Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Eglise - Page 202

  • Notre-Dame de La Vang

    VietnamLe 15 août ont été posées les 27 premières pierres de la future nouvelle basilique Notre-Dame de La Vang, au Vietnam, en présence du président de la Conférence épiscopale du Vietnam, Mgr Pierre Nguyên Van Nhon, qdu représentant du Saint-Siège au Vietnam, Mgr Leopoldo Girelli, de l’archevêque du lieu, Mgr Etienne Nguyên Nhu Thê, de seize évêques, de centaines de prêtres et de plus de 200 000 pèlerins. Les 27 pierres symbolisent les 26 diocèses vietnamiens, la 27e représentant la participation de l’ensemble de la diaspora catholique vietnamienne dans le monde.

    Le terrain du sanctuaire de La Vang et ses bâtiments en ruine, où continuaient à se rendre les fidèles chaque 15 août, ont été restitués à l’Eglise en 2008.

    On a voulu que la forme architecturale du nouveau sanctuaire « soit en harmonie avec la culture vietnamienne ». Ce n’est pas une raison pour qu’il ne ressemble en rien à une église…

  • Une victoire judiciaire du Saint-Siège

    Un juge fédéral de Portland, dans l’Oregon, a déclaré que le Saint-Siège ne pouvait pas être considéré comme l'employeur de prêtres pédophiles et donc tenu pour responsable de leurs crimes.

    Un habitant de la région de Seattle avait porté plainte en 2002 contre un prêtre, Andrew Ronan, qui l'aurait agressé à la fin des années 1960. Il voulait faire établir par la justice que les prêtres catholiques sont des employés du Vatican et que ce dernier serait donc responsable de leurs actions.

    « Il n'y a pas de faits fondant une réelle relations d'employé à employeur entre Ronan et le Saint-Siège », a tranché le juge Michael Mosman.

    L'avocat du Saint-Siège a déclaré que ce jugement réglait la question de la responsabilité du Saint-Siège.

    Mais l'avocat du plaignant a déclaré que celui-ci allait faire appel.

  • L’esprit du Concile…

    Les évêques de Zambie ont envoyé leur contribution au comité technique chargé de rédiger la nouvelle Constitution. Selon l’agence Fides, ils s’opposent en premier lieu à l’introduction de normes prévoyant la peine de mort et l’avortement.

    Puis ils affirment :

    « Dans le préambule, la déclaration du fait que la Zambie est une nation chrétienne doit être omise. Ceci parce qu’un pays ne peut pas pratiquer les valeurs et les préceptes du christianisme au travers d’une simple déclaration. Le principe de la conservation de la séparation entre l’Etat et la Religion ne doit pas être perdu. Si la Zambie est un pays multireligieux, comme le reconnaissait explicitement le préambule de la première esquisse rédigée par le Comité technique, affirmer que la Zambie est une nation chrétienne serait en contradiction avec ce fait. »

    Or c’est objectivement la mention de la Zambie comme pays multireligieux qui serait erronée. La proportion de chrétiens varie entre 81 et 95% selon les sources. La Zambie est donc à l’évidence un pays chrétien, et il est ahurissant que les évêques catholiques osent le nier…

    L’argument de la « séparation entre l’Etat et la Religion » ne tient pas, pour la bonne raison qu’il n’est pas catholique (y compris en tenant compte des textes de Vatican II). Et même si l’Eglise prônait cette séparation, il resterait comme un fait que la Zambie est autant un pays chrétien que c’est un pays africain.

    Un autre argument serait que beaucoup de chrétiens en Zambie sont protestants. Et que c’est par « œcuménisme » que les évêques disent cela, pour être sur la même longueur d’ondes que les protestants.

