La société Capital Biotech lance le test halal, qui permet de vérifier si ce que vous mangez ne contient pas de traces de porc.
Ce n’est pas une blague.
Mais ce n’est pas donné : 6,90 euros le test et 125 euros la boîte de 25…
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Ce n’est pas une blague.
Mais ce n’est pas donné : 6,90 euros le test et 125 euros la boîte de 25…
L’ancienne école catholique Saint-Louis, rue de Stalingrad, à Wattrelos, va devenir une mosquée.
L’école était catholique, elle s’appelait du nom du saint roi de la croisade, mais elle était rue de Stalingrad, dans une ville ravagée par le communisme, et aujourd’hui par l’idéologie qui le remplace : l’islam, Wattrelos étant une commune limitrophe de Roubaix, la première ville française à majorité musulmane.
Un ancien élève dit à Nord Eclair : « Cette école, quand on passe à côté, on a plein de souvenirs. On y a été, on y a mis nos enfants. Pour moi, qu’elle devienne une mosquée, c’est choquant. Et on a le droit d’être choqué. »
Il dit : « On a le droit d’être choqué », parce qu’il sait très bien qu’on n’a pas le droit de l’être. On doit dire, comme l’évêché, qu’on n’a rien à en dire.
Lors du conseil exécutif national de la NUS (National Union of Students) fut proposée une motion intitulée « Solidarité avec l’Irak », qui visait à « condamner l’État islamique et soutenir les forces kurdes qui le combattent », et précisait que « condamner l’EI et soutenir les forces kurdes ne signifiait pas exprimer sa confiance à l’intervention militaire américaine ».
La motion a été rejetée à l’initiative de la section « Etudiants noirs » du syndicat. La présidente de la section, Malia Bouattia, a déclaré que la condamnation de l’Etat islamique n’était qu’une « justification de la guerre et d’une flagrante islamophobie ».
Manifestation de Chrétienté-Solidarité
Chrétienté-Solidarité « appelle les chrétiens de ce pays et tous nos compatriotes épris de liberté et de respect de la dignité humaine à venir massivement manifester devant l’ambassade du Pakistan 18 rue Lord-Byron, dans le 8ᵉ arrondissement de Paris jeudi 23 octobre à partir de 19h ».
Appel à la prière dimanche
La décision de la cour d’appel de Lahore de confirmer la condamnation à mort d’Asia Bibi « brise le cœur », a déclaré Mgr Rufin Anthony, évêque d’Islamabad, qui appelle les chrétiens du monde entier à « se joindre à nous pour une journée de prière pour Asia Bibi et les autres accusés de blasphème, dimanche » prochain 19 octobre. « Nous exhortons tout le monde à y participer. »
Paul Bhatti retourne au Pakistan
Interrogé par Radio Vatican, Paul Bhatti, ancien ministre pakistanais de l’harmonie nationale et des minorités religieuses, a qualifié de « très triste et douloureuse » la décision de la cour d’appel de Lahore. Mais il n’en est pas surpris, au vu des innombrables prétextes qui ont été utilisés pour prolonger le processus (Asia Bibi a été condamnée en première instance le 8 novembre 2010 et, ces derniers mois, l’audience avait été reportée à six reprises), et des pressions islamistes de plus en plus fortes.
Cela dit, ajoute Paul Bhatti, il faut garder espoir et bien préparer l’appel devant la Cour suprême, car « dans le passé, à plusieurs reprises, des condamnés en première et seconde instance ont été acquittés par la Cour suprême ». Et de souligner que jusqu’à présent personne au Pakistan n’a été exécuté au nom de la loi sur le blasphème. (Mais deux personnes ont été assassinées pour avoir défendu Asia Bibi : le gouverneur du Pendjab Salman Taseer, et le propre frère de Paul Bhatti, le ministre catholique Shahbaz Bhatti.)
Paul Bhatti annonce qu’il va retourner au Pakistan pour s’occuper personnellement de l’affaire.
Paul Bhatti était médecin en Italie quand son frère ministre fut assassiné. Il eut le courage héroïque de retourner au Pakistan, pour continuer l’œuvre de son frère, y compris au gouvernement. Depuis le changement de gouvernement il était revenu en Italie. Il faut prier pour Asia Bibi, mais aussi pour que Paul Bhatti ne soit pas assassiné dès son arrivée au Pakistan.
