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Culture de mort - Page 238

  • Le Pen et la Marche pour la Vie

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Jean-Marie Le Pen souhaite le plus grand succès à la Marche pour la Vie qui se déroulera dimanche à Paris.

    Seule une forte mobilisation est susceptible d’ouvrir les yeux et les cœurs des autorités civiles, morales et religieuses, et de préparer la voie à une nécessaire politique de soutien à la vie, qui donnerait son sens à une authentique « politique de civilisation » et de redressement national.

  • Propagande pour l’avortement : jusqu’où va-t-on descendre ?

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    Ce vendredi 18 janvier, débute dans les gares et les métros franciliens une sinistre campagne de promotion de l’avortement soutenue par le Conseil régional d’Ile-de-France.

    Outre le fait que les espaces publicitaires sont payés avec l’argent du contribuable, les documents de propagande associant sexualité, contraception et avortement prouvent une fois de plus la volonté de troubler les esprits quant à la gravité de l’avortement.

    La perversion des concepteurs de cette propagande de la « culture de mort » est allée jusqu’à exposer sur les affiches une femme enceinte !

    Une telle publicité se justifie, selon le planning familial, par le fait que « les lois sur la contraception et l'avortement (…) ne sont pas correctement appliquées ». C’est seulement vrai dans le sens où l’avortement, légalement prévu pour des cas extrêmes, est devenu un simple moyen de contraception aboutissant chaque année à l’élimination d’un enfant à naître sur quatre !

    A l’heure où l’hémorragie démographique n’est masquée que par un recours massif à une immigration de peuplement de plus en plus incontrôlable, cette promotion n’est qu’une indécente incitation au suicide collectif.

  • Le FN appelle à participer à la Marche pour la Vie

    Communiqué de Louis Aliot, secrétaire général du FN

    Le Front National appelle ses adhérents et ses sympathisants à participer à la « marche pour la vie » qui aura lieu le 20 janvier 2008 à 14h30 place de la République à Paris.

    De nombreux élus du FN participeront à cette manifestation.

    (Bruno Gollnisch a notamment annoncé sa présence.)

  • Bruno Gollnisch soutient la Marche pour la Vie

    Bruno Gollnisch fait savoir sur son site qu’il soutient la Marche pour la Vie. Il appelle au rassemblement, et annonce qu'il sera présent dimanche prochain aux côtés du collectif “30 ans ça suffit” « pour dénoncer, une fois de plus, la politique pro-avortement du gouvernement, véritable assassinat de nos tout-petits, mais aussi crime contre la France ».

  • Pour réagir au Planning familial, aller à la Marche pour la Vie

    Communiqué de l'aocpa-Choisir la Vie

    Au mois de septembre dernier, une large campagne gouvernementale destinée à l’information massive des téléspectateurs sur la contraception envahissait le petit écran.

    Les arguments avancés par le ministère de la Santé , pour tenter d’en justifier l’ampleur, étaient alors récurrents : faire reculer le nombre des avortements en favorisant la contraception et l’information qui accompagne son utilisation.

    Force était de constater l’obstination aveugle des promoteurs de cette campagne qui, en dépit des commentaires et analyses unanimes sur l’absence de tout lien de cause à effet entre la promotion de la contraception et le recul des avortements, poursuivaient inlassablement la même rengaine !

    Aujourd’hui, le Planning familial d'Ile de France, l'Association des centres de grossesse et de méthodes contraceptives (ANCIC) et la Coordination pour la défense de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) et de la contraception (CADAC) lancent, le 18 janvier, en région parisienne, une nouvelle campagne : "Sexualité, contraception, avortement : un droit, mon choix, notre liberté" financée par le conseil régional qui va plus loin et doit nous appeler à réagir.

    En effet, est-ce vraiment de toujours plus de contraception et d’avortement dont les Franciliens ont besoin ?

    Les déclarations de Maïté Albagly, secrétaire général du planning familial témoignent de la vraie volonté de celui-ci qui, loin de voir le nombre d’avortements diminuer, souhaite que « l’avortement soit quelque chose de normal, banal… ».

    Comment ne pas souligner le mépris total du Planning familial envers les femmes et sa méconnaissance (plus exactement, son mensonge !), envers la réalité de l’avortement qui constitue un véritable traumatisme pour les femmes qui y ont recours et n’est en rien « banal », au regard des nombreuses études menées sur le syndrome post-avortement !

    Choisir la Vie appelle donc les Franciliens et les Franciliennes à participer massivement à  la grande marche unitaire pour la vie dimanche 20 janvier à 14h 30 place de la République à Paris.

  • Une campagne du Planning

    Le Planning familial lance le 18 janvier une campagne « d’information » en Ile-de-France, sur le thème « Sexualité, contraception, avortement, un droit, mon choix, notre liberté ».

