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Immigration - Page 35

  • La diversité à Villefranche-sur-Saône

    Voici la liste « Union démocratique de la Diversité », l’une des cinq listes qui se présentent aux municipales de Villefranche-sur-Saône, capitale du Beaujolais :

    1 M. OZ Yusuf

    2 Mme FARAH Jamilla

    3 M. LAZREG Benheni

    4 Mme GÜVERÇIN Gülay

    5 M. HECHAICHI Nasser

    6 Mme CALIS Imran

    7 M. DEMIRCI Emre

    8 Mme BAS Hayriye

    9 M. MEYSONNET Frédéric

    10 Mme BOUDOUH Louisa

    11 M. YAPICI Selcuk

    12 Mme BAKAR Sumeyra

    13 M. SOUILAH Nordine

    14 Mme ALBAYRAK Nazmiye

    15 M. OMEZZINE Mouez

    16 Mme HECHAICHI Zeyneb

    17 M. BOYUKKORBUZ Adilenes

    18 Mme OZ Ayse

    19 M. ACHOURI Abdellah

    20 Mme CHOUDAR Khedidja

    21 M. GULEL Mehmet

    22 Mme REZGUI EP OMEZZINE Maissa

    23 M. OZ Mehmet

    24 Mme JABER Najette

    25 M. DASSI Fathi

    26 Mme PINAR Sema

    27 M. OYMAK Ibrahim

    28 Mme KARABULUT Seyma

    29 M. AKCA Bilal

    30 Mme OZ Nazli

    31 M. KARACA Ahmet

    32 Mme GUNERHAN Hulya

    33 M. DEMIRCI Ibrahim

    34 Mme YAPICI Hacer

    35 M. ERDOGAN Abdoulah

    36 Mme CHERIFI Khedidja

    37 M. ARDICLIK Mukahil

    38 Mme YILMAZ Betul Sultan

    39 M. ARDICLIK Ali-Osman

    A première vue, on se demande où est la diversité dans cette liste de candidats turcs, et même s’il ne s’agit pas d’un canular, ou d’une liste pour des élections en Turquie.

    Mais il s’agit bien de la liste n° 4 des élections municipales à Villefranche-sur-Saône.

    Et la diversité y est, si l’on cherche bien : il y a manifestement 1 Français de souche sur les 37 candidats. Et il doit bien y avoir aussi deux ou trois Maghrébins, car il y a quelques noms spécifiquement arabes (mais il y a aussi des Arabes en Turquie…).

    Au fait, tous ces gens-là sont français. Et ils nous expliquent ce qu’est pour eux la diversité…

    (Ils sont français mais ont une connaissance encore un peu sommaire de notre langue, comme en témoigne l’objet déclaré de l’association : « Concourir a l'expression du suffrage universel et au débat politique, dans la plus pure tradition de république française ; udd promeut des valeurs républicaines, et justice sociale ; udd travaille pour des projets qui respecte la diversité, la démocratie, égalité et le développement durable, compte tenu de cet objet, udd constitue un groupement politique au sens des articles l52-8 et l522 du code électorale ; udd se conforme à la législation en vigueur concernant le financement de la vie politique. »)

    (Via FDesouche)

  • La bonne et la mauvaise nouvelle

    La bonne nouvelle est que les Suisse ont voté pour la fin de l’immigration sans frein. Par 50,3%, alors que les sondages donnaient le non majoritaire (50% de non, 43% de oui, disait le dernier). Ainsi les Suisses ont-ils désavoué la quasi-totalité de la classe politico-médiatique inféodée à la pensée unique, et ont déjoué le chantage à l’apocalypse.

    Ce qui est le plus réjouissant est évidemment la déception, le ressentiment et la colère de toutes les institutions et de tous les porte-parole de la pensée unique en Europe, résumés dans le glacial communiqué aussitôt publié par la Commission européenne.

    La mauvaise nouvelle est que le même jour les Suisses votaient aussi sur la fin du remboursement de l’avortement (qui est une « affaire privée »), et qu’ils ont été 70% à dire non.

    On doit remarquer que les évêques n’avaient pas soutenu cette initiative (ni l’autre, évidemment), contredisant ainsi ouvertement l’enseignement de l’Eglise catholique tel qu’il a été fortement souligné par Jean-Paul II dans Evangelium vitae (n. 90).

