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Immigration - Page 70

  • Amsterdam : les découvertes d’un travailliste

    « Une école primaire d’Amsterdam-Nord a décidé de ne plus enseigner la vie à la ferme. Plusieurs élèves ont commencé à démolir la salle de classe quand on a parlé du cochon. Apparemment c’est allé aussi loin que cela. Ces enfants, de 9 et 10 ans, n’ont pas reçu chez eux les règles les plus élémentaires leur permettant de savoir pourquoi ils doivent aller à l’école. »

    L’homme qui écrit ceci dans le journal De Volkskrant n’est pas un agitateur d’extrême droite islamophobe. C’est Lodewijk Asscher, qui est conseiller municipal travailliste, et le chef du parti travailliste à Amsterdam.

    Choqué par ce qu’il découvre, il veut lancer un sévère avertissement aux parents islamistes, avec menace de suppression d’allocations. Cela même qui a été récemment rejeté au Parlement par le ministre de la Famille. Il est vrai que la demande émanait alors du « xénophobe » Parti de la Liberté.

    Le travailliste Lodewijk Asscher veut aussi tailler dans forêt de subventions municipales dont bénéficient toutes sortes de « fondations » et d’organisations travaillant pour le « multiculturalisme », dont le total s’élève à 160 millions d’euros par an.

    Il faut vérifier ce qu’elles font, dit Ascher, qui donne l’exemple suivant : « Un Marocain a retiré de la rue 50 jeunes qui étaient une énorme nuisance. Maintenant ils collectent des chaises roulantes pour les handicapés au Surinam, au Maroc et en Turquie. Tout à coup on lui a adjoint une association d’assistance sociale, qui essaie maintenant de lui prendre les jeunes, parce que cet organisme toucherait alors entre 4.000 et 6.000 euros par jeune. Ils sont incapables de retirer ces jeunes de la rue, et maintenant ils les veulent sur leur carnet d’adresses à cause des subventions. Notre Marocain ne veut plus faire ce qu’il a fait. Je le comprends. »

    Le conseiller municipal se dit aussi choqué par l’impuissance des associations d’assistance sociale censées tenter de ramener les jeunes délinquants dans le droit chemin. Il a découvert que dans un district d’Amsterdam une mère de dix enfants, dont la moitié sont « connus des services de police » pour des affaires criminelles, est conseillée par 35 travailleurs sociaux, et chacun d’eux n’a aucune idée de ce que fait l’autre…

  • Pourquoi tu veux que je parte ?

    Lu dans un article du Monde en ligne sur l’ancien footballeur Basile Boli qui soutient Sarkozy :

    « Un jour, j'ai été convoqué par six cents Français d'origine africaine à Saint-Denis. Un homme m'a dit : en France grâce à mes enfants, je touche 6 000 euros par mois d'indemnités. Si je rentre au pays, je n'aurai droit à rien. Basile, pourquoi tu veux que je parte ? »
  • Mahomet flouté

    L’éditeur de manuels scolaires Belin a flouté le visage de Mahomet dans une miniature du XIIIe siècle reproduite dans un manuel d’histoire de cinquième. L’affaire s’est répandue dans les journaux à la fin de la semaine dernière, parce que Charlie Hebdo en a fait état. Cela circulait sur internet depuis quelques jours. L’affaire a en fait été lancée par le site athéisme.org.

    Comme on peut l’imaginer au seul énoncé de ces « références », le commentaire est : haro sur l’éditeur, ce lâche, ce pleutre, qui se soumet au religieusement correct. Et certains de nos amis s’engouffrent sans réfléchir dans cette campagne.

    Qu’en est-il en réalité ?

    D’abord, il s’agit d’un livre édité en 2005. Les sourcilleux gardiens de la liberté d’expression ne sont pas très vigilants.

    Le livre a d’abord été imprimé en avril 2005 et présenté à des enseignants. Plusieurs professeurs ont fait part à l’éditeur du « caractère provocant aujourd’hui d’une telle représentation du prophète Mohammed et par conséquent, de la difficulté d’enseigner sereinement dans des classes très hétérogènes », selon l’explication donnée par l’éditeur, langue de bois comprise. Dans l’édition publiée à la rentrée suivante, Belin a donc décidé de « flouter » le visage du prophète de l’islam, en surimpression, comme on le fait à la télévision, afin que l’altération soit bien visible.