    Il s’agit en fait de dénoncer la situation actuelle, car selon le Planning, en Ile-de-France, « les obstacles se multiplient pour faire valoir ses droits ». Ses droits à l’avortement, bien sûr, car il ne s’agit que de cela. Le nombre d’avortoirs est passé de 176 à 126 entre 1999 et 2005, soit 50 de moins, dont 14 à Paris. Du coup les délais sont de plus en plus importants, et il est de plus en plus difficile d’avorter dans les limites fixées par la loi. D’autant que nombre de médecins (de plus en plus nombreux ?) font jouer la clause de conscience, et que dans 94% des cliniques et hôpitaux (selon le Planning) on pratique un avortement quand il n’y a rien de plus urgent à faire – or on sait que les chirurgiens sont débordés.

    L’AFP publie un entretien avec Maïté Albagly, secrétaire général du Planning. Extrait de la réponse à la question : Comment expliquer les difficultés dans l’accès à l’IVG ? : « Nous sommes dans une société judéo-chrétienne qui transmet une certaine morale et on culpabilise toujours aujourd’hui les femmes de vouloir avorter, elles sont perçues comme des femmes irresponsables ou en situation de détresse. (...) L’avortement doit être quelque chose de normal, banal. »

    Tuer un enfant sur quatre, c’est normal. Et ce n’est pas assez.

  • Marche pour la Vie : l’appel de Bernard Antony

    Communiqué de Bernard Antony

     

    J’appelle tous mes amis, tous les militants et adhérents des organisations que je préside à participer massivement à la Marche pour la Vie de ce dimanche 20 janvier 2008.

    Les organisations fondamentalement unies dans le refus de la culture de mort ont des finalités diverses et leurs adhérents peuvent avoir des sensibilités religieuses ou politiques différentes mais le respect de la vie est une indiscutable valeur fondamentale qui doit dépasser les divergences ou les clivages qui peuvent diviser les patriotes et les chrétiens.

    Avant même son adoption, il apparut que la loi promulguée par le gouvernement Giscard-Chirac-Veil constituait, au-delà de sa lettre, une ouverture à la culture de mort.

    Le remplacement de la loi Veil et de ses adjonctions mortifères par une législation d’accueil de la vie est une exigence morale qui n’est pas le fait des seuls catholiques, des seuls chrétiens, des seuls croyants. Elle doit rassembler tous les hommes qui refusent l’élimination de la vie la plus innocente, la plus chargée d’espérance qui soit, celle de l’embryon de l’enfant à naître qui est, dès sa conception, une personne humaine possédant le droit le plus fondamental, le droit à la vie.

    Persuadé que, face à la mondialisation de la culture de mort, le mouvement de refus de la culture de mort est nécessairement international, j’ai, pour ma part, accepté l’invitation qui m’a été faite pour participer à l’immense marche pour la vie à Washington et rencontrer ses organisateurs.

    Mais je suis sûr que, non seulement, tous les militants de Chrétienté Solidarité et du Centre Charlier mais aussi ceux de l’AGRIF vont s’employer au service de ses organisateurs admirables à la réussite de la Marche de Paris.

    Rassemblement 20 Janvier 2008

    Place de la République 14 heures
  • Lutte contre le sida : un évêque rappelle l’exemple ougandais

    Dans un entretien accordé à Zenit, Mgr Slattery, évêque de Tzaneen, en Afrique du Sud, présente un documentaire intitulé “Semer dans les larmes“, sur l'épidémie du sida dans son pays. Ce documentaire vient de gagner le Grand Prix au 22e festival international multimédia catholique Niepokalanow 2007 (Niepokalanow est la « Cité de l’Immaculée » fondée par saint Maximilien Kolbe).

    « La situation est dramatique dans l'ensemble du pays et continue de s'aggraver, explique Mgr Slattery. Au sein de la population adulte, âgée de 15 ans et plus, le taux de personnes contaminées par le virus du sida tourne autour de 20%, mais la grande majorité des personnes qui vivent avec cette maladie n'a absolument pas conscience d'être contaminée, si bien que la maladie continue de se propager à une vitesse alarmante ».

    Le documentaire explique que la propagation du sida dans le pays est essentiellement due à trois facteurs : un manque de suivi des jeunes de la part des parents, une politique non adaptée et l'influence de groupes d'intérêt externes.

    « On a promu de manière agressive une culture des droits de l'homme pour tous, y compris pour les enfants. Les parents ont l'impression de n'avoir plus aucune autorité sur leurs enfants et les laissent faire ce qu'ils veulent. ».

    « Le gouvernement a voté une loi très libérale sur l'avortement au milieu des années 90, autorisant les mineures à avorter sans le consentement de leurs parents. » Et « en dépit de la promotion qui est faite dans les écoles pour le préservatif, il y a un taux de grossesse élevé parmi les filles en âge scolaire, parfois jusqu'à 20% ».

    Mgr Slattery évoque ensuite les influences extérieures qui « encouragent et renforcent ce genre d'attitude », notamment l’industrie multimillionnaire du préservatif. « L'Afrique du Sud et les pays voisins du Botswana et du Swaziland ont les taux d'infection les plus élevés au monde et les taux de distribution de préservatifs également les plus élevés. La conclusion est évidente : plus de préservatifs signifie plus de cas de sida et plus de morts ». Mais « il est bien sûr politiquement incorrect aussi bien ici que dans le monde occidental, d'envisager l'éventualité que le préservatif puisse en réalité alimenter cette maladie mortelle au lieu de la freiner. »

    L'objectif de l'Eglise dans le pays est de « lever le voile du secret sur le sida et d'inciter les gens à en parler ouvertement », explique l'évêque de Tzaneen.

