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Immigration - Page 68

  • L’ignoble exploitation d’un accident

    Un garçon tchétchène a été grièvement blessé en tombant du 4e étage de son immeuble, à Amiens, en suivant son père qui voulait échapper par les balcons à la police venue l’interpeller. Alors que les policiers n’étaient même pas entrés dans l’appartement, ce sont eux, et le gouvernement, qui sont mis en accusation. Le groupuscule RESF s’est emparé de l’affaire, et les partis de gauche orchestrent une nouvelle campagne contre les arrestations et expulsions de clandestins, avec la complicité active des médias audiovisuels.

    Le mot de « rafle » est de nouveau utilisé, et le parti communiste s’est particulièrement distingué en « exigeant » que « cessent les rafles qui plongent dans la terreur des familles entières ».

    On s’étonne que les organisations représentatives de la communauté juive ne s’élèvent pas contre de tels propos.

  • La nouvelle tactique des clandestins

    Le feuilleton des « sans-papiers » de l’été 2007 se déroule à Lille. Le 1er août, la police interpellait quelque 120 clandestins qui avaient installé des tentes et entrepris une grève de la faim dans le parc de la Bourse du Travail. La plupart d’entre eux ont été remis en liberté par le juge des libertés et de la détention tandis que d’autres juges statuaient sur leur « reconduite à la frontière », pour rien, puisqu’ils sont dans la nature...

    Mais les partis de gauche et les groupuscules qui les manipulent n’entendent pas en rester là. Ils ont inventé une nouvelle tactique pour continuer le feuilleton : le harcèlement des hôpitaux. Le 11 août, on comptait pas moins de 400 « visites » dans les six jours précédents. Les clandestins vont et viennent entre les services d’urgence des hôpitaux, exigent d’être soignés alors qu’ils ne souffrent d’aucune pathologie, campent dans les services... Le responsable des urgences au CHR de Lille, le Dr. Patrick Goldstein, a déclaré au Figaro : « Chaque établissement de la métropole reçoit entre six et dix personnes par jour, qui parfois nous sollicitent plusieurs fois dans la même journée. » Il évoque « une prise d’otages, une stratégie dans laquelle on utilise l’hôpital pour faire pression sur les pouvoirs publics ». Et la préfecture dénonce un « mouvement orchestré »...

    Le « collectif des sans-papiers 59 », dénonce quant à lui « des pratiques hospitalières indignes » et déclare sans rire que « des bilans réguliers sont nécessaires pour les grévistes de la faim parce que leur situation reste critique » (sic).

    La situation est telle que la Fédération hospitalière de France a demandé « avec fermeté que les critiques et les actions en cours cessent immédiatement afin que soit préservée la qualité de l’accueil dans les services d’urgence de la région ».

    Le PS, le PC et les Verts se mobilisent pour les clandestins. Ils ont tenu hier une conférence de presse commune pour dénoncer une situation qui n’est « pas digne de la République », et accuser le préfet du Nord d’avoir « choisi (sic) d’être le bras armé du ministre de l’Immigration et de l’Identité nationale »... Lequel préfet doit les recevoir aujourd’hui...

    Ce qui n’est pas digne de la République, c’est de soutenir l’illégalité.

  • Marseille, quel pays ?

     

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    Au cours du match OM-Rennes, samedi dernier à Marseille. Les supporters forment le logo de l’OM, surmonté du drapeau national...

  • Les « sans-papiers » de Lille

    Les tribunaux administratifs ont commencé hier à étudier les recours contre les arrêtés de reconduite à la frontière de 86 étrangers en situation irrégulière interpellés le 1er août dans le parc de la Bourse du travail de Lille. C’est le nouveau feuilleton immigrationniste de l’été. On arrête des clandestins, les lobbies crient très fort contre la « rafle », et tout cela pour rien. L’opération ne sert que la propagande gauchiste.

    En tout, ce sont environ 120 clandestins, essentiellement algériens et guinéens, qui ont été interpellés le 1er août, alors qu’ils faisaient une grève de la faim dans le parc, où ils s’étaient installés (où on les avait installés) avec des tentes, le 25 juillet.

    Sur les 120, 86 ont été placés en rétention et devaient être « reconduits à la frontière ». Mais 66 d’entre eux ont été remis en liberté par le juge des libertés et de la détention, qui refusait la prolongation de leur rétention demandée par la préfecture.