Un Marocain résidant en France, accompagné de ses deux filles de nationalité française âgées de quatre et deux ans, a été interpellé hier à Casablanca, au Maroc, alors qu'il cherchait à rejoindre l’Etat islamique via la Turquie.
Cet homme avait déjà été interpellé en France et faisait l'objet d'un contrôle judiciaire, a fait savoir le ministère français de l'Intérieur cité par l'agence de presse marocaine. Il était en contact étroit avec les chefs de l’Etat islamique.
Outre les deux fillettes, l'homme interpellé se trouvait en compagnie « d'une citoyenne marocaine avec laquelle il a contracté un mariage coutumier ». « Son épouse, de nationalité française, serait restée en France »…
Sous le régime de Suharto (qui fut fidèle à son unique femme toute sa vie), la polygamie était strictement interdite en Indonésie pour les fonctionnaires, et difficile pour les autres : selon la loi toujours en vigueur, il faut l’accord explicite de la première épouse, une lettre certifiant que l’homme a des revenus suffisants et qu’il partagera ses nuits, et surtout sur le plan civil seule la première union est reconnue (ce qui a une implication directe sur les enfants). De ce fait la polygamie était devenue extrêmement minoritaire, et très mal vue, surtout par les femmes, bien sûr. Mais la ré-islamisation de l’Indonésie est en train de changer la situation. Des imams se produisent avec leurs épouses, plusieurs ministres sont ouvertement polygames.
Et un chef de district vient d’avoir une idée pour répandre la polygamie tout en remplissant les caisses de son secteur : Dahlan bin Ali a pris un décret selon lequel dans son district de Lombok-Est les hommes pourront désormais prendre d’autres épouses sans autre condition que de… payer une amende d’un million de roupies (80 dollars).
A Jakarta, le gouvernement soulève toutefois la question de la légalité et de la constitutionnalité du décret…
La prochaine victime américaine de l’Etat islamique devrait (ou devait) être Peter Kassig, un humanitaire de 26 ans capturé en octobre 2013.
Le jeune homme s’est « converti à l’islam » et se fait appeler Abdulrahman (le serviteur du Miséricordieux…).
Du coup ses parents, pour le sauver, en remettent dans la soumission la plus veule à l’islam, ne l’appellent que Abdulrahman et font les prières musulmanes en public, et sa mère ne se montre plus que voilée. Voilà donc l’image que l’Occident donne aux jihadistes : une image qui leur montre que le fruit est mûr...
La nouvelle église syro-catholique de la Résurrection, à Qaraqosh, avait été consacrée en 2009. Elle a été détruite par les bombardements de la coalition.
Après en avoir enlevé la croix, les jihadistes en avaient fait une base logistique.
(Les habitants de Qaraqosh, à 90% syro-catholiques, sont réfugiés au Kurdistan depuis le 7 août.)
La Haute Cour de Lahore, tribunal d’appel, a confirmé ce matin la condamnation à la peine capitale d’Asia Bibi.
La surprise est totale, car il est rarissime que les peines de mort pour « blasphème » soient confirmées en appel.
« Le juge a retenu valides et crédibles les accusations des deux musulmanes – deux sœurs – qui ont témoigné à propos du présumé blasphème commis par Asia Bibi. Ce sont celles avec lesquelles elle s’était disputée et qui avaient provoqué toute l’affaire », a expliqué l’un de ses avocats, Maître Shakir. « La justice est toujours plus entre les mains des extrémistes » – a-t-il ajouté précisant qu’en accord avec le mari d’Asia Bibi, un recours sera présenté devant la Cour Suprême, dernier degré de jugement au Pakistan.
Selon des informations parvenues à l'agence Fides, les jihadistes de l’Etat islamique ont enlevé les croix du monastère Saint-Behnam, près de Qaraqosh en Irak, qu’ils occupent depuis juillet dernier, et ont brûlé d’antiques manuscrits. Sur les murs ils ont écrit : « Propriété de l’Etat islamique. »
Ce monastère, dont l’origine remonte au IVe siècle, est le lieu le plus vénéré du catholicisme syriaque.