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Immigration - Page 36

  • CET HOMME EST LA HONTE DE LA FRANCE

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    Ainsi, l’histoire retiendra qu’en 2013, un chef de l’Etat français aura en même temps, dans une seule décision, violé à la fois l’Etat de droit et les lois supérieures de l’humanité.

    Violé l’Etat de droit, puisque juste après avoir constaté que l’expulsion de Leonarda et de sa famille s’était faite dans le respect de toutes les règles, il propose à Leonarda de revenir en France…

    Violé les lois supérieures de l’humanité, puisqu’il souligne que la proposition est faite à l’adolescente seule, qui doit donc quitter sa famille (pour une famille d’accueil…) si elle veut bénéficier de la décision de non-droit du président.

    Ou bien François Hollande a pris cette décision délirante, en sachant pertinemment qu’elle ne serait pas acceptée, pour apaiser sa gauche et faire plaisir aux quelques centaines de lycéens manifestant dans les rues (car quelques centaines de lycéens, c’est autrement plus important que des millions de Français manifestant contre la loi Taubira).

    Ou bien il a pris cette décision délirante en étant convaincu que c’était la bonne.

    Dans les deux cas c’est une honte énorme pour notre pays.

    Et, bien entendu, c’est politiquement raté : le Parti de gauche a immédiatement crié que c’était une « abjecte cruauté ». Ce qui est simplement vrai, même si, venant d’un parti héritier du stalinisme, la réaction est grotesque.

    Le premier effet collatéral, c’est une terrible déstabilisation de tous les fonctionnaires chargés de faire respecter les lois sur l’immigration, qui se trouvent d’un coup désavoués par le chef de l’Etat. Si par hasard c’était volontaire, ce serait, en outre, une trahison.

  • Mgr Bouche d’or…

    Mardi dernier, des Roms ont été expulsés d’un terrain du quartier de l’Eure, au Havre.

    L’évêque, Mgr Brunin, avait réagi : « Attention, ne tournons pas le dos à la fraternité, ce n’est pas parce qu’on va exclure les autres que les choses iront mieux. » Et il citait le pape François qui « rappelait récemment que les lois doivent être claires sur le fait qu’aider, secourir est un devoir juridique et éthique ».

    Certains de ces Roms se sont installés dans les jardins de l’église Saint-Augustin.

    L’évêque, Mgr Brunin, a dénoncé un « coup de force », et, hier, il a appelé un huissier pour faire constater l’occupation…

  • La polygamie partiellement reconnue

    Un arrêt de la Cour de cassation, le 7 avril dernier, est passé inaperçu en France, mais pas en Afrique…

    La Cour de cassation a décidé, révèle Valeurs actuelles, qu'un parent algérien installé en France peut toucher des allocations familiales au titre de ses enfants nés en Algérie si ceux-ci viennent le rejoindre.

    Il est vrai que, dit comme ça, on ne voit pas où est la nouveauté. La nouveauté, c’est qu’en raison du principe de non-discrimination, la Cour de cassation précise qu’il s’agit de tout enfant, y compris en dehors du regroupement familial.

    Et quels sont ces enfants jusqu’ici exclus du regroupement familial ? Les enfants de familles polygames, puisque la famille c’est un seul père et une seule mère. On se demande d’ailleurs bien pourquoi, puisque bientôt ce sera un parent 1 et un parent 2 : on ne voit pas pourquoi il n’y aurait pas un parent 3 et un parent 4, d’ailleurs on y viendra forcément. Et la Cour de cassation, d’une certaine façon, prend les devants. Le principe de non-discrimination interdit toute discrimination, donc oblige à reconnaître les familles polygames. Pour les allocations, pour commencer.

    Et il est bien évident que ce qui est jugé pour un Algérien l’est pour tout le monde. Pour toute l’Afrique, notamment.

  • Suisse : des tests ADN pour les demandeurs d’asile…

    La proposition avait suscité un tollé… Mais le Conseil national, le Parlement suisse, a adopté mercredi, par 92 voix contre 85 —  contre l’avis du Conseil fédéral (le gouvernement) — la motion demandant que des tests ADN soient réalisés sur certains demandeurs d’asile.