    Il ne s’agit donc pas d’une lâcheté de Belin, mais d’une conséquence de l’islamisation des écoles. Avant de crier haro sur l’éditeur, il vaudrait mieux lire le rapport Obin, commandé par l’Education nationale et terminé en juin 2004, et qui fut occulté tant il était explosif (grâce à une fuite, il a pu circuler sur internet). En voici un petit extrait :

    « Devant l’abondance des contestations et une parole débridée des élèves, qu’ils ne parviennent pas à maîtriser, la réaction la plus répandue des enseignants est sans doute l’autocensure. La peur des élèves, une mauvaise expérience d’une première année d’enseignement, et on décide de ne pas aborder telle question sensible du programme. Cette attitude est sans doute largement sous-estimée, car les intéressés n’en parlent qu’avec réticence ; mais elle ne constitue pas vraiment une surprise. Il n’en est pas de même du second type de réactions, rencontré à plusieurs reprises et qui consiste, devant l’abondance des contestations d’élèves s’appuyant sur le Coran, à recourir au livre sacré pour tenter de légitimer l’enseignement. Ainsi ce professeur qui déclare en toute candeur s’appuyer sur les élèves inscrits à l’école coranique (« mes bons élèves » dit-il), garants de l’orthodoxie musulmane, afin d’invalider les contestations venant d’autres élèves. Le comble est sans doute atteint avec ce professeur enseignant avec le Coran sur son bureau (édition bilingue, car certains élèves n’ont foi qu’en la version arabe, langue qu’il ne lit pas !), et qui y recourt dès que des contestations se manifestent. On peut alors parler d’une véritable théologisation de la pédagogie. »

    En fait, chez Belin aussi, on aurait dû lire le rapport Obin avant de mettre dans un livre une miniature représentant Mahomet...

    La question n’est pas celle de l’autocensure de l’éditeur, mais celle des troubles provoqués dans les classes par le déferlement de l’islam.

    Ce n’est pas à Belin qu’il faut s’en prendre, mais aux dirigeants politiques qui ont laissé et laissent se développer une immigration musulmane, qui ont laissé et laissent se développer dans les quartiers (pas seulement dans les banlieues des grandes villes, soulignait le rapport Obin) un islam radical imposant sa loi jusque dans les écoles.

  • "Ces Français issus de l'immigration tentés par l'extrême droite"

    Texte d’une intéressante dépêche de l’AFP, sans commentaire (sinon pour signaler que l’association SOS Enfants d’Irak n’a pas été fondée par Farid Smahi mais par Jany Le Pen, et pour rappeler que l’expression « extrême droite » n’est pas une description mais une calomnie diabolisatrice).

    Le phénomène reste minoritaire mais prend une ampleur inédite: des Français issus de l'immigration, pères de famille ou jeunes de banlieue, se disent prêts à voter à la présidentielle pour Jean-Marie Le Pen, champion de la "préférence nationale".

    "Je vais voter pour Le Pen", affirme sans hésiter Mourad Asfour, 25 ans, étudiant en histoire de l'art à Dijon.

    Pour lui, le candidat du FN, finaliste inattendu de 2002, crédité cette année de 13% à 16% des intentions de vote, est le seul candidat qui "incarne l'amour de la France".

    Arrivé du Maroc à 1 an, ce musulman pratiquant approuve la priorité donnée à la lutte contre l'immigration car "les capacités d'accueil de la France sont saturées". Il estime que M. Le Pen partage avec lui certaines "valeurs morales", comme l'opposition au mariage homosexuel.

    Il n'est pas isolé: le Canard enchaîné a fait état d'un sondage réalisé pour le ministère de l'Intérieur, selon lequel 8% des Français originaires du Maghreb seraient prêts à voter Le Pen. Soit plus de 100.000 électeurs potentiels.

    Le candidat d'extrême droite a réussi un coup médiatique vendredi, en se rendant sur la dalle d'Argenteuil où l'UMP Nicolas Sarkozy, qui y avait parlé de "racaille", est mis par ses rivaux au défi de revenir.

    Il avait déjà surpris en choisissant une jeune fille d'origine nord-africaine pour illustrer une des premières affiches de sa campagne 2007.

