat al-Nusra. En présence des groupes antigouvernementaux – combattant souvent entre eux dans de sanglantes luttes intestines – les abus au détriment de la population avaient débuté : demandes de taxes, séquestre de propriétés et de maisons vides qui étaient occupées par les miliciens jihadistes.

    La Paroisse et le couvent étaient restés ouverts et actifs, tout en devant renoncer aux sonneries de cloches et en ayant l’obligation de couvrir les statues et images sacrées exposées en plein air. Le Père Hanna Jallouf était parvenu, avec difficulté, à conserver des contacts avec les groupes de miliciens afin de garantir un minimum de praticabilité aux activités de la paroisse. Tous les cinq ou six mois, il était également sorti pour de brèves périodes de la zone contrôlée par les rebelles – la dernière fois moins de deux mois en arrière afin de se soumettre à une intervention chirurgicale au Liban – après quoi il était toujours revenu, reprenant sa mission pastorale. L’école était, elle aussi, restée ouverte, même si elle avait dû se soumettre aux règles imposées par le nouveau régime islamique.

    Ces derniers temps, la situation s’était compliquée. Les expropriations et les saccages de la part des miliciens se sont intensifiés et ont pris pour cible directement le couvent. Les groupes armés ont mis la main sur des terrains, séquestré la récolte des olives, commençant à avoir des prétentions sur le couvent des religieuses. A ce point, le curé franciscain s’est rendu au tribunal islamique – l’organe institué dans la zone sous le contrôle des islamistes pour administrer la justice selon la loi islamique – dans le but de dénoncer les vexations subies. Quelques jours plus tard a été déclenchée l’expédition de la brigade qui l’a enlevé en compagnie de ses jeunes paroissiens.

  • Sous la coupe de Boko Haram

    News.va :

    185 églises incendiées et plus de 190.000 personnes contraintes à l’évacuation : tel est le bilan des violences perpétrées par Boko Haram au cours des deux derniers mois dans le Diocèse de Maiduguri, dont le territoire d’étend sur les Etats de Borno, Yobe et sur une partie de l’Etat d’Adamawa, dans le nord du Nigeria. C’est ce qu’indique le Directeur des Communications sociales du Diocèse, le Père Gideon Obasogie.

    Au cours de ces deux derniers mois, 11 villes situées sur le territoire du Diocèse sont tombées entre les mains de Boko Haram. « Il y a trente jours, les communautés catholiques de Gulak, Shuwa, Michika, Bazza et d’autres encore ont été saccagées par de cruelles attaques des terroristes de Boko Haram », affirme le Directeur des Communications sociales. « Gwoza et Magadali sont sous le contrôle despotique et tyrannique des terroristes depuis 60 jours » souligne le Père Obasogie. « Nos prêtres ont dû évacuer alors que les habitants, qui devaient célébrer l’indépendance en tant que nation libre, pleurent leurs morts et sont réduits à l’état d’évacués. Où est dès lors la liberté », se demande le prêtre.

    Le Père Obasogie décrit les conditions terribles dans lesquelles sont contraints à vivre les évacués, accueillis chez des parents et amis – parfois par groupes de 60 à 70 personnes – ou dans des structures improvisées à Maiduguri, Mubi, Yola, Uba, Gombe, Biu et Damaturu. La pensée des évacués va à ceux qui ne sont pas parvenus à s’enfuir, personnes âgées ou malades mais aussi jeunes. Les femmes sont victimes de violences sexuelles alors que se répand la pratique de décapitation des otages de la part des terroristes, comme cela a été le cas pour un pilote militaire capturé après s’être parachuté de son avion abattu par Boko Haram le 11 septembre.

    Aujourd’hui, 7 octobre, s’est ouvert à Niamey, capitale du Niger, un sommet régional pour la lutte contre Boko Haram, qui menace actuellement également les pays limitrophes, ainsi que le démontre la mort de 7 personnes dans le nord du Cameroun, tuées par une roquette tirée par les intégristes musulmans.