    Sauf que c’est le contraire qui est vrai. La déclaration des évêques pentecôtistes, en date du 1er août (et qui est publiée, contrairement à celle des évêques catholiques), souligne qu’ils veulent garder la mention de la Zambie comme « nation chrétienne ». Ils soulignent aussi que pour la protection de la vie, il faut garder la peine de mort, et garder l’article stipulant que « la vie commence avec la conception ». Au passage, ils dénoncent le fait que Marie Stopes International a pratiqué 400 avortements illégaux dans deux provinces du pays. Un évêque pentecôtiste a précisé qu’ils veulent aussi que l’on enlève le projet d’article 52 sur la « santé reproductive incluant le planning familial et l’accès aux informations et à l’éducation y afférent » car, dit-il, le droit à la santé est déjà garanti par ailleurs, et la mention du planning familial montre qu’il s’agit de fournir une base aux militants de l’avortement.

    Mgr Telesphore Mpundu, archevêque de Lusaka, avait déjà déclaré que la Zambie « nation chrétienne » était un « non-événement ». La « Christian Coalition », qui regroupe des chrétiens de toutes dénominations pour peser sur la politique du pays, avait réagi en faisant part de sa déception et en affirmant qu’elle « défendra à tout prix » la mention de la Zambie comme nation chrétienne. Quant à la « Rainbow Coalition », qui comme son nom l’indique n’est en rien confessionnelle, elle faisait part de sa tristesse  et affirmait sa détermination à se battre également pour que la Zambie continue d’être définie comme « nation chrétienne » : « Au milieu de toute la corruption, des intimidations, des problèmes de gouvernance et des injustices, plus que jamais nous avons besoin de nous tourner vers Dieu pour une vraie justice et droiture, et cela ne peut s’obtenir qu’en cédant à Dieu, non en se détournant de lui. La Zambie est une nation chrétienne et en tant que chrétiens nous devons nous efforcer d’être comme le Christ et faire comme il nous l’a commandé, sans nous lasser dans notre quête pour que cette nation soit gouvernée par les principes divins et même les Dix Commandements comme l’a déclaré le président de la République Michael Sata. »

    Voilà un mouvement laïque comme on les aime...

  • La réconciliation entre catholiques polonais et orthodoxes russes. Et la laïcité

    Le patriarche orthodoxe de Moscou s’est rendu en Pologne du 16 au 19 août. La visite, historique, a culminé dans la signature, par le patriarche et par le primat de Pologne Mgr Jozef Michalik, d’un appel à la réconciliation. Quand on sait à quel point le contentieux est lourd et ancien entre la Pologne catholique et la Russie orthodoxe, le document signé en grande pompe au château royal de Varsovie ne peut lui aussi être qualifié que d’historique (c’est pourquoi il a été aussitôt salué par le pape comme un « événement important, qui suscite de l’espérance pour l’avenir »).

    Les deux prélats demandent donc à leurs fidèles de prier pour « obtenir le pardon pour les torts, les injustices et tous les maux infligés réciproquement », pour avancer vers une « réconciliation pleine et entière ».

    Mais il y a autre chose de très réjouissant dans cet appel, et qui nous concerne plus directement : c’est la condamnation du laïcisme, qui fait suite tout naturellement au rappel du communisme qui avait imposé l’athéisme…

    «  Des principes moraux fondamentaux basés sur les Dix Commandements sont remis en question sous prétexte de sauvegarder le principe de laïcité ou la protection de la liberté. Nous sommes confrontés à la promotion de l’avortement, de l’euthanasie et des relations homosexuelles, ces dernières étant constamment présentées comme une forme de mariage ; un mode de vie consumériste est encouragé, les valeurs traditionnelles sont rejetées, tandis que les symboles religieux sont retirés des lieux publics. Très souvent nous rencontrons des signes d’hostilité envers le Christ, son Évangile et sa Croix ; on essaie d’exclure l’Église de la vie publique. Une laïcité mal comprise prend la forme d’un fondamentalisme et elle est, en réalité, une forme d’athéisme. »

    Puis on enfonce le clou : « Nous croyons que non seulement le terrorisme et les conflits armés, mais aussi l'avortement et l'euthanasie sont des péchés graves contre la vie et une honte pour la civilisation contemporaine. » Et après avoir souligné la valeur de la famille comme « fondement sain et solide de toute société », le patriarche et l'archevêque de conclure confient le « rapprochement de nos Eglises et la réconciliation de nos peuples » à la mère de Dieu.