    "Plutôt de gauche", Habiba Boualem, une juriste de 35 ans, dit que le parti socialiste ne lui "convient plus". Et puisqu'elle ne voit "aucune différence" entre le FN et l'UMP, elle choisit "l'original plutôt que la photocopie" (formule qu'affectionne Le Pen). C'est donc le candidat Front national qui aura son suffrage.

    Cette fille d'immigrés algériens, qui vit dans la cité du Mirail à Toulouse, souhaite une "régulation de l'immigration".

    "Le pauvre chasse plus pauvre que lui", constate avec amertume Sophia Chikirou, 27 ans, membre des instances dirigeantes du PS et auteur de "Ma France laïque".

    Egalement fille d'immigrés algériens, cette militante du XXe arrondissement de Paris a constaté que nombre de commerçants immigrés de son quartier s'étaient engagés pour Le Pen.

    Par exemple, propriétaires de petits hôtels réquisitionnés par les services sociaux pour l'hébergement de familles de sans-papiers, ils se retrouvent face à des dégradations. "Ils en veulent aux autorités et disent: +avec le Pen on sera débarrassé des sans-papiers et de la polygamie+".

    "Y en a marre de voir des Maliens sans papiers logés dans des hôtels", confirme Farid Smahi, membre du bureau politique du FN, qui se déclare "Français patriote et musulman", et n'hésite pas aller vanter la "préférence nationale" dans des banlieues pauvres où il était autrefois "insulté".

    Grâce à son association créée pour aider les enfants irakiens pendant l'embargo international, M. Smahi a réussi à se "faire accepter", puis se "faire entendre". Il assure avoir apporté 3.500 adhésions d'immigrés en moins d'un an au FN.

    Perçu d'abord comme un "épiphénomène", le vote FN d'origine immigrée comporte désormais une "part d'adhésion", note le politologue Jean-Yves Camus.

    C'est le cas de A.M., avocat algérien de 50 ans reconverti dans le commerce à Paris, père de deux enfants scolarisés dans le privé, qui ne supporte plus de voir ses impôts "distribués à des blacks et des arabes" pour lesquels la France ne serait "qu'une vache à traire".

    Il votera donc Le Pen, même s'il estime que "le bâton peut se retourner" un jour contre lui.

  • Le candidat de l’épiscopat

    Le président de la conférence épiscopale française, inaugurant l’assemblée plénière des évêques, a fixé les principes que les catholiques doivent avoir à l’esprit pour choisir leur candidat à la présidentielle.

    Voici quels sont ces principes, tels qu’ils figurent en caractères gras dans le texte publié sur le site de la conférence épiscopale.

    1 - Nous voulons redire clairement notre oui en faveur de la famille.

    2 - Nous disons oui à tout ce qui est fait pour accompagner les personnes en fin de vie.

    3 - Nous voulons également dire oui à tout ce qui conduit à un plus grand partage du travail et des richesses.

    4 - Nous disons oui à un accueil des immigrés, généreux, responsable et respectueux des droits de l’homme, et nous avons à y prendre notre part.

    5 - Notre vie en société appelle des points de repère nets sur les exigences du bien commun et sur la mise en œuvre effective de la fraternité.

    Le point 4 est quasi ouvertement un appel à ne pas voter Le Pen, d’autant que le texte insiste sur le fait qu’on n’a pas le droit de « barrer la route aux immigrés ou vouloir les renvoyer chez eux ».

    Le point 3 est ouvertement socialo-communiste. Le « partage du travail et des richesses » (qui est le contraire de la création de travail et de richesses), cela oriente vers Besancenot, Laguiller, Buffet, ou Bové (car on parle aussi de « développement solidaire », etc.), à l’extrême rigueur vers Ségolène Royal, les jours où la blairiste prend des couleurs révolutionnaires.

    Mais le point 1 écarte les candidats de gauche, d’autant que le texte précise ensuite que la famille est fondée sur le mariage d’un homme et d’une femme, et dit « non aux unions entre personnes du même sexe ».

    Quant au point 5, il laisse perplexe. Car nulle part dans le texte il n’est question de la nation et de la patrie. Or il ne peut y avoir de bien commun que national. Les « exigences » du bien commun sont donc vides de sens.