     La justice statue donc sur les dossiers de clandestins qui pour la plupart sont dans la nature... Quant à ceux qui sont restés en rétention, il y en a à Lille, à Toulouse, à Rennes, à Bordeaux...

    Hier, à Lille, cinq recours ont été rejetés. A Toulouse, trois ont été rejetés, un a été accepté.

    Selon l’avocate de plusieurs d’entre eux, les procédures d’interpellation, de placement en garde à vue ou en rétention ont été « bâclées » et présentaient des « irrégularités flagrantes ». Ce qui expliquerait le nombre de remises en liberté. A chaque fois, on entend ce genre de propos. Il est probable qu’il en soit effectivement ainsi, et dans ce cas, dans ces cas qui sont devenus habituels, il est légitime de soupçonner que ces irrégularités sont commises à dessein.

    Pendant ce temps-là, les clandestins poursuivent leur grève de la faim dans le parc lillois. Il y a ceux qui n’avaient pas été interpellés, des nouveaux, et ceux qui ont été libérés et reviennent... Et comme ils observent réellement une grève de la faim, les pompiers doivent chaque jour en transporter un certain nombre vers les hôpitaux. Une situation, dit l’AFP en termes choisis, qui « engendre parfois tension ou lassitude, les pompiers évoquant des manœuvres répétitives et le Samu reconnaissant des difficultés »...

    Cela s’appelle une politique de gribouille.

  • Leçon de choses

    Deux hommes ont été arrêtés et mis en examen pour meurtre et meurtre en récidive, celui de Jennifer, 21 ans, dont le corps partiellement brûlé avait été découvert à Saint-Sulpice-de-Royan fin avril.

    Celui qui est mis en examen pour meurtre en récidive est un Portugais. Il avait été condamné en 1993 pour viol et tentative de meurtre, et il avait déjà alors tenté de brûler sa victime. Il avait été libéré en 2003, et avait fait l’objet d’un arrêté de reconduite à la frontière. Il avait été renvoyé au Portugal... et était revenu en Charente-maritime.

    On peut se dire qu’en abolissant la prétendue « double-peine », dont ce Portugais était une victime, Nicolas Sarkozy a permis de faire désormais économiser à l’Etat le prix d’une « reconduite », et à la victime de cette injustice le prix de son retour parmi nous...

    L’Europe, c’est aussi le meurtre sans frontières.

  • Pourquoi il faut arrêter les expulsions par avion

    Les élus du comité central d’entreprise d’Air France ont adopté à l’unanimité (CFDT, CGT, FO, CGC) une motion demandant aux actionnaires « l’arrêt de l’utilisation des avions du groupe pour les expulsions d’étrangers, qui nuisent à l’image de la compagnie et à la sécurité des vols ».

    Il y a de plus en plus de vols annulés parce que les expulsés refusent d’être embarqués, soutenus par les lobbies immigrationnistes toujours présents. La solution, pour éviter les troubles, est donc de supprimer les expulsions... Ce sont des syndicalistes responsables qui s’expriment ainsi. Sans arrière-pensée politique, bien sûr, comme le souligne du reste un délégué CGT : « C’est une manière d’alerter les actionnaires qui sont là pour gagner de l’argent sur un problème qui est aussi commercial. »

    C’est beau, non, de voir la CGT s’inquiéter du revenu des actionnaires d’Air France...

     

    Addendum. La CFTC (mais oui bien sûr), Sud, et deux syndicats minoritaires de pilotes se sont joints à cette motion dont ils ont manifestement appris l’existence aujourd’hui comme tout le monde (elle date du 5 juillet), et ils demandent un moratoire sur les expulsions d’étrangers en situation irrégulière. Un porte-parole d’Air France déclare que les mesures d’expulsion sont exécutées par le ministère de l'Intérieur et qu’il « n'appartient pas à Air France de remettre en cause de telles décisions prises dans le cadre d'un Etat de droit ». 

  • Pas un centime pour Sangatte II !

    Communiqué de Carl Lang

    Dès le 20 juin dernier, la presse britannique s’était fait l’écho de l’ouverture imminente d’un nouveau « centre d’accueil et d’orientation » des immigrés clandestins à Calais. Interrogés en séance plénière le 27 juin à ce sujet par les élus du Front National, le préfet de la région Nord/Pas-de-Calais et le président socialiste du conseil régional étaient restés très évasifs, prétextant une exagération de la presse britannique.