    Dans le même temps, un sondage IFOP paraissait dans l’édition dominicale de Sud-Ouest, indiquant que « 75% des Français » sont favorables à l’avortement « sans restriction ».

    On est passé de 48% à 75% en 40 ans, dit l’IFOP, permettant à Sud-Ouest de se  féliciter de cette avancée spectaculaire de la culture de mort. Le Salon Beige fait remarquer que le même institut avait réalisé un sondage, en 2010, d’où il ressortait que 85% des Français étaient favorables à l’avortement. Ce qui fait donc, en réalité, une baisse de 10 points en trois ans.

    Il reste qu’il est littéralement terrifiant de constater que la très grande majorité des gens, en Europe occidentale, juge qu’on doit être totalement libre de massacrer les enfants sous la seule condition qu’ils ne soient pas encore nés.

    Il est d’autre part spécialement affligeant de constater dans le dernier sondage que 53% des personnes qui s’affirment catholiques sont favorables à un droit à l’avortement sans restriction…

  • Lampedusa etc. : 325 % de plus

    En 2013, 42.925 migrants ont atteint l’Italie (essentiellement par Lampedusa, et la Sicile). C’est une hausse de 325% par rapport à 2012.

    Et 2014 commence sur les chapeaux de roue : il y en a eu plus de 2.000 en janvier, contre 217 en janvier 2013: 10 fois plus...

  • Une petit coup de pouce au suicide de l’Europe

    Le Sénat italien a approuvé en première lecture un projet de loi visant à abolir le délit d'immigration clandestine.

    Le ministre de l’Immigration a qualifié le vote de « progrès qui nous rapproche de l'Europe ».

    Sic.

    C’est que le ministre italien de l’Immigration est Cécile Kyenge et qu’elle est congolaise…

  • Comme c’est joliment dit

    Les impayés de loyers dans les HLM pèsent de plus en plus lourd sur les organismes bailleurs. Car non seulement les loyers ne sont pas payés, mais la justice annule les créances. A hauteur de 43 millions d’euros l’an dernier. « Les seuls effacements de dette prononcés par la justice sont passés du simple au double, avec 150.000 € de perte sèche cette année pour mon organisme. Cette somme devrait être prélevée sur la solidarité nationale, avec la création d’une caisse de garantie », dit Jean-Pierre Pugens, directeur général d’Hérault Habitat.

    Le directeur d’Oscia, Jean-Alain Steinfeld, explique :

    « Cette situation est due à la dégradation du marché de l’emploi,mais aussi à l’entrée dans le parc de nouveaux publics très fragiles, ou encore à la montée d’autres dépenses comme les télécommunications ».

  • Oups !

    Propos du procureur général Jean-François Thony, dans son discours d’audience solennelle de rentrée de la cour d’appel de Colmar :

    « (...) les cambriolages, dont l’explosion ces dernières années est directement liée à l’immigration illégale (…) »

  • Nouvelle insulte de la CJE à la Grèce

    La Cour de Justice européenne vient de publier un arrêt ahurissant. Alors que la règle, en matière d’immigration irrégulière est que la personne interpellée dans un Etat de l’UE doit être renvoyée dans l’Etat par lequel il est entré dans l’UE, la Cour de Justice décrète que le premier Etat ne doit pas le faire si l’Etat d’entrée ne respecte pas les droits de l’homme.

    En l’occurrence, il s’agit d’un Iranien entré par la Grèce et interpellé en Allemagne.

    La Cour décrète que l’Allemagne n’a pas le droit de le renvoyer en Grèce « en raison d’un risque de violation de ses droits fondamentaux ».

    La Cour rappelle qu’elle avait déjà pris cette position en 2011, déjà à propos de demandeurs d’asile venus par la Grèce : « un Etat membre est tenu de ne pas transférer un demandeur d’asile vers l’Etat membre désigné comme responsable lorsque les défaillances systémiques de la procédure d’asile et des conditions d’accueil des demandeurs d’asile dans l’Etat membre initialement désigné constituent des motifs sérieux et avérés de croire que le demandeur courra un risque réel d’être soumis à des traitements inhumains ou dégradants ».

    Ainsi donc il y aurait de tels Etats dans l’Union européenne.

    Ou bien on doit croire la Cour de Justice, et alors on ne peut que l’accuser de manquer très gravement à son devoir en permettant que des Etats de l’UE continuent de se livrer à des traitements inhumains ou dégradants et bafouent les droits de l’homme sans prendre les mesures qui s’imposent.

