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Europe - Page 181

  • Sortir de l’euro, monnaie de l’escroquerie technocratique de l’Europe génocidée

    Communiqué de Bernard Antony, président de l'Institut du Pays Libre

    Il faut tout le degré d'abaissement et d'hébètement des sociétés vieillies, débilitées, atomisées des pays de « l'euroland » pour que les foules ne hurlent pas dans la rue de mettre à la lanterne les indécents menteurs de l'eurocrassie meurtrière.
    Toutes les affirmations des promoteurs de l'euro pleins de suffisance sont chaque jour démenties et chaque jour violés par eux leurs principes fondateurs de la monnaie unique. Même les plus imbéciles des eurocrédules des traités de Maastricht et de Lisbonne finissent par s'apercevoir que l'euro n'est plus qu'une monnaie inique manipulée par les faux-monnayeurs de l'utopie mondialiste.

    L'euro aura bien accompagné le génocide humain des pays de l'avortement, de la dénatalité, de l'euthanasie, de l'homofolie, de l'inversion raciste, toutes choses allant ensemble selon un terrible instinct de mort avec la désertification industrielle et la suppression de millions d'emplois.

    Sortir du carcan de l'euro, retrouver nos monnaies, ce n'est pas détruire l'Europe, c'est la sortir de l'engourdissement monétaire, de la paralysie économique, c'est redonner à nos pays les conditions de la souplesse. C'est vouloir réveiller les énergies de nos peuples, assurer les retraites des vieux par la renaissance des jeunes.

    Franc, rappelons-le, signifie libre : le retour au franc sera une première étape sur la reconquête de la liberté que seule donne la vérité.

  • Faire semblant de défendre l’Europe et ses paysans nationaux

    L'UE et les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay et Paraguay) sont réunis cet après-midi en sommet à Madrid, pour concrétiser la reprise de leurs pourparlers commerciaux après six ans de suspension.

    Ce matin, une majorité de pays européens ont exprimé leur inquiétude quant aux risques que fait peser sur leur agriculture la relance de négociations.

    Le plus remonté était le ministre français Bruno Le Maire, qui a rappelé que la France était "opposée" à ces pourparlers "qui se traduiront nécessairement par de nouvelles concessions au détriment des agriculteurs français et européens". Et d'ajouter : "Je ne vois pas pourquoi l'agriculture serait toujours la variable d'ajustement des négociations commerciales en Europe."

    Neuf autres Etats jugent "inacceptable" d'envisager de nouvelles concessions agricoles après celles offertes par la Commission européenne en 2008 dans le cadre des pourparlers de l'OMC du cycle de Doha, qui constituent déjà "une limite ultime" pour les agriculteurs européens.

    Et alors ? Eh bien alors on va apprendre tout à l'heure que les négociations vont reprendre, puisque la Commission européenne en a décidé ainsi...

  • Un nouveau mensonge de propagande d’Olli Rehn

    La Commission européenne juge que l'Estonie remplit les critères d'adhésion à l'euro. Ce pays entrera donc dans la zone euro le 1er janvier prochain. Pour le commissaire Olli Rehn, c'est « un signe de confiance dans l'euro. Personne ne souhaite en sortir, tout le monde souhaite y entrer ».

    Or il est écrit noir sur blanc dans le programme de la coalition qui vient d'arriver au pouvoir au Royaume-Uni qu'il n'y aura au cours de la législature aucune initiative visant à faire entrer le pays dans la zone euro.

    Le Premier ministre polonais Donald Tusk, pourtant europhile, a déclaré que rejoindre la zone euro « n'est pas une priorité » de son pays, et qu'avec la crise grecque « la zone euro a des questions à se poser ».

    Le Premier ministre bulgare Boïko Borissov annoncé le mois dernier la suspension des efforts de son pays pour adhérer à l'euro.

    La Hongrie et la Roumanie se félicitent de ne pas être dans la zone euro : elles ont bénéficié l'an dernier de prêts d'urgence du FMI, octroyés à des conditions beaucoup moins dures que celles qui sont imposées à la Grèce, et ces deux pays n'ont eu qu'à laisser leur monnaie se déprécier pour regagner de la compétitivité.

    On rappellera que tous ces pays, dans leurs traités d'adhésion, se sont engagés à adopter l'euro (excepté le Royaume-Uni qui a adhéré à la CEE, longtemps avant l'existence de la monnaie unique, et s'en est exemptée dans le traité de Maastricht).

  • L’article 122-2

    Comment le Conseil européen a-t-il pu mettre en place un gigantesque plan de secours financier alors que, comme on nous le répétait il n'y a pas si longtemps, le traité européen interdit tout plan de secours financier ?

    On croirait une blague, mais c'est vrai : ils ont pris comme base légale l'article 122-2 du traité de Lisbonne : celui qui permet d'envoyer une aide à un pays victime d'une catastrophe naturelle...

    « Ce qui est vraiment choquant dans cet accord, commente Bruno Waterfield (le chroniqueur européen du Telegraph), est que le fait d'utiliser une clause juridique conçue pour des séismes ou de potentielles circonstances imprévues extrêmes menaçant l'existence d'un Etat membre, et cela pour sauver la peau de la classe politique de l'UE, est profondément malhonnête - mis à part le fait que c'est juridiquement louche. »

    Ce qui est encore plus guignolesque est que cet article 122-2 est celui qui précède immédiatement celui qui stipule :

    "Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l'Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres."

  • La Cour européenne des droits de l’islam

    La Cour européenne des droits de l'homme a débouté Jean-Marie Le Pen, qui s'était plaint devant elle d'une atteinte à la liberté d'expression après avoir été condamné en France pour "provocation à la discrimination, à la haine" raciale ou religieuse pour avoir déclaré au journal Le Monde en 2003: "Le jour où nous aurons en France non plus 5 millions mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont (...) et les Français raseront les murs, descendront des trottoirs en baissant les yeux, et vous n'avez plus qu'à filer, sinon vous prenez une trempe".

    "Les motifs de la condamnation du requérant qu'ont retenus les juridictions internes sont pertinents et suffisants", estime la Cour européenne.

  • La dictature eurofolle

    La Cour administrative suprême de Lituanie a invalidé hier la décision d'un tribunal d'interdire le premier défilé d'exhibitionnisme homosexuel, la Baltic Pride, qui doit se dérouler aujourd'hui à Vilnius.

    La Cour obéit ainsi à la Commission européenne, qui avait intimé l'ordre à la Lituanie de permettre la gay pride. Le directeur général du département de la Justice, des libertés et de la sécurité, Jonathan Faull, avait écrit à l'ambassadeur de Lituanie auprès de l'UE : « La Commission s'inquiète des récents développements. Respecter les droits fondamentaux, y compris la liberté d'expression et de réunion, est une obligation imposée aux États membres par leur propre ordre constitutionnel et les obligations internationales. »

    Et le commissaire à la Justice en personne, Viviane Reding, avait envoyé un message vidéo de soutien à la conférence internationale sur « les droits humains en lutte contre la peur et les préjugés », qui fait partie des « événements » de la Baltic Pride.

     

    Addendum

    La "Baltic Pride" a eu lieu, sous forte protection policière (car les contre-manifestants exprimaient leur dégoût de façon virile). Il y avait "plus de 300 personnes" selon l'AFP (dont manifestement de nombreux militants homosexuels étrangers aux trois Etats baltes). A la fin de la parade, les homosexuels ont été escortés en autocar par la police pour éviter les affrontements...

  • Euro n’importe quoi

    AFP : « La zone euro a décidé vendredi soir de mettre en place un fonds de soutien sans précédent pour ses pays confrontés à des difficultés financières, dans l'espoir de stopper la contagion d'une crise gravissime qui menace les fondements de l'Union monétaire. »

    Ah bon. Pourtant le commissaire Olli Rehn avait assuré que la Grèce était un cas unique et qu'aucun autre pays n'était menacé...

    Quant à Sarkozy, il claironne : "Nous avons décidé de doter la zone euro d'un véritable gouvernement économique."

    Ah bon. Et c'est où, dans le traité européen ?

  • La prophétie du commissaire

    En présentant, mercredi, les prévisions économiques de la Commission européenne, le commissaire à l'Economie Olli Rehn a catégoriquement nié que d'autres pays de la zone euro puissent avoir besoin d'un plan d'aide comme celui qui concerne la Grèce. « La Grèce est vraiment un cas unique et particulier », a-t-il martelé.

  • Référendum en Slovénie

    Le Parlement slovène a décidé hier à l'unanimité l'organisation d'un référendum, le 6 juin prochain, sur l'accord conclu en novembre dernier avec la Croatie concernant le différend frontalier (terrestre et maritime) entre les deux pays. L'accord a pourtant été ratifié par le Parlement le mois dernier. Mais la question est très sensible dans le pays, et l'opposition de centre-droit juge que l'accord lèse la Slovénie (ce qui semble bien être le cas). Elle a donc demandé un référendum, et la coalition au pouvoir a dit oui. L'opposition espère que les Slovènes rejetteront l'accord. Si tel était le cas, le processus d'adhésion de la Croatie à l'UE serait une nouvelle fois retardé.

  • Une nouvelle trouvaille de la dictature européenne

    Le commissaire européen aux affaires monétaires, Olli Rehn, a déclaré le 15 avril que la Commission envisage d'exiger que les Etats membres de la zone euro lui soumettent leurs budgets nationaux, pour approbation préalable, avant qu'ils soient discutés par les parlements. Il a précisé : « Nous devons utiliser les premiers mois de l'année, disons de janvier à juillet, pour demander les projets de budgets nationaux. Non pas ligne budgétaire par ligne budgétaire, mais les budgets globaux, afin que la Commission les analyse et que l'eurogroupe les évalue et fasse des recommandations, avant qu'ils soient présentés aux parlements nationaux. »

    « Ce sera la fin de la démocratie parlementaire », a réagi un député allemand.