La Cour suprême du Mexique a décidé hier qu’est « inconstitutionnel le système juridique qui pénalise l’avortement dans le Code pénal fédéral, parce qu’il viole les droits des femmes et des personnes en capacité de gestation ».
La Cour suprême avait déjà décidé il y a deux ans en décidant que « l'on ne pourra pas poursuivre une femme qui avorte ».
On remarque que, non content de sacrifier à la culture de mort, le Mexique applique docilement l’idéologie LGBTQIA+ etc. Il précise que le droit à l’avortement concerne les « personnes en capacité de gestation ». L’Argentine permet déjà l’avortement aux « femmes et personnes qui ont d’autres identités de genre qui leur permettent d’être enceintes ».
Et la Cour suprême du Mexique en remet une couche : « La criminalisation de l'avortement constitue un acte de violence et de discrimination pour raison de genre. »
Pourtant, quel que soit le genre ou le non-genre de la personne qui exerce sa capacité de gestation, quand elle décide de supprimer le produit de sa gestation elle commet un meurtre sur un enfant à naître, mais ce n’est pas un acte de violence, ni même une discrimination...
Commentaires
Maintenant que j'ai appris, grâce à vous, à jongler avec la novlangue woke, je sais qu'une "femme" trans n'a pas le bonheur de pouvoir avorter, tandis qu'un "homme" trans lui le peut quelquefois. C'est pas juste !
Il est possible aussi que mes guillemets tombent sous le coup de la loi.
Il faut garder à l'esprit que le Mexique est, comme la France, sous la coupe de la Franc-maçonnerie...
Sachant cela, on ne s'étonne de rien...
Quel pays n'est pas sous la coupe de la franc-maçonnerie ?