  • L’Arabie saoudite et internet

    En juin dernier, l’ICANN, qui gère les extensions des noms de domaine (.com, .fr, etc.) a donné la liste de quelque 1.930 nouvelles extensions qui lui ont été proposées (il n’y en a aujourd’hui que 22 en plus des 280 qui correspondent à un nom de pays). Sur le site de l’ICANN, on voit donc ces propositions, et les commentaires, essentiellement les objections, qui leur sont faites. On constate que l’Arabie saoudite – l’un des pays où la censure d’internet est la plus étroite -  s’intéresse vivement à la chose, et, entre le 12 et le 14 août, elle a envoyé pas moins de 166 avis, le plus souvent trois fois le même, à partir d’adresses différentes, mais toujours sous le même nom, « Abdulmjid », pour le compte de la Commission pour la communication et les technologies de l’information du Royaume d’Arabie saoudite.

    Sans surprise, « Abdulmjid » (le fils du Tout-Glorieux) demande que ne soient pas autorisées les extensions qui concernent la pornographie ou peuvent être détournées par la pornographie (ainsi « .baby », demandé notamment par les produits pour bébés Johnson & Johnson, ou .virgin demandé par la firme qui porte ce nom), l’alcool, les jeux, l’homosexualité, le tatouage…

    Plus étonnant a priori, « Abdulmjid » s’élève aussi contre les extensions .islam, .halal, .ummah… Au motif que ces extensions sont demandées par des entreprises privées, alors qu’elles devraient l’être par une majorité de pays musulmans.

    De fil en aiguille, l’Arabie saoudite s’intéresse aux autres religions et se pose en défenseur sourcilleux des autres termes religieux. Ainsi, « Abdulmjid » s’élève contre la demande d’une extension .bible, parce qu’elle émane de l’American Bible Society, qui ne représente pas tous les croyants se référant à la Bible. Et « Abdulmjid » se livre à un savant exposé sur les différentes bibles, qui ne comprennent pas le même nombre de livres selon les confessions chrétiennes… « Il est clair que puisque un certain nombre de religions, et de groupes en leur sein, sont en désaccord sur l’origine et le contenu de la bible, on ne doit pas permettre à un groupe ou à un individu de définir ce que la Bible est ou n’est pas. Permettre à cette extension d’être enregistrée serait offensant pour beaucoup de gens et de sociétés pour motif religieux. »

    Et c’est pourquoi « Abdulmjid » s’en prend aussi à… l’Eglise catholique. Car le Saint-Siège a demandé l’extension .catholic (en caractères latins, arabes et chinois), avec l’intention de se la réserver.

    Et la commission saoudienne se livre à un libelle d’anthologie, quoique quelque peu hasardeux, voire carrément cafouillant, dans sa formulation :

    "Cette application est sensible dans la mesure où le terme « catholique » qui est demandé comme extension représente la multitude des Chrétiens à travers le monde.

    "Le terme a été incorporé dans le nom de la plus importante communauté Chrétienne, l’Eglise Catholique (aussi appelée l’Eglise Catholique Romaine). Cependant, de nombreux autres Chrétiens utilisent le terme « catholique » pour désigner de façon plus générale l’Eglise Chrétienne, indépendamment de l’affiliation confessionnelle. D’autres communions Chrétiennes peuvent revendiquer le terme « catholique », comme l’Eglise Orthodoxe d’Orient et l’Eglise orthodoxe orientale.

    "Nous ne croyons pas que l’extension .catholic doive être sous le contrôle d’une église qui ne peut pas représenter, et ne représente pas, chaque communion catholique.

