Selon un décret publié ce jour, les sages-femmes peuvent désormais pratiquer l’avortement instrumental en établissements « de santé ».
Les femmes dont la mission était de faciliter la vie naissante deviennent donc aussi des tueuses d’enfants à naître.
Dans le même temps le tarif de cet assassinat est « revalorisé » de 25%.
Commentaires
Ne manquez pas de nous informer de la très probable répression disciplinaire des sage-femmes qui feront valoir la clause de conscience pour refuser de participer à un avortement.
C'est déjà ce qui arrive aux médecins et au personnel soignant.
J'ai lu quelque part que, quand on aura "constitutionnalisé" ce crime, on pourra mettre en taule ceux qui s'y opposent et enterrer la clause de conscience. De la part de voyous qui ont suspendu des soignants de septembre 2021 à mai 2023 parce qu'ils avaient refusé de se faire injecter le même poison que notre président-e et son époux-se se sont bien gardé-e(s) de prendre, on peut s'attendre à tout !
Déjà les élèves sage-femmes sont soumises à un chantage abject depuis plusieurs années: ou assister et participer à un avortement chirurgical, ou ne pas être admise à passer l'examen. Foin d'objection de conscience, on s'assied dessus. Et si les médecins ne foutent pat en l'air l'Ordre des médecins officine opaque et maçonnique au service de bigpharma, ils sont perdus.
Déjà la plupart des médecins s'est couchée devant l'infâmie covid, ils se coucheront quand on leur supprimera l'objection de conscience. Et que diront les évêques français qui avaient "négocié" avec Simone Veil la "clause de conscience". Ils ne diront rien.
La plupart des médecins s'accordent au pluriel, surtout si c'est pour se coucher. La grammaire ne vous sauvera pas, mais la française vous aidera à sortir de la vase. Il y a des médecins, et des Français, qui ne se couchent pas !