    L’auteur de la motion, Christophe Darbellay, qui n’est pas de l’UDC mais du très centriste parti démocrate chrétien, a fait valoir que la criminalité étrangère a doublé depuis le printemps arabe et que les prélèvements permettraient de lutter efficacement contre le phénomène.

    « Sont notamment visés les jeunes requérants en provenance du Maroc, de Tunisie ou d'Algérie surreprésentés dans la statistique criminelle. », expliquent les médias. Et le chef de la police commente : « Ça va nous permettre de gagner du temps dès le premier délit. »

  • Une grossièreté anticatholique de Mme Vallaud-Belkacem

    Au nom du gouvernement français, hier, sur Canal Plus :

    « Le mariage forcé ne concerne pas que les sociétés musulmanes, il peut concerner des sociétés catholiques. Il faut arrêter la stigmatisation. »

    L’Eglise catholique a toujours condamné le mariage forcé et l’a toujours considéré comme nul. En revanche, le Prophète de Mme Vallaud-Belkacem a lui-même donné l’exemple de mariages forcés.

    On ne parlait pas de mariages forcés avant l’immigration massive maghrébine. Toutes les affaires de mariage forcé concernent évidemment des musulmans, et en outre ces « mariages » ont souvent lieu au Maghreb (et la Marocaine Vallaud-Belkacem le sait parfaitement)…

    (Via FDesouche)

  • Le droit de ne pas émigrer

    Extrait du message de Benoît XVI pour la Journée 2013 (sic) du migrant :

    Certes, chaque Etat a le droit de réguler les flux migratoires et de mettre en œuvre des politiques dictées par les exigences générales du bien commun, mais toujours en garantissant le respect de la dignité de chaque personne humaine. Le droit de la personne à émigrer – comme le rappelle la Constitution conciliaire Gaudium et spes au n. 65 - est inscrit au nombre des droits humains fondamentaux, avec la faculté pour chacun de s’établir là où il l’estime le plus opportun pour une meilleure réalisation de ses capacités, de ses aspirations et de ses projets. Dans le contexte sociopolitique actuel, cependant, avant même le droit d’émigrer, il faut réaffirmer le droit de ne pas émigrer, c’est-à-dire d’être en condition de demeurer sur sa propre terre, répétant avec le Bienheureux Jean-Paul II que « le droit primordial de l’homme est de vivre dans sa patrie : droit qui ne devient toutefois effectif que si l’on tient constamment sous contrôle les facteurs qui poussent à l’émigration » (Discours au IVème Congrès mondial des Migrations, 1998).

     

  • Vers une grande valse de naturalisations

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    Manuel Valls veut « redresser la courbe du nombre de naturalisations en revenant sur les critères les plus discriminants qui sont à l'origine de près de 70% des refus ».

    « Dès à présent, la méthode du questionnaire à choix multiple relatif à la connaissance de l'histoire de la culture française est abandonnée par décision du Premier ministre. »

    Si tout le monde devient français, ça résout le problème du droit de vote des étrangers…

  • Manuel Valls est contre le “mariage” homosexuel

    Il déclare en effet dans Le Monde, à propos du droit de vote des étrangers : « Est-ce que c'est aujourd'hui une revendication forte dans la société française? Un élément puissant d'intégration? Non. »

  • Pas de chance (pour la France)

    Le tueur de Montauban et Toulouse s’appelait Mohammed Mehra.

    Le meurtrier de deux gendarmes à Collobrières s’appelle Abdallah Boumezaar.

    Le preneur d’otages de Toulouse s’appelle Fehti Boumaza.

    L’assassin de Killian s’appelle Souleymane.

    Le tueur présumé de Lille s’appelle Mokhtari Fayçal. Son complice présumé s’appelle Djelloul Cherifi.

    Mais il ne faut pas faire d’amalgames. D’ailleurs, à part le Tchétchène Souleymane, ils sont tous « français ». Aussi.

  • Substitution

    On y arrive. A l’école Pierre Brossolette des Mureaux (Yvelines), 100% des élèves sont d’origine étrangère.