D’après les quotas décidés par la Commission européenne, la Tchéquie doit accueillir 1.600 « réfugiés ».
Pour l’heure, elle en a accueilli… 12, et a décidé qu’il n’y en aurait pas davantage.
Le ministre de l’Intérieur, Milan Chovanec, a déclaré (sur un site ouvertement anti-immigration, anti-UE et anti-islam) : « Je pense qu’il n’est plus possible d'en accueillir. » Et il se dit prêt à encourir les sanctions : « C’est au gouvernement d’évaluer si cela vaut la peine d'être sanctionné ou non. A mon avis, c'est le cas. On ne peut pas laisser des gens entrer ici sans contrôle. »
On sait que c’est aussi la position du vice-Premier ministre Andrej Babis et du Président Milos Zeman.
Commentaires
En effet, les pays européens qui laissent entrer des "réfugiés" sans contrôle, comme l'Allemagne et la France encourent les sanctions d'une explosion de violences d'émeutes et d'actes de terrorisme (c'est ce qu'on appelle la justice immanente: nos actes provoquent les châtiment). Les sanctions "européennes" s'il y en a, sont ridicules devant les enjeux. Les Tchèques ont raison de tenir tête aux fêlés qui mènent l'Europe à sa ruine.