    Le sous-préfet de Calais a confirmé cette information le 28 juin 2007. Le conseil régional Nord/Pas-de-Calais quant à lui, assumerait financièrement, selon la presse locale, le fonctionnement de cette structure de grande capacité.

    Carl Lang appelle tous les élus sincères à s’opposer au financement de ce Sangatte-bis par l’argent du contribuable. Il demande au sous-préfet de Calais d’appliquer la loi et d’expulser les clandestins entrés illégalement sur le territoire français, combien même seraient-ils « en transit » vers la Grande Bretagne.

  • Les lobbies de l’immigration auxiliaires du Président Sarkozy

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Conformément à ce qu’il avait annoncé, le président de la République a demandé au ministre de l’Intérieur de parvenir à ce que l’immigration économique représente 50 % de l’immigration légale.

    Cela revient grosso modo à multiplier par dix les chiffres de l’immigration légale, puisque l’immense majorité des immigrés légaux viennent dans notre pays au titre du regroupement familial et que 5 à 7 % seulement viennent pour travailler. Ensuite, bien évidemment, les nouveaux travailleurs appliqueront à leur profit la possibilité du regroupement familial, et il faudra toujours augmenter le nombre de nouveaux immigrés pour garder le taux de 50 %.

    Les lobbies de l’immigration font semblant de croire que ce taux s’applique au contingent actuel d’immigrés, et crient très fort que cet objectif remet gravement en cause le regroupement familial, donc les droits de l’homme, etc.

    Naturellement, il n’en est rien. Mais le président de la République peut se féliciter de trouver ainsi dans des lobbies d’opposition de zélés auxiliaires qui font croire aux Français qu’il veut limiter l’immigration.

  • Les 50 % d’immigrés économiques

    Nicolas Sarkozy réitére, dans la lettre de mission qu’il envoie à son ministre Hortefeux, son objectif de parvenir à ce que l’immigration économique représente 50 % de l’immigration légale. Réitérons à notre tour ce que cela veut dire. Comme cette immigration de travail représente aujourd’hui environ 5 %, l’objectif assigné à Brice Hortefeux est de la multiplier par dix. Et comme l’essentiel de l’immigration légale est due au regroupement familial, que les nouvelles lois ne feront pas diminuer, l’objectif réel est grosso modo de doubler l’immigration légale. Dans un premier temps. Car ensuite, naturellement, les nouveaux immigrés économiques feront jouer à leur tour le regroupement familial... Ce qui augmentera l'immigration de façon exponentielle.

    Cela s’appelle « l’immigration choisie », qui s’ajoute à « l’immigration subie ».

  • Malte appelle de nouveau au secours

    « Toujours plus de réfugiés viennent chez nous, nous avons d’énormes problèmes... Il est impossible pour nous de fournir des hébergements pour les réfugiés, de leur proposer une formation. Il est impossible de les intégrer plus tard dans notre société. » Tel est le cri d’alarme du Premier ministre de Malte, Lawrence Gonzi, dans un entretien à la presse allemande. Quelque 2.000 immigrants clandestins arrivent à Malte chaque année : « c’est un chiffre très très élevé par rapport à notre population » de 400.000 habitants, souligne Lawrence Gonzi, qui en appelle de nouveau à la « solidarité européenne », pour que les différents pays de l’UE se répartissent les demandes d’asile et aident à l’expulsion des clandestins. « Il ne s’agit pas seulement de Malte mais de l’avenir de l’Union européenne », souligne-t-il.

    Malte avait déjà formulé cette demande, mais s’était heurtée au refus de plusieurs « partenaires », dont l’Allemagne qui présidait l’UE au dernier semestre. Le gouvernement maltais espère être entendu par la nouvelle présidence portugaise...

    Mais la « solidarité européenne », en la matière, c’est chacun se débrouille avec ses clandestins, surtout les pays qui sont à la frontière extérieure de l’UE et que Bruxelles laisse totalement démunis, car l’idéologie européiste est qu’il ne doit pas y avoir de frontières, quelles qu’elles soient. Jusqu’ici, la réponse à Malte n’a pas été seulement une fin de non-recevoir, mais aussi des admonestations pour non-respect des droits de l’homme...