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Etonnant

Jusqu’ici, le cardinal Turkson, préfet du « Dicastère pour le service du développement humain intégral », était jusqu’ici la voix de son maître, tant sur la question du culte de la terre mère que sur celle de l’accueil illimité, enthousiaste et obligatoire des « migrants ».

Or voici que dans un colloque sur les 50 ans de Populorum progressio, il a déclaré :

« L’immigration c’est comme l’eau qui coule du robinet : il ne faut pas seulement essuyer, mais fermer le robinet. »

Il a expliqué que la « préoccupation » des pays d’accueil était due à leur baisse démographique : « là où il y a plus d’hôtes que d’enfants, il y a toujours une tension ». Pour donner asile, il faut « une sécurité dans la démographie locale ». D’où aussi la montée des « nationalismes », exprimant « la préoccupation d’un pays d’être englouti par l’arrivée en masse de nouvelles populations ».

Pour ce qui est du changement climatique, pas de changement. Ou plutôt, il fait encore plus fort que le pape : il est allé jusqu’à citer la Chine comme chef de file mondial de la protection de l’environnement. Sic. (Par haine de Trump qui « va dans la direction opposée »…)

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