    Et cela se vérifie par le point 4 : le bien commun national, n’en déplaise à Mgr Ricard, peut parfaitement conduire à avoir le droit de « barrer la route aux immigrés » (ou plutôt de ne pas les faire venir). C’est même aujourd’hui un devoir, si l’on veut sauvegarder l’identité de notre pays. Mais bien sûr le mot identité ne fait pas non plus partie du vocabulaire épiscopal.

  • Venez-tous !

    Hier sur RTL/LCI, Ségolène Royal a affirmé que les parents ou grands-parents d’enfants scolarisés, en situation irrégulière, devaient être régularisés. Le journaliste, manifestement interloqué, a répété sa question. Et elle a répété le même propos.

    Autrement dit, le gouvernement de Ségolène Royal régularisera tous les clandestins pour peu qu’ils aient des enfants. Avis à la planète entière : venez clandestinement avec un enfant, on vous donnera automatiquement des papiers.

    Une seule condition : on vous donnera aussi un drapeau tricolore, que vous devrez arborer dans votre foyer, et accrocher à la fenêtre le 14 juillet. Identité nationale oblige.

  • Un ministre socialiste parle comme Le Pen

    Sous ce titre, Jean-Marie Le Pen commente lui-même, dans un communiqué, les propos de John Reid signalés dans une note précédente :

    Le ministre britannique de l’Intérieur, le travailliste John Reid, déclare que l’immigration illégale est « injuste », parce qu’elle « sape le droit des travailleurs britanniques, vole l’argent du contribuable en utilisant des allocations, des services publics, fournis par les contribuables britanniques pour les Britanniques ». En conséquence, il veut donc interdire « l’accès aux avantages de la Grande-Bretagne » à ceux qui entrent dans le pays illégalement.

    Nous n’avons pas entendu la « blairiste » Ségolène Royal, ni aucune autre personnalité de droite ou de gauche, dénoncer ces propos, qui sont pourtant stigmatisés comme xénophobes lorsque c’est Le Pen qui les tient.

    J’attire l’attention des Français sur cet accord parfait entre un ministre socialiste britannique et le candidat national à la présidentielle française.

    Il tient au fait qu’il ne s’agit pas d’idéologie, mais simplement de bon sens, de défense de la patrie et du bien commun, qui sont les fondements de l’action politique, mais qui manquent tragiquement à mes concurrents.

  • L’immigration illégale vole l’argent des nationaux

    « L’immigration illégale porte atteinte au salaire minimum, elle est injuste, elle sape le droit des travailleurs français, vole l’argent du contribuable en utilisant des allocations, des services publics fournis par les contribuables français pour les Français ». Il faut donc interdire « l’accès aux avantages de la France » à ceux qui entrent dans le pays illégalement.

    Qui a dit cela hier ? Jean-Marie Le Pen ?

    Non. Dans les citations, il faut lire en fait « britannique », et « Grande-Bretagne ». Elles sont du ministre britannique de l’Intérieur, le socialiste John Reid.

    On voit que lorsque John Reid dit cela pour la Grande-Bretagne, personne ne crie à la xénophobie, tandis que lorsque Jean-Marie Le Pen dit exactement la même chose pour la France, il suscite un tollé de toutes les bonnes consciences, de droite comme de gauche...

  • Delanoë et les clandestins

    Le maire de Paris Bertrand Delanoë « tient à dénoncer l’opération de police qui s’est déroulée mardi soir, place de la République, à l’encontre de personnes en situation irrégulière ».

    En effet, si l’on se met à arrêter des gens qui non seulement enfreignent la loi mais n’ont en outre aucun titre à être sur le territoire français, on se demande où on va…

  • Ça va, ça vient…

    Un juge du tribunal de grande instance de Lille a remis en liberté 23 immigrés en situation irrégulière et « expulsables ». Ils avaient été transférés dans un centre de rétention de Lille après l’incendie, par un Malien, un Ivoirien, un Marocain et un Tunisien, du centre de rétention de Vincennes. Leur avocat a expliqué : « Lorsqu’on place une personne en rétention c’est sous le contrôle d’un juge. Lorsqu’on la déplace c’est toujours sous le contrôle d’un juge. Or les juges de Lille avaient été prévenus trop tard. »