    « La première étape décisive est de tenter de convaincre les populations qu'il existe un problème, et en réalité une véritable crise nationale. C'est l'objectif du premier DVD “Semer dans les larmes“. La deuxième étape est de montrer aux populations, également de manière convaincante, qu'il existe aussi une réponse. C'est l'objectif du deuxième DVD “Le changement a commencé“, qui montre que l'abstinence avant le mariage et la fidélité dans le mariage enrayeront rapidement la diffusion du sida. » Ce DVD présente la situation en Ouganda qui a réussi à combattre très efficacement le sida : « L'Ouganda a été le premier pays à combattre résolument l'épidémie du sida au début des années 90. La position forte et claire du président Museveni a constitué l'élément décisif qui a ralenti la diffusion du sida, faisant passer le taux de personnes affectées de plus de 25% à 6% en 2002. Il a prêché le bon sens et non le préservatif, encourageant l'abstinence avant le mariage et la fidélité dans le mariage, comme des valeurs culturelles. »

    On se souvient que cette politique ougandaise et ces statistiques avaient été communiquées lors de la 15e conférence internationale sur le sida, en 2004 à Bangkok, par le président Museveni en personne. Ce qui avait suscité une gigantesque et passionnante polémique. Toutes les ONG de « lutte contre le sida » avaient vigoureusement protesté contre les propos et la politique de Museveni. Mais personne, absolument personne, n’avait contesté les chiffres...

    « Le troisième DVD portera sur le soin aux malades, aux mourants et sur les orphelins du SIDA, et le dernier sur le mariage et la famille comme solution réelle à la pandémie du SIDA », précise Mgr Slattery qui conclut : « Il est très improbable que la Journée mondiale du sida ait un jour comme slogan “Abstiens-toi et sois fidèle“. C'est une réponse qui forge le caractère, assure une bonne vie de famille, ne coûte rien et a 100% de garantie de succès. »

  • Délégation parentale croisée pour mères homosexuelles...

    Deux mères homosexuelles, qui ont chacune un enfant obtenu en Belgique par procréation médicalement assistée, ont obtenu d’un juge de Lille l’autorité parentale sur l’enfant de l’autre.

    Cette délégation parentale croisée « est une première juridique en France », selon leur avocat. « L’objectif était de légaliser la situation pour qu’elles aient chacune l’autorité parentale partagée sur les deux enfants et deviennent légalement co-responsables des deux enfants comme dans une vie de famille classique »...

    Le ministère public s’était opposé à la requête, arguant notamment que le mécanisme de délégation d’autorité parentale ne permet pas d’assurer la protection de l’enfant en cas de décès du parent biologique. Autrement dit cela ne sert à rien. Mais on a compris qu’il s’agit d’un combat idéologique.

    D’autant que les deux femmes habitent Tourcoing, la ville dont Christian Vanneste est député, et candidat aux municipales...

  • Avortoirs en grève en Espagne

    Trente-huit cliniques pratiquant l’avortement sont en grève toute cette semaine en Espagne, pour protester contre la « persécution » et la « chasse aux sorcières » dont certaines sont victimes. Ces « persécutions » sont les interventions policières qui ont conduit à l’arrestation de quatre personnes et à la fermeture de trois cliniques qui pratiquaient des avortements dans les dernières semaines de grossesse, sur des femmes venues d’un peu partout en Europe, et contre de très grosses sommes d’argent.

    « On est en train de semer le doute sur le caractère légal de ce que nous pratiquons, et sur les cliniques qui depuis 22 ans ont garanti ce droit », s’insurge le porte-parole de l’association des avortoirs.

    En fait, les avorteurs réclament une extension de la loi, car « elle ne couvre pas la demande existant dans notre société ».

    Théoriquement, l’avortement est dépénalisé en cas de viol (12 semaines), de malformation du fœtus (22 semaines), de danger pour la santé physique ou psychique de la mère » (sans limitation). La grande majorité des avortements (plus de 100.000 en 2006, en augmentation de 10,8% sur l’année précédente) sont pratiqués au motif du « risque psychique »...

    « Nous sommes proches du moment où nous obtiendrons respect et sécurité juridique pour les patientes et les professionnels de ces cliniques », claironne l’association des avortoirs, qui rencontre aujourd’hui des représentants du gouvernement et du parquet.

    « Si l’on considère que cette semaine, entre 1.500 et 2.000 interruptions de grossesse ne seront pas effectuées, cela montre que le recours à l’avortement est une prestation nécessaire », ajoute l’association.

    Couvrir la demande, respect, sécurité juridique, prestation nécessaire... On remarque le caractère atroce du vocabulaire utilisé, alors qu’il s’agit de tuer des enfants dans le ventre de leurs mères.

    Pour l’heure, entre 1.500 et 2.000 d’entre eux échappent à la mort (sans doute hélas provisoirement) en cette semaine de l’Epiphanie.