    Ou bien la Cour de Justice prend ouvertement le parti des clandestins et le fait au point d’insulter gravement un Etat membre.

    Or on n’a pas entendu dire que la Cour européenne des droits de l’homme ait mis la Grèce au ban des nations.

  • Avis aux Africains : il suffit de se dire homosexuel

    Saisie par les Pays-Bas au sujet de trois demandeurs d’asile africains homosexuels, la Cour de Justice européenne décide que les homosexuels peuvent être considérés comme formant « un certain groupe social » persécuté qui leur permet d’obtenir le statut du réfugié. Car lorsqu’il y a une législation contre l’homosexualité, les homosexuels « constituent un groupe à part ».

    Cela dit, ajoute la Cour, pour qu’il y ait persécution, il faut qu’elle atteigne « un certain niveau de gravité ». Et l’existence d’une loi pénalisant l’homosexualité ne suffit pas. Mais… s’il est prévu une peine d’emprisonnement, cela suffit à constituer un acte de persécution.

    Or l’homosexualité est punie de peines de prison (quand ce n’est pas la peine de mort) dans la grande majorité des pays africains.

    Autrement dit tout(e) Africain(e), ou presque, se disant homosexuel(le), peut exiger le statut de réfugié dans le pays européen de son choix.

    C’est beau, la justice européenne, quand même.

    Addendum. Comme le rappelle un lecteur, la France applique cette jurisprudence depuis longtemps.

  • Au collège Louis Armand de Savigny-le-Temple

    Lu sur Afrik.com (via F.Desouche) :

    « Afrique subsaharienne, Maghreb… nos élèves sont originaires de toute l’Afrique, explique Frédéric Gay, principal du collège Louis-Armand, en Seine-et-Marne, cette immigration est d’ailleurs l’une des caractéristiques de l’établissement. » Difficile, dans ces conditions, d’oublier toute les saveurs du continent noir lors de la Semaine du Goût.

    La chose n’était pourtant pas gagnée d’avance. « Légumes anciens », « plats du Moyen-Age »… bien qu’intéressantes, les éditions précédentes de la Semaine du Goût se soldaient souvent par un échec, à Louis-Armand. « Je pense qu’on était complètement éloignés de la culture des jeunes », remarque Alexandra Molliard, assistante-gestionnaire du collège, qui en a beaucoup discuté avec les élèves.

    L’idée d’une semaine « à l’africaine » s’est donc mise en place. « Il s’agissait à la fois de parler aux élèves de leur propre culture, tout en leur faisant découvrir autre chose sur leur continent », raconte Alexandra Molliard. D’où l’idée d’un tour d’horizon de toute l’Afrique (…) ».

    On remarquera que le principal dit « nos élèves » (tous les élèves), que l’assistante parle de la culture de ces élèves qui est une culture africaine (dans un collège où ils seraient censés apprendre la culture française), et elle insiste sur le fait qu’il s’agit de leur parler « de leur propre culture »…

  • Une nouvelle politique australienne d’immigration

    Le nouveau ministre australien de l’immigration Scott Morrison défend vigoureusement la directive qui définit comme « arrivées maritimes illégales » les arrivées par mer de demandeurs d’asile. Il a expliqué aux journalistes qu’il n’avait pas l’intention d’utiliser le « langage politiquement correct » et qu’il « appelle un chat un chat ». « Je n’ai jamais dit qu’il était illégal de demander l’asile, a-t-il précisé. Ce n’est pas ce à quoi se réfère le mot. Il se réfère au mode d’entrée. Les gens qui sont entrés en Australie de façon illégale par bateau… sont entrés de façon illégale par bateau. »

    La coalition de droite qui a remporté les élections le mois dernier avait dans sa plateforme un engagement à lutter contre les arrivées de plus en plus massives de clandestins, favorisées par le précédent gouvernement de gauche, qui appelait « clients » les demandeurs d’asile.

    Le slogan était « Arrêter les bateaux », et c’est ce à quoi s’emploie le gouvernement, par l’opération intitulée « Opération frontières souveraines ». Elle est dirigée par l’un des trois « lieutenants généraux » (le plus haut grade) de l’armée australienne, et consiste à envoyer des navires de guerre obliger les bateaux de clandestins à faire demi-tour.