    "De plus, nous croyons que toute extension, pour quelque nom que ce soit en relation avec la religion ou une communauté spécifique doit être présentée par l’ensemble de cette communauté, pour évaluation, avant que l’extension soit refusée ou accordée. Si cela ne peut pas être accompli, alors de tels noms doivent être complètement interdits comme noms d’extension.

    "En ne procédant pas ainsi on donnerait l’utilisation et le contrôle d’un nom religieux important à un groupe, élevant injustement son influence au-dessus des autres, et l’on permettrait à ce groupe de représenter à lui seul un éventail des différentes églises.

    "Le demandeur actuel ne peut pas démontrer qu’il possède un monopole du terme « catholique », et il ne peut pas démontrer non plus que cette possession prévue soit acceptée par les Catholiques autour du monde.

    "Permettre à cette extension d’être enregistrée peut être offensant pour de nombreuses personnes et sociétés pour motif religieux.

    "Par conséquent, nous demandons respectueusement que l’ICANN n’attribue pas cette extension."

    Voilà donc l’Arabie saoudite volant au secours des orthodoxes et autres chrétiens qui voudraient se dire « catholiques » et seraient offensés que l’Eglise catholique se dise catholique.

    Or sur le site de l’ICANN il n’y a aucune objection de quelque Eglise orthodoxe ou de quelque autre confession chrétienne que ce soit…

    Est-ce trop demander que l’Arabie saoudite, qui ne permet aucun culte chrétien sur son territoire, évite de se prendre pour l’arbitre mondial des élégances religieuses et morales ?

  • Le vicariat apostolique se replie à Bahrein

    Mgr Camillo Ballin, vicaire apostolique d’Arabie du nord, annonce le transfert de son siège de Koweit à Bahrein.

    Il explique que « Bahrein est plus central, parce qu'il se trouve entre Koweit et Qatar et face à l'Arabie Saoudite », et que Bahrein étant assez souple quant à l'octroi de visas, il est « facile d'y organiser des rencontres de prêtres, catéchistes provenant d'autres pays ».

    La première raison, que Mgr Ballin ne peut pas dire ouvertement, est que l’islamisme radical est en train de submerger le Koweit, et qu’il est préférable de se replier dans une bonne vieille dictature arabe où l’émir écrase ses soi-disant « révolutionnaires du printemps arabe » et ses opposants chiites… et donne un terrain à l’église catholique pour y construire une cathédrale… (Il y a déjà une cathédrale malankar orthodoxe et une cathédrale anglicane.) Ce qui est paradoxal est que l’émir du Bahrein se maintient grâce à l’aide énergique de l’Arabie saoudite…

    A ce propos, il est amusant de voir comment François Hollande, le président de la moralité républicaine, vient de recevoir l’émir de Bahrein. La visite n’était pas annoncée, et elle a donc pris de court les journalistes : il s’agissait pourtant d’une visite officielle, avec la garde républicaine dépêchée pour accueillir l’émir à sa descente d’avion, et la longue poignée de mains sur le perron de l’Elysée… Laquelle a même été photographiée et a fait s’étrangler tous les vertueux chasseurs politico-médiatiques de dictateurs…

    francois-hollande-bahrein_0.jpg

     

  • Mgr Léonard bien décevant

    Suite à la polémique concernant l’éventuelle libération conditionnelle de l’ex-femme de Dutroux et son accueil dans un couvent de clarisses, Mgr Léonard joue à Ponce Pilate :

    « Il ne nous revient pas comme Eglise de donner des commentaires sur une décision de la justice. La libération de Michelle Martin et les conditions y afférentes sont de l’entière responsabilité des autorités civiles et judiciaires. »

    Eh bien si, justement, il revient à l’Eglise, non pas, certes, de commenter l’opportunité d’une libération, mais d’expliquer ce que représente l’accueil d’un criminel dans un couvent.

    Il poursuit en démago refusant de faire comprendre quoi que ce soit à ceux qui ont une réaction épidermique :

    « Je suis conscient de ce que la libération conditionnelle de Michelle Martin, contre laquelle le Parquet Général a introduit un pourvoi en Cassation, suscite beaucoup d’émotion chez les victimes et leurs familles. Je suis aussi conscient de ce que la décision du tribunal d’application des peines rencontre incompréhension et colère chez une bonne partie de la population ».

    Il continue en se lavant les mains : c’est pas moi, c’est les bonnes sœurs… :

    « Je souhaite insister sur le fait que les sœurs clarisses de Malonne ne sont pas sous l’autorité directe d’un évêque. Les sœurs clarisses ont réfléchi et débattu longuement, et ont à la fin de ce discernement répondu positivement à la demande des avocats et de la Justice, parce qu’il n’y avait, semble-t-il, pas d’autre accueil possible. Les sœurs ont pris leur décision en toute autonomie, sans concertation avec les évêques. Elles ont soupesé les conditions de l’accueil, et respectent les décisions légales du tribunal. »

    L’archevêque insiste lourdement , comme si c’était en cause, que l’accueil de Michelle Martin par les clarisses « ne peut porter préjudice aux choix sans équivoque que les évêques ont fait dans le dossier des abus d’enfants d’être du côté des victimes et de leurs proches ». Et de marteler : « Ce choix est et demeure prioritaire pour les évêques. »

    Et il en rajoute une couche en en soulignant qu’il n’appartient pas à l’Eglise de statuer sur la question de l’opportunité sociale du séjour de Michelle Martin à Malonne : « Cette question doit être tranchée par les autorités civiles et judiciaires compétentes en ce domaine. Les décisions prises par elles sont pour nous décisives. »

    Mgr Léonard n’a donc jamais entendu parler des criminels qui tout au long de l’histoire de l’Eglise ont fini leur vie dans un couvent pour expier leurs crimes et trouver la rédemption – voire la sainteté.

  • Et hop

    Le 27 juillet, Mgr Salvatore Cordileone a été nommé archevêque de San Francisco. Le 29, il a célébré pontificalement une messe selon la « forme extraordinaire » à Napa.

    Vatican Insider note que la nomination de Mgr Cordileone est vue comme une « provocation » dans la ville « la plus anticonformiste », qui est seulement un exemple de la pire décadence occidentale. Au point qu’il a fait scandale, dans la conférence de presse qu’il a tenue à la cathédrale de San Francisco après sa nomination, en disant que le mariage ne peut résulter que d’un lien entre un homme et une femme et qu’il ne peut pas comprendre en quoi cela peut être considéré comme une discrimination…

  • L’Europe perd son identité parce qu'elle n'a pas d'enfants

    Dans un message de l’archevêque de Lingayen-Dagupan (Philippines) aux jeunes de son diocèse :

    L'Europe est sur la pente descendante. Elle perd son âme parce qu'aujourd'hui elle compte sur l'afflux d'immigrants pour la garder à flot. Elle fait face à un hiver sévère des naissances. Elle perd son identité parce qu'elle n'a pas d'enfants, pas de jeunes pour porter la flamme. En Europe, ils ont commencé avec la contraception, ils ont embrassé la contraception et maintenant ils tuent leurs grands-parents faibles et malades. Paul VI l'a prophétisé : la contraception artificielle peut ouvrir grandes les portes de l'infidélité conjugale et une baisse générale de l'état moral. C'est ce qui se produit en Europe. Nous, vos anciens, nous plaidons pour que vous n'empruntiez pas ce chemin de la corruption morale. Osez être différents ! Osez être meilleurs !

  • Ouf ! je ne suis pas le seul

    À trouver pitoyable la proposition de prière de l’épiscopat pour l’Assomption : une prière, souligne le site Benoît et moi, « au ton consensuel et lénifiant, soucieuse de ne pas heurter, qui ne dit pas les choses explicitement, et qu'on est forcé de lire